Chap 7

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Pdv Larissa :

-Non je ne veux pas. Dis-je d'une voix dure, montrant mon désaccord,
Mon  refus de coopèrer, d'une part parce que je ne le voulais clairement pas, d'une autre part, je n'aiderais sûrement pas des traites.

-Ma chérie... Rectification ce n'était pas une question..... mais une obligation, des demain tu commence ton stage. Fini t-elle par dire, avec un regard noir, alors que mes mains gesticulaient dans tous les sens pour essayer de me libérer, et de lui ouvrire les yeux complètement, pour qu'elle comprenne que son comportement me casser les couilles.

Sans plus rien dire, elle se leva et quitta la chambre me laissant seul avec mes putains de penser qui m'aidait à plus sombrer.

-Salope, salle conne. Aboyais-je utilisant toute ma rage.

-Si tu  penses  que je vais t'obeir, et faire ton sale stage, c'est que tu  ne me connaît pas encore. Sifflais-je la mâchoire serrés, alors que j'étais incapable de liberer mes poignet pour atteindre mon couteau, ce qui m'énerva encore plus.

-Merde, merde, putain de mes couilles. Criais-je en gesticulant rageusement sur la foutue chaises, qui a sûrement aplatie mes putains de fesses.

-Sale chuineuse. Chuchotais-je, alors que des larmes, menaçaient de se pointer, pour me faire honte, mais le seul fait que j'aurai pu avoir une famille et... Et une mère pour me conseiller, un père sur protecteur comme je l'imaginais, m'enrager,  tous mes rêves se sont envoler, j'aurais pu connaître ma mère si, ces italiens ne l'avais torturer, j'aurais pu avoir un père si cet inconnu n'avait pas tuer mon père, et j'aurais vécu loin d'un orphelina  si cet famille qui me demandais aujourd'hui de l'aide m'avait auparavant aider, une rage sans nom brûla chaque parcelle de mon être , je n'aurai pas eu les mains recouvert de sang, si ils étaient présents, mes yeux voulaient lâcher une cascades de larmes mais la vengeance, présente dans chaque cellules de mon corps les empêchaient , une seul idée vint m'éclairer parmi tous ces idées noires ,il fallais  que je fuis d'ici... Mais comment ? C'était la seul chose qui me faisait barrage.

-C'est encore ce foutu bordel. Ralais-je en sursautant, lorsque le bruit de balles faisaient échos en haut de ma tête, et sans avoir le temps de cligner des yeux  le bruit de balles et des cries de mort s'entendaient, juste derrière la porte, s'ensuivit la porte qui se defonça, suivit par des agents, qui je devine aisément, êtres des gardes de nationalité russes avec leurs accents.
Bien musclés,tatoué et armer jusqu'a la pointe de leurs cheveux, voilà depuis que j'ai fugé de cet hôpital, je ne faisais que passer de mafia à mafia. La vue de la tête de la réceptionniste qui attendais sûrement son argent fit ettirer le  coin de mes  lèvres en un sourire diabolique, avant que l'image de la gérante me fasse regrettée mon sourire.

-Chef au sous sol, se trouve une jeune gamine attacher  sur une chaise vous ordonné qu'on a la tue ? Demanda un a travers son oreillette,ne me lâchant pas du regard.

-He le crabe tu me traite encore de gamine, et je te fais avaler ta langue, capiche ? Dis-je à l'encontre de ce garde, qui m'ignora royalement, tandis que les quatres autres imbéciles se marraient en silence.

-ok chef, oui la mission c'est déroulé comme prévu. Continua le garde

-He les gars ,le patron demande à ce qu'on ramène la gamine. Reprit-il a l'encontre des quatres autres gardes.

-pour moi, pourquoi ne pas laisser cette chose pourrire ici. Proposa une voix féminine d'un ton arrogant.

- Mon Dieu, pourquoi, je suis toujours confronter à des poufiasses de ce genre. Ralais-je d'un ton ironique, oubliant qu'un connard avait oser me défier encore en me traitant de gamine.

-Ambre, ferme moi cette magnifique gueule tu veux ? Répliqua la voix d'un autre garde, alors qu'un sourire narquois s'était former sur le coin de mes lèvres.

-Je te remercie. Dis-je à l'encontre du garde qui roulais des yeux, tandis que la sois disante Ambre, me lançait des éclairs à l'aide de ses yeux de vipères des caraïbes.

-concentrez vous sur la gamine. Reprit l'autre imbécile.

-Je ne suis pas une gamine. Répétait-je en gesticulants sur la chaise.

Suite à la demande, deux gardes virent me détacher, dire que je n'étais pas heureuses d'être libéré d'ici serait un mensonge, une fois détaché occuper à frotter mes poignet tous rouge, un garde vint mettre un tissu blanc sur ma bouche.

-AH le GROS CON. Criais-je en essayant de lui donner un coup sur ses bijoux, mais ne pas avoir dormi, comme la normale depuis deux putains de jours, ainsi qu'être enfermé dans un sous sol, sans lumière, ni nourriture, me laissait savoir que mes tentatives de jouer à la power woman était deja perdu d'avance, je sentis que mon corps se paralysé, même si je du luttais pour ne pas sombrer, ce qui était mission impossible, je senti alors mon corps gravir sur l'épaule de l'un d'eux,il s'engagea alors dans le couloir ou des corps sans vie jonchés le sol, la vue de cette boucherie n'était loin dégoûtante, ou terrifiante loin de la, c'est alors qu'a la vue de la lumière du jour, que morphé décida d'intervenir et de m'emporter loin, malgres le fait que ce crabe, me secouait comme un sac à patate, ce qui me donna des envies de meurtre à la Jeffrey Dahmer.

Her Destinity *En Correction *Où les histoires vivent. Découvrez maintenant