Chap 60

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PDV LARISSA :

-Sale CONNE. Criais-je sous les effets de la douleur qui persistait, encore et encore même après dix minutes.

-Ferme ta gueule. Dit-elle en grignotant ses ongles, alors que je gesticulais dans tous les sens, comme une sançus qui a reçue de l'eau chaude en plein face.

-Tu l'as entendus, il arrive et au son de sa voix... nous deux on sait de quoi il est capable. Arrivais-je à peine a articuler la bouche sèche.

-il... Il vi.. Vient pour moi. Rigola-t-elle nerveusement , alors qu'une énorme douleur aux ventres, me fit crier, plutôt aboyer tel un chien qui étais atteint par la rage.

-FERME TA GUEULE. Sursauta cette dernière en essayant de me mettre l'horrible bandeau sur la bouche, alors que d'affreux et douleureux cramps  me faisait transpirait comme un porc en plein désert, j'avais envie de vomir tous mes trippes, mais en même temps j'étais paralysé, ces douloureuses cramps, je ne les ai pas ressenties  depuis la nuit avec Ambre avant d'être ici dans un état pitoyable.

-TU VAS LA FERMER OUI ? Continua cette serpriere blonde alors que ces cramps brouillaient mon ventre, comme de l'acide.

-La tu vas te calmer. Siffla-t-elle, en allant chercher, je ne sais quel objet de torture.

-Cette fois avec une dose plus forte,ou bien non... Il est tant de te montrer, ce que c'est que la douleur. Dit-elle sadiquement, me provoquant des sueur glacial, dans mon dos déjà bien mouillé.

-Pi.. Pitié Aleksandr... Mon... Dieu...Aleksandr.... Dépêche... ton cul. Arrivais-je à articuler péniblement alors que je recevais des coups tel un couteau qui me transpercait le ventre, à bout de forces je me plia en mode, position fœtale, sur ce lit ou je suis attacher depuis combien de temps, j'en ai oublier la notion du temps  à cause des trucs qu'elle m'injectait sans cesse.

-Parfait. Dit-elle en revenant avec des objets pour seul but la torture.
Je voulais lâcher prise , épuiser, à bout de force, humilier, mais une voix me servait de fuel me soufflait de continuer, de supporter, une voix, la voix d'aleksandr me disant de tenir bon tournait en boucle dans ma tête, et pour ajouter de la vitesse la promesse que je lui ai fait, m'aida à ne pas succomber, je vais tenir bon, je n'ai jamais était faible et jamais je le saurais.

-Prête ? Dit-elle avant  d'allumer le briquet sur une bouteille en plastique, qui commençait à fondre pour arriver, sur mon bras droit, me procurant d'affreuses souffrances, d'horrible brûlures.

-C'est qui la véritable femme d'aleksandr hein ? . Demanda-t-elle rageusement, en continuant de me brûler.

-S.. Si... Tu... Tu... Ahhhhh... pense que je vais céder... Ahhhh... Tu te mets le... Le doights dans... Ton... CUL. Articulais-je en criant à chaque fois, qu'une goûte entra dangereusement  en collision, avec la peau decidement sensible de mon bras.

-ARGHH... RÉPONDS MOI ESPECE DE SALOPE. Cria-t-elle alors que je bougeais dans tous les sens  faisant grincer le lit, de quoi faire un boucan.

-FAIT CHIER. Cria-t-elle lorsque le briquet s'éteignit,elle s'en alla de sa démarche à faire pitié, alors que j'étais littéralement en train de me baigner dans ma propre transpiration, ma peau me brûlait, la douleur était insupportable, mon corps avait cette envie d'arracher la partie de mon bras, pour courroner le tous mon ventre m'envoyait des cramps de plus en plus douloureuse. La vie est définitivement contre moi.

-Je t'aime Aleksandr. Fut les dernières parole que j'ai prononcer tel une promesse, avant que mes yeux ne se ferment.

-Tu vas mourir de la pire façon. Dit la voix ironique de cette folle,je me demandais toujours ou était Aleksandr, je n'entendait plus sa voix, voulait-il que je baisse les bras ? J'en en savais rien.

-Ce truc, mon favoris, tu va enfin sentir ce que ça fait d'être une seconde, dans cet hôpital. Reprit-elle en s'affaissant sur le lit, j'arrivais à entendre son horrible voix, mais mes yeux refusaient guère de s'ouvrir, il se peut qu'ils  ont décider de prendre leurs conger.

-les premiers minutes paraissent supportable, mais plus la dose est forte plus les minutes augmentes, ce qui veut dire que ça devient de plus en plus dur, il permet de calmer...mais devient un véritable  poisson lorsqu'il est en forte quantité. S'exclama cette dernière d'un voix calme mais sadique.

-AHHHHH. Criais-je lorsqu'elle ecrasa sauvagement, l'aiguille de la seringue dans mon bras déjà en piteuse état.

-Tu vas tous d'abord sentir, comme si ton corps était en train de flotter dans l'espace, puis... Tu ne pourras bouger aucun muscle, aucun membre, tu va ensuite sentir que ton corps est placé en dessus, d'une grille d'un barbecue en feu, une chaleur sans nom , tu vas sentir ton cœur battre tellement vite, que tu vas avoir peur qu'il puisse  sortir sauvagement de ta cage thoracique, tu vas transpiré, et va le sentir, tu seras paralysé pendant quelques minutes, ensuite t'endormir mais si la dose est forte, ton cœur va faire un arrêt cardiaque, ou soit mourir à cause de ton imagination, Dit-elle d'une douceur sans nom, alors que je craigner le pire, et cet voix qui m'encourageais, je ne l'entendais plus.

PDV ALEKSANDR :

-C'est quoi çe bordel. Sifflais-je en grinçant des dents, lorsque d'affreux picotements aux cœurs me firent, arrêter brusquement la voiture.

-Larissa... Je t'en prie... Tiens bon...je vais te sortir de là. Dis-je À chaque fois que mon cerveau se rappelait en boucle du cri de désespoir, alors que des picotements aux coeurs, venait aggraver la situation, tel un panneau qui m'indiquait, qu'elle baissait les bras,qu'elle succombait, que son âme comptait se rendre bientôt,sans savoir que sa perte, me renderait dingue.

-Supporte mon amour, j'arrive. Dis-je en accélérant.

-MAIS PUTAIN ENLEVE TON CUL DE LA. klaxonnais-je en frappant le volant, lorsqu'une voiture vint rouler tel une mamie enceinte devant moi, dans les rues de Moscou la nuit , le grand mafieux russe craint par tous, roulais jusqu'en à  griller  plusieurs feu rouge, pour aller sauver sa princesse , n'ayant aucunement peur de la police, sachant que mes voitures n'ont pas de numeros de plaques, donc il connaissaient à qui ils avaient à affaires.

Je suis la mon ange....

Her Destinity *En Correction *Où les histoires vivent. Découvrez maintenant