Chap66

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Pdv Larissa :

-Donc ton but, et que je bande pendant toute la soirée, et que je vide toutes les recharges de mon révolver sur des porcs en chaleur ? Me demanda Aleksandr, alors que j'entrais dans sa voiture.

-Avec tous ces muscles, je pense que... Tu sauras marquer ton territoire Répondis-je d'une voix suave, avant de claquer la porte de sa voiture.

-Oh, ne t'inquiète point, je n'ai même pas, besoin de l'écrire en rouge sur ton front. Dit-il d'une voix sombre, m'arrachant un petit sourire qui étira le recoin de mes lèvres.

-J'ai hâte de t'enlever cette robe. Reprit-il de sa voix grave , plaçant sa gigantesque main tatoué, sur ma cuise gauche, qui s'electocuta à son contact.
Détend toi, on dirait un meuf coincé. Me nargua cette voix dans ma tête.

-Ummm, ou est-ce que, Mon mari m'amène ce soir. Demandais-je d'une petite voix, mettant ma petite main au dessus de la sienne.

-Surprise. Répondit-il, me regardant pour la énième fois cette nuit.

-Aleksandr, arrête de me fixer comme ça, ou je te creve les yeux pigé ? Le Menaçais-je irritée, alors qu'il explosa de rire, d'un rire rauque et sexy, un rire qui dublia le nombre des papillons dans mon bas ventre.

-Mi amor, je ne te regarde pas, mais je regarde le magnifique ange, qui a réussi à sensibiliser le dangeureux Diable, craint par le monde. Rétorqua le mafieux, dans un parfait acsent, alors que sa main s'aventurais un peu plus, sous le fin tissu de cette courte robe, se rapprochant dangereusement de mon intimité.

-Aleksandr, pas ici. Haletais-je, lorsque son doights vient effleurer ma lingerie en dentelle.

-Est-ce moi... qui ta demander de t'habiller de cette robe, aussi courte que légère ? Est-ce moi qui ta prescrit de mettre cette robe sexy ? Me demanda-t'il, alors que sa main effectuait des vas et vient sensuelle, sur le fin tissu, qui séparer mon intimité, pendant que mes ongles se planter dans le fauteuil, à en déchirer le cuivre .

-RÉPONDS ! M'ordonna-t'il d'une voix sombre et grave , alors que je mordais autant que je pouvais mes lèvres, pour ettoufer ses traitres de gémissement.

-N.. Non. Arrivais-je à peine à articuler, alors qu'un gémissement décida de me trahir.

-Shhht... Shht, ce sont mes gémissement, ne les ettoufent surtout pas. Avoua-t'il d'une voix impérieuse, alors que j'ouvris la fenêtre, pour prendre de l'air frais, et respirer, au risque de mourir asphyxier.

-Personne d'autre, n'a le droit d'écouter ces précieux bruits . Rugit-il férocement, en fermant la fenêtre à l'aide d'un bouton.
c'est pas possible, il gère tous juste à l'aide de ces deux putains de doights ??!

-J'avais prévu, ceci après mais, je compte d'abord te punir, pour etre habillé de cette manière. Reprit-il, alors que sa main, traçait des cercles, sur la cullote,déjà mouillé.

-Aleksandr, je suis juste habillé d'une robe noir, c'est tous je ne trouve pas, que c'est assez provoquant ou même sexy. Répliquais-je d'une petite voix innocente, en tournant pour le defier, sachant déjà que j'ai perdu d'avance.

-Soit plus précise mon amour , habillé d'une mini robe noir en dentelle, ouverte jusqu'au début de tes fesses, pour céder le passage à pleins de mains autres que les miennes , un large decolter pour laisser une bonne vision, pour ces vieux pervers, qui j'en suis sûr, s'imagineront pleins de scénario digne d'un bon film porn, pendant leurs retraites,et ça  sans en parler de tes lèvres rouges. Ennumera-t'il d'une voix sombre, écartant la ligne rouge.

-Donc... Monsieur Smirnov est décidément jaloux. Articulais-je, les yeux remplis de désir, impatiente de jouir sauvagement.

-Je n'aime pas partager. Avoue-t-il simplement en freinant subitement au milieu de la route.
en même temps la route était plus que déserte.

-EST CE CLAIR ? Demanda-t-il, lorsqu'il souleva totalement ma robe, dévoilant, ma lingerie en dentelle bordeaux, me faisant sursauter de plaisir.

-Quelle surprise, en plus les pièces de lingeries que j'aime. Grommela-t'il, ne se gênant pas de me reluquer, et de balader sensuellement ses yeux, et de lecher ses lèvres qui m'attirer dangereusement, dans le seul putain de but d'augmenter encore plus la température, déjà ambiante.

-TU. ES. A. MOI. Rugit-il, en m'attirant sur ces genoux écarté.

- a toi pour toujours. Continuais-je dans le creux de ses lèvres, avant de m'enparer sans finesse de sa bouche ayant marre d'attendre, dévorant au passage ses lèvres charnues.

-Épate moi. Chuchota-t-il dans mon oreille, plaçant ses deux grandes mains autour de ma taille, alors que j'ouvrais les boutons de sa chemise noir,faisant des aller retours sur son torse musclé,a l'aide de mes doights, alors qu'on se dévorait la bouche.

-Tu peux compter sur moi. Répondis-je sauvagement, le regard brûlant.

-AL....Aleksandr, c'est quoi ce tatouage, je ne l'ai jamais vu. Demandais-je d'une voix hesitante, les sourcils froncer, effleurant les initiales LS, tatoué sur son torse.

- des nouveaux pas vrai ? Je connais tes tatouages, le gigantesque serpent sur ton dos, la rose sur ton bras, un crâne sur l'épaule, mais celui là est.... Nouveau. Dis-je plus sérieusement, essuyant ma bouche du revert de la main.

-Bien vue mi amor, je les ai fait avant hier, je trouvais que sa ne suiffisait pas,Larissa Smirnov... je t'ai gravé pour que tu saches, à quelle point je suis fou amoureux de toi. Répondit-il d'une voix assuré, les yeux brillant et non sombre, comme j'en ai l'habitude de les voir , alors que ma bouche était ouverte en grand <O>, laissant le passage à tous les mouches pour passer,de même pour la langue de mon époux,qui ne perda pas son temps.

-Je veux en faire un aussi. Repris-je, entre deux baiser, alors qu'il s'attaqua à mon cou.

-Tu es en est sur ? Me Demanda-t-il , alors que je tordais mon cou pensant que j'avais un longue cou , pour qu'il approfondisse ce suson, de sorte qu'il y reste pendant des années.

-Je le suis. Assurais-je, avant de gémir de plaisir.

-Larissa Smirnov, sache que de mon vivant, tu resteras à moi et rien qu'à moi. Rugit-il d'une voix rauque, déchirant ma culotte en dentelle.

-Est-tu prête ? Me demanda-t-il, après m'avoir balancer sur les chaises arrières de sa voiture, venant se mettre sur moi,m'offrant une belle vue sur sa posture.

-Je l'ai toujours était. Haletais-je, presser de me plier dans tous les sens, juste à son toucher.

-Je le sais,mais tes hanches risque de lâcher tous comme t'es cordes vocales. Lâcha-t'il attrapant mon cou d'une main, et baladant son autre main tous au long de mon corps brûlant.

-Fonce, alors. Dis-je lorsqu'il arriva vers mon intimité, mouillé attendant impatiente sa jouillance.

Her Destinity *En Correction *Où les histoires vivent. Découvrez maintenant