Pdv Larissa :
-AL... Aleksandr. Dit la voix aigu de Valérie lorsqu'on arriva au sous sol, la main du mafieux toujours enroulé sur ma taille.
-Salut toi. Dis-je d'un ton moqueur, la regardant pourrire chaque jour ici, comme une sale merde.
-sale connasse, voleuse de mari. Cracha-t-elle, retrouvant soudainement sa force, alors que je ne me retenais pas pour rire, lorsqu'elle avait mentionné le vol de mari.
-Bon je vous laisse, ciao les tourtereaux, Aleksandr pas trop de dégâts. Dit Fiodor en nous faisant un signe de main, avant de disparaître de mon champ de vision.
-Ça fait quoi d'être attacher, de ne pas pouvoir bouger d'un seul pouce, et de ce faire chaque jour, injecter avec une dose un peu plus forte que le précédent, umm ? Demandais-je d'un ton ironique, me rappelant chaque putain de chose, qu'elle me faisais.
-Aleksandr, tu la préfère à moi ? Demanda-t-elle d'une voix tremblante, à l'encontre d'Aleksandr qui jusqu'à la était debout derrière les barreaux, les poings serrées derrière le dos, la fusillant du regard.
-Tu es vraiment stupide ma belle, je te manipulais depuis le début à l'aide d'ambre, les médocs qu'elle te filait chaque jour, comme sois disant anti douleur, ou je ne sais quoi, ça faisait parti de mon plan. Avoua-t'elle, en rigolant machiavéliquement, me donnant la chair de poule.
-FERME TA GUEULE. Cria Aleksandr, cognant avec fracas les barreaux en fer, me faisant sursauter en même temps, alors que la cruche hoqueta de peur.
-Aleksandr, calme toi. Dis-je d'une petite voix douce, en lui caressant son bras tendue, qui de suite se détendit au contact de ma main.
-Tu te venge peut-être Larissa, mais même si, je suis six pieds sous terre, tu auras toujours ces séquelles, qui feront que tu te rappel de moi. Reprit-elle se moquant ouvertement de moi, me faisant comprendre que le cri d'Aleksandr, à juste eu l'effet de la faire sursauter, et ce sursaut en question ne lui a pas fait avalée sa langue de vipère, j'en conclus donc, qu'il fallait que je le fasse.
-Larissa, tu fous quoi la. Grommela Aleksandr, alors que j'ouvrais la porte en Fer, histoire d'aider son corps à avaler sa langue.
-Tiens sale pute, ça c'est la gifle que tu m'as donner, et ça c'est parce que t'a oser me toucher. Sifflais-je en lui assenant deux gifles,dont le bruit résonna tel une douce mélodie, dans les profondeurs de mes oreilles.
-C'est tous ce que t'as ? Me provoqua-t'elle, sourire insolent sur les lèvres me donnant des envies de meurtres, parce qu'elle avait raison, ces séquelles étaient encrer en moi.
-JE VAIS TE FAIRE REGRETTER, TU M'ENTENDS ? Aboyais-je, en lui offrant de beaux bleus, partout sur le corps, pour me défouler, pour défouler cette rage.
-LAISSEZ, MOI JE LUI DONNE. Criais-je en prenant le plateaux de seringue, des mains de la bonne, qui sursauta terrifiée.
-AHHH. Cria Valérie,lorsque je sortis mon couteau toujours dans mon soutif, et de lui Panter dans la cuisse gauche, sans aucune once d'émotion à part du plaisir, et de la satisfaction.
-Voilà, j'ai trouver mon anti stress. Avouais-je large sourire sur les lèvres, en l'admirant angoniser, se tortiller de douleur comme une limace, une limace affreusement degeulace.
-ESPÈCE DE SALE CONNE. Rugit-elle, les yeux injecter de sang, lorsque je retira le couteau, pour le rapprocher dangereusement de son visage.
-Tu vois ça , bah maintenant tu le verra que d'un œil. Soufflais-je en plantant la lame bien aiguisée, dans son œil gauche ressentant un certain plaisir , pendant que cette pute aboyais de douleur, et gesticulais dans tous les sens, alors que je sortis d'un coup sec la lame.
-ce n'est que le début. Dis-je en regardant la lame couverte de sang.
-Tu aime bien les piqûres, à ce qu'il paraît, et moi j'aime être aussi généreuse que gentille. Riais-je ironiquement, prenant une seringue au hasard.
-Profite bien de ma générosité, ça vient du coeur. Rigolais-je en lui injectant,et vidant la seringue,dans son long cou de girafe.
-C'est ça qu'on appele être sadique. Repris-je en me levant, la regardant, ayant presque de la pitié, alors qu'elle hurlait de douleur, de part à cause de son œil qui faisait dégouliner du sang, jusqu'à dans sa bouche, et d'une autre part de l'aiguille de la seringue coincé, dans son cou se propageant, en même temps que la cyanure,connaissant sûrement sa destination.
-Tu es tomber dans de mauvaises mains, si tu pensais être folle, je vais te montrer que je suis une psychopathe hautement diplômé. Sifflais-je d'un ton calme et ferme, en sortant de la pièce mal éclairé, et de claquer la porte, déjà triste de plus l'éntendre aboyer de douleurs.
-Aleksandr tu viens ? Demandais-je me tournant vers mon époux, qui ce dernier affichait un large sourire, aussi sexy que sadique sur ses belles lèvres charnues .
-Tu me rend fou. Grommela-t'il, en attrapant férocement ma mâchoire pour m'embrasser sauvagement, introduisant sa langue, sans même attendre ma permission.
Il n'avait pas besoin de permission, de toute façon.-je ne t'ai pas laisser un œil pour rien, hein,utilise le et admire bien. Dis-je innocemment à l'encontre de Valérie, avant d'enrouler mon bras autour de la nuque du mafieux, pour approfondir notre torride baiser, Sans oublier de gémir sans l'étouffer, pour qu'elle puisse bien entendre à qui cet homme appartient.
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Her Destinity *En Correction *
Roman d'amour{Tome 1} Son histoire est simple, c'est une jeune fille âgé de 19ans qui n'a jamais connue ses parents, elle n'a jamais eu la vie que toutes adolescentes avaient le droit d'avoir, sa vie se résume au meurtres, à tuer pour son plaisir et pour sa déf...