Chap 18

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Pdv Larissa :

-Larissa tu m'entends ? Cria Jules, me faisant sortir de ma bulle.

-Ou-oui tu disais ? Répondis-je, en le regardant.

-pourquoi hier tu étais enfermé dans ta chambre . Dit-il en me regardant inquie, alors que J'espèrer que la tonne d'anti cerne, que j'avais mit ce matin, arrivait à cacher  mes yeux rouges.

-Jules on a déjà parler, il ya rien, j'étais malade hier, donc j'ai pas pu sortir de la chambre . Mentis-je en ravalant les larmes qui menancaient déjà de couler.

-Et moi je dis que si, tu me cache quelques chose, si je n'avais pas pris les clés de ta chambre, de chez Elina rien ne t'aurais fais sortir, de la et sa sans parler de l'état dont lequel je t'ai trouver . Insista mon meilleur ami et c'est à ce moment là, que j'ai vraiment su que la vie étais définitivement contre moi, puisqu'Aleksandr fit son apparition, dans le salon sans même me regarder, ce qui  fit qu'une larme s'échappa de mon œil, mais je l'effaca du revers de la main pendant que Jules répondais au téléphone,  je n'avais carrément pas la force de m'expliquer, et interdiction de me montrer faible devant Aleksandr.

-ok j'arrive. Repondi Jules a la personne, qui lui a appelé.

-Bon, Larissa on a besoin de moi je dois y aller, mais des que je reviens, tu va tous m'expliquer, et ca dans les plus brefs details . Dit-il en s'en allant me laissant, seul avec le mafieux. Qui
Celui ci, vint s'asseoir sur le fauteuil ou Jules, y était il ya de cela quelques minutes, et voilà quinze bonne minute, qu'il étais assis, et qu'il ne m'avait, même pas adresser un seul regard.

-Tu n'est qu'un sale connard. Dis-je en le regardant droit dans les yeux, lorsqu'il osa enfin me regarder, d'un regard froid, dur, et qui ne dégageait aucune émotions, et dire que c'étais la même personne, que j'ai fougement embrasser.

-Je te déconseille, de m'insulter une deuxième fois. Me menaça t'il cette fois d'une voix sombre.

-Sinon quoi ? , tu sais pourquoi tu n'est qu'un sale connard ? Répetais-je voulant le pousser à bout, il se pouvait que des fois, j'ai des envies suicidaire, lorsque je m'ennuyais, au vu du regard qu'il me lança, et de sa mâchoire, qui brouillait ses dents en campotes.

-Tu était à deux doight de m'etrangler, la dernière fois, et puis tu te permet de m'embrasser pour me jeter comme une vulgaire chaussette ? Dis-je en me levant pour partir dans ma chambre, mais le mafieux décida autrement puisqu'il me palqua violament contre le mur ce qui me fit lâcher un petit cri de douleur.

-Je déteste me répéter. Dit-il en serrant  la mâchoire, alors que mon nez reniflait l'odeur de son délicieux, parfum aussi dangeureux et mystérieux que lui.

-Donc si je ne ferme pas ma bouche, tu vas essayer de m'egorger encore, et puis m'embrasser ? Le provoquais-je avant qu'il écrase sauvagement sa bouche sur la mienne, me faisant hoqueter.

-lâche moi . Dis-je  en mettant fin, à ce baiser aussi torride que la fois passée.

-Voilà pourquoi t'es un connard, tu m'embrasse me fait sentir mille et une  sensation, pour a la fin me laisser, pour aller baiser ta pute d'ambre. Lachais-je d'une voix tremblante, en me dégageant de son emprise ce que je n'arrivais pas a le faire, vu son emprise sur ma taille, et son regard attarder sur ma bouche.

Flash-back :
Je n'arrivais toujours pas à fermer les yeux, après ce qu'il c'est passer aujourd'hui, c'est dans un élan de confiance, que je sortis de mon lit pour aller dans le bureau d'Aleksandr, j'ouvris la porte priant qu'elle ne grince pas, mon envie d'en savoir plus sur ce torride baiser, faisait en sorte que dans la nuit, je marchais à la recherche de son bureau en espérant qu'il étais éveillé , au fil à mesure que je marchais, une boule se formait dans mon bas ventre, ce qui augmenta mon angoisse, une fois devant la porte de son bureau je pris une grande bouffer d'air, avant de poser ma main sur la poignée, mais je la Retira sur le champ, lorsque j'entendis des chuchotements,et  des gémissement de la part d'une femme.

-Ummm Aleksandr, je savais, je savais que tu me voudrais toujours, laisse moi te toucher Aleksandr . Gemissa-t'elle, cette voix, cette voix aigu que je la reconnaissais entre milles, la voix de cette sale sorcière.

-Sale  idiote. Chuchotais-je en me fracassant le crâne, je n'étais qu'une sale merde à ses yeux alors, et moi qui voulait des explications, j'ai était idiote de venir jusqu'ici pour lui, demander des putains d'explications, je retourna dans ma chambre  n'en pouvant plus d'entendre cette poufiase gémir, savoir qu'il ma embrasser pour après venir la baiser me fit pleurer,c'est les larmes aux yeux, la main sur la bouche essayant  de retenir mes hoquets  pour ne reveiller  personne, que je me dirigeais, pour aller dans ma chambre, une fois arrivé dans celle ci, je fermis la porte et me glissa repliant mes genoux jusqu'à la poitrine.

Her Destinity *En Correction *Où les histoires vivent. Découvrez maintenant