Chap 63

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PDV ALEKSANDR :

-Tu pars où ? Me demanda Fiodor en se levant à son tour.

-Ça fait maintenant deux putains de jours, qu'elle est la ou je suis et, que je ne l'ai pas vu, Fiodor j'ai besoin de la voir, il faut que je la vois. Dis-je d'un ton impérieux, en m'en allant sans attendre son acquisition, alors qu'à chaque pas, la boule au ventre déjà présente,augmenter de taille.

-Monsieur Smirnov, vous ne pouvez pas rentrer, c'est trop tôt. Dit une infirmière, ne se gênant pas de me regarder, avec pleins d'idée pervers derrière la tête.

-Ça ne te regarde en aucun cas. Répondis-je froidement le regard perdu, et l'esprit encombré par ce bout de femme.

-Croyez moi, Monsieur il faut patienter encore un peu, son cas est encore fragile . Grommela-t-elle sensuellement, en caressant mon bras comme signe de bienveillance, alors que je voyais très bien dans son jeu, aussi répugnant que sa tronches, et les battement de ces longs faux cils.

-Trouve quelqu'un d'autre pour te sauter petite, moi je rentre chez ma Femme. Lui chuchotais-je dans le creux de son oreille d'un ton sombre , avant de violament la pousser et de rentrer dans la chambre.

-Larissa... Si tu savais à quelle point tu m'as manquer. Chuchotais-je une fois arrivé devant le lit, ou elle est allonger, brancher à tous ces machines qui font du bruit, sans cesse.

-Al... Aleksandr. Chuchota une douce voix, une petite voix, qui ramèna mon cœur de chair à la vie.

PDV LARISSA:

Je ressentais une douleur atroce au bas ventre, j'avais mal de partout en plus, est-ce que je dois ouvrir les yeux, un côté me chuchotais, de pas le faire c'est mieux d'avoir les yeux fermer et subir ces tortures, d'une autre part, une voix me hurlais d'ouvrir les yeux,malgrés le fait que mes yeux étaient celer, j'entendais des bruits, un supplice pour mes oreilles, mais ça ne m'empecha pas de continuer à penser à Aleksandr, ou était-il ?

-Larissa... Si tu savais à qu'elle point tu m'as manquer. Dit une voix, une voix que je reconnue, cette voix qui me berçait de pas lâcher, mais cette fois je l'entendais plus fort ,un fuel qui m'encouragea encore plus d'ouvrir les yeux.

-AL... Aleksandr. Chuchotais-je en ouvrant péniblement mes yeux, dans un effort surhumain,la gorge aussi sèche que le désert du Sahara.

-Lar... Larissa, maintenant je suis la, je le serais  toujours. Dit-il en attrapant ma main, pour entremêlés nos doights.

-AHHHH. Me crambais-je de douleur, faisant sursauter et inquièter Aleksandr, qui j'étais sur, était assis avec un cœur fragile, un cœur qui pouvais lâcher, à n'importe quelle moment.

-Mon ventre. Hurlais-je en essayant de gesticuler sur ce lit, aussi dur que la roche, alors qu'Aleksandr était sorti rapidement, pour chercher de l'aide, pendant que ma main caressait mon ventre, comme ci une partie de moi, à étais arracher de mon ventre.

-Bonjour, madame tous va bien se passez, calmez vous. Dit calment une infirmière, que depuis où j'étais, j'avais une actroce envie, de lui casser la nuque.
le retour de notre catcheuse russe. S'excita ma  conscience de merde.

-La c'est bon, ce sont les effets de l'opération. Dit-elle en me perfusant de noveau, certe cela prit quelques temps mais sa m'apaisa.

-Quelle opération ? Demandais-je mi étonné, mi m'attendant à de la merde, qui n'allais pas, tarder à arriver tel une voiture de course.

-Madame, vous étiez...enceinte et nous avons retirer l'embryon. Avoua-t-elle en choisissant bien ces mots, alors que je recevais une puissante gifle, très puissante, un énorme choque,qui  fit basculer mon  côté émotionnel.

-Et qu'est ce qu'il avait mon bébé ? Demandais-je la voix tremblante, les mains sur mon ventre, cherchant une bosse, un signe qu'il y'a toujours quelque chose,un être qui grandissait, que j'aidais à grandir, un signe pour me montrer qu'une vie, que j'ai donner vit, c'était donc ça, ce sentiments qu'une partie de moi, soit arracher de mon ventre.

-Madame, vous étiez dans une grossesse très dangeureuse, une grossesse extra-utérine, on se  devait de retirer l'embryon, ou nous attendre au pire. Dit-elle, alors que des gouttes d'eau salé , se faufilaient silencieusement, pour inonder mes jous.

-Aleksandr, j'allais être mère et... Et toi père. Pleurais-je frôlant mon ventre, ou il devait être, n'osant pas regarder la réaction d'Aleksandr, me rappellant, qu'il n'en voulait pas de cet enfant.

-Mon amour, l'important est que tu t'en est sortie indemne. Reprit Aleksandr, en attrapant mon visage mouillé par les larmes, de sorte qu'on se regarde, pour qu'il m'embrasse d'un baiser doux, un contact qui m'avait manquer.

-Je te promet de t'en donner, deux petits jumelles, qui a auront la beauté de leur mère. Marmonna-t'il entre deux baiser, m'arrachant un petit rire, un  rire sincère.

-Et pourquoi pas un garçon ? Demandais-je en essuyant mes larmes du revers de la main.

-Je voudrais deux petites princesses, pour avoir à m'occuper de ma reine, et de mes princesse. Avoua-t'il écrasant une deuxième sa bouche, sur la mienne, dans un délicieux baiser de retrouvaille.

-PUTAIN, tu me rend fou, Larissa, tu me rend fou. S'exclama-t-il d'une voix rauque, en mordant ma lèvre, m'arrachant un petit gémissement.

-Et pourquoi. Demandais-je, toujours en reniflant.

-Je n'ai jamais mit un pied dans un hôpital, je n'ai jamais pleurer pour un bout de femme, tu me rend fou, tu ma rendu dingue dès la première fois, d'ailleurs . Reprit-il avant de m'embrasser de plus en plus langoureusement, introduisant sa langue dans ma bouche, pour débuter un ballet endiablé, afin d'assouvir à nous deux, ce besoin constant de sentir la chaleur de l'autre.

-Ah désolé. Dit une voix avant de refermer la porte, alors qu'Aleksandr approfondissait ce baiser, avalant ma bouche.

-Pas... ici... Aleksandr. Gémis-je  entre deux baiser.

-Fais chier. Bouda-t'il en lâchant ma bouche, lorsque le bruit d'une machine fit écho dans la chambre, nous faisant sursauter, alors que je riait à gorge déployer,devant sa mine dépité.

-Je t'aime. Dis-je, lorsque je reprit une respiration normale après ce torride baiser.

Her Destinity *En Correction *Où les histoires vivent. Découvrez maintenant