Chap82

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Pdv Larissa :

-Mon amour tu regarde quoi ? Me demanda la voix grave d'Aleksandr, alors qu'il était débout dans l'encadrement de la porte de la salle de bain, cheveux mouillé, serviette autour de la taille, pendant que mes yeux étaient paralyser à fixer, ce Dieu vivant, c'était difficile de faire persuader mon cerveau, que j'avais ce terrible mafieux, qu'on n'imaginait juste que dans les romances,puisse être mon homme à moi, ce mafieux qui dégage cet aura masculine, cet aura dangereuse, un mafieux aussi dangeureux que charmant, aussi monstrueux qu'attirant.

-Je regardais mon charmant homme. Marmonais-je sensuellement, lorsque j'arriva à sa hauteur, pour placer mes  mains sur son torse encore mouillé.

-J'ai toujours fait sensation dans le domaine, gente féminine, donc ça ne m'étonne point . Reprit-il sourire sournois aux lèvres , alors que ses gigantesques mains aggriper ma taille, tandis que les miennes se faisaient de plus en plus baladeuses.

-Je t'aime Aleksandr. Repris-je, avant de scellé sauvagement mes lèvres contre les siennes, dans un torride baiser.

-Et moi je t'aime tellement, que je te déteste, d'avoir reussi a pénétré mon cœur, en si peux de temps . Dit-il entre deux baiser, attrapant mes pieds, pour que je vienne les entourer autour de sa taille,  et  me déposer sur le lit, lui au dessus de moi.

-Je t'aime à en perdre la tête, la raison. Reprit-il en  mordant ma lèvre pour demander accès à ma langue.

-Je t'aime à devenir plus fou que les fous dans un hôpital psychiatrique. Poursuit-il, en glissant sa langue dans ma bouche, alors que mes mains tiraient sur ses cheveux mouillé, dans le but d'accentuer ce baiser.

-je t'aime, au point ou j'en serrais capable de brûler la terre entière pour toi. Continua-t'il, alors que je gemissais, le corps tout entiers chaud de ce désir ardent.

-Je t'aime alors que j'étais supposé te tuer et en finir. Dit-il la respiration saccadé,ses lèvres allant mordiller la peau sensible de mon cou, alors que je gemissais de plaisir à chaqu'un de ces petits touchers.

-Et dire que sans toi, ma vie n'aurait pas de sens, à part être un mafieux. Rugit-il, m'aidant a enlever ma chemise, alors que sa bouche dévorait passionnément mes lèvres.

-Shht ne bouge pas. M'ordonna-t'il férocement, lorsque je gesticulais dans tous les sens, quand il prit mon sein droit dans sa bouche en  aggripant sauvagement mon sein gauche,alors que mon corps subissaient une explosion de mille et une  sensations, à chaque fois qu'il sucait mon téton.

-N'ettoufe surtout pas mes bruits. Rugit-il attrapant ma mâchoire d'une main, m'empêchant d'ettoufais mes gémissements dans l'oreiller, tous en pressant mon sein à l'aide de son autre main.

-Tu es merveilleusement parfaite Larissa. S'exclama-t'il d'une voix suave, alors qu'il  arracha mon short en jean,pour déchirer le fin tissu en dentelle noir qui faisait barrière.

-Obeis. Dit-il en écartant mes cuisses, alors que j'étais dans un état second, mon corps transpirait de plaisir, le silence était rompue par ma respiration saccadée, mélanger par mes gémissement, que je n'arrivais plus à ettoufer, lorsqu'il frotter ses doights sur les lèvres de mon vagin déjà bien mouillé.

-Aleksandr. Articulais-je en gemissant, alors qu'il vint écraser sa bouche sur la mienne, tous en effectuant des allez retours, à faire trembler mon corps entiers,sous son corps.

-Plus vite. Suppliais-je entre deux baiser, les joues rouges alors que ces yeux vert, brûlaient du même désir.

-N... Non Aleksandr. Miaulais-je  frustré, lorsque ses vas et vient devinrent tous d'un coup lent,et d'une lenteur délibérément voulu,puisqu'un sourire sournois  ettira ses lèvres charnues,alors que c'était la pire punition qu'il pouvait m'infliger.

-On obéi. Lâcha le mafieux, en éclatant d'un rire rauque, alors qu'un orgsame me fit trembler, et gémir tellement fort, que si les mûres n'étaient pas solides, ils seraient déjà effondrés.

-Maintenant passons aux choses sérieuses.Rugit-il, lechant le liquide visqueux sur ses doights, ce qui augmenta mon excitation davantage, alors que je tentais bien que mal, de regagner une respiration normale et de calmer mes gémissements.

-Tu es mienne, tous comme ton corps. Reprit-il en  me pénétra férocement, alors que mes ongles griffaient son dos à en déchiré sa pauvre chair , à chaque coups de rein qui vibrait mon corps, le silence était encore rompue par le lit, qui grinçait à chaque violent coup de rein, qui nous faisaient gémir de plaisir, avant qu'un torride orgasme ne vint pointer le bout de son nez,unissant notre amour.








Her Destinity *En Correction *Où les histoires vivent. Découvrez maintenant