Chap 10

734 15 2
                                    

Pdv Larissa :

Pendant que ce clochard se tenait la joue, sans parvenir à faire croire à sa ceverelle que je l'ai giflé, deux paires d'yeux, bien sûre sans compter le regard le plus perçant à me donner des sueurs froides dans le dos, de la part de Satan Aka Aleksandr, qui faisais en tous quatre paires d'yeux, qui étaient attarder que sur ma petite personne.

-Sale salope. Commença Theo levant la main dans le but de me rendre la gifle, que je venais à peine de lui asséné, le regardant droit dans les yeux, en attendant qu'il me gifle, pour enfin avoir une bonne raison définitif, pour causer l'ablation de  ces testicules, mais une forte poigne de main le retena, lui donnant un chance.

-Theo, tu n'as donc pas de principes ? Sous ce toit tu ne touche à aucune femme est-ce clair ? Dis le charmant inconnu aux yeux bleu, à l'encontre de ce clochard, qui me fusillais du regard.

-Frè- euh... Fiodor, ce bout de femme que tu défends à failli, mettre un terme à ma descendance. Se défend t'il, en retirant sauvagement son bras de l'emprise de Fiodor ,tandis que le dénommé Fiodor, fini par enfin poser, son regard, sur ma personne, mais malgrés sa beauté extravagante, je ne ressentais pas les mêmes papillons dans le ventre.

-Ah donc tu es toujours capable d'en avoir ? Je devrais être maudite rien que  pour avoir échoué pour la première fois de ma vie, ma mission. Répondis-je d'une voix cinglante, déçue, d'avoir échoué, mais une chose me tracassais, il avait bien l'intention de dire frère, je ne suis pas encore sourde, mais il c'était retenu, lorsque le dénommé Fiodor, lui avais lancer des éclairs invisibles, qui ont sans doute fait tressaillir Theo, ce qui veut dire le faire, retirer la merde qu'il voulais dire.

-Je tiens... à m'excuser, de la part de Theo, évidemment rien, n'explique son comportement, envers toi mademoiselle.... S'exusa le charmant homme à mon égard,tandis que le connard en question qui devais s'excuser, ne faisait que rouler des yeux, de façon provoquante.

-Mademoiselle Larissa. Complétait-je,
Et Non ce n'est pas à vous de vous excuser, dis-je en regardant d'un regard dur et méprisant l'idiot, qui avait le regard étonné fixer sur Fiodor.

-Mais je rêve, c'est elle qui a faillit me rendre stérile, et tu t'excuse, la bonne blague. Persista Theo , faisant en sorte que ma main me redemange encore une fois.

-Mademoiselle Sandoz, maintenant vous pouvez disposer. Dit d'une voix autoritaire, et aux ondes dangeureuse L'homme aux yeux verts, qui jusqu'à là n'avais pas intervenu, alors que je préférais de  loin, qu'il ai fermer sa belle gueule, à la place de me chasser de cet façon, aussi rabaissante et direspectueuse.

-Theo garde en tête, que si aujourd'hui, j'ai échoué sache que la prochaine fois, ça sera tous sauf un échec crois moi sur parole. Le menaçais-je sans aucune gêne, avant de lancer un dernier regard frustré, et dur, vers Aleksandr qui me fixait la mâchoire serré, au point ou j'avais de la pitié pour ses dents, avant que je ne sorte sans demander mon reste, au risque de les étrangler.

-Allez, tous vous faire foutre. Marmonais-je la mâchoire serrée, une fois la porte fermé, en m'aventurant dans les couloirs à la  recherche désespérément de la chambre, ou je siégeait paisiblement avant qu'Elina ne m'amène dans son bureau, pour que je ressorte de cet manière . Je cherchais comme une dingue pour pouvoir calmer ma colère qui faisait qu'augmenter à fur et à mesure que j'avancais sans trouver cette fichu chambre , et le fait de ne pas la trouver , rendais petit à petit, cette colère noire, en une crise de nerfs, digne d'une femme qui avait ses règles.  cet endroit regorgeait tellement de pièces, que sa en devient ettoufant, la je ne cherchais plus la porte de la chambre, mais la porte de sortie, je courais dans les couloirs à la recherche d'une fenêtre, d'un espace où de l'air pur pourra remplir mes poumons, et me calmer, mais à fur et à mesure que je tournais le vertige, me donnait que d'affreuses nausée, et prise d'un terrible vertige, j'ai du succomber à la tentation de continuer, ainsi que mon corps décida de baisser les bras. Et C'est finalement ettoufer, que ma joue cogna avec agressivité, le parquet froid du sol pendant, que mes yeux se refermait petit à petit .

Her Destinity *En Correction *Où les histoires vivent. Découvrez maintenant