Chapitre 28

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Coucou
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Il me ramène vers un couloir vide, il m'embrasse.
Je me colle à lui, il me plaque contre le mur, et me soulève les jambes, le baiser est chaud.

— Il vaudrait mieux s'arrêter cara.
Je souris et acquiesce. Il me repose.

— Je veux repartir avec toi à Los Angeles.
— Pourquoi?
— J'ai besoin de faire le point loin d'ici.
— Et ton travail?
— J'ai obtenu un congé sans solde.
— Bien. Tu ne comptes pas profiter de ton neveu?
— Je pars quelques semaines.
— Bien.

Betty a accouché d'un petit garçon, Alejandro, il est à croquer. Je m'envole avec Lorenzo vers la Californie.
Après treize heures de vol, on atterrit, le vol a été long. Il nous emmène chez lui, je m'endors sur le canapé. Il me pose une couverture.

Je me réveille plus tard dans l'après-midi, je mange un bout. Je parcours la maison pour le retrouver.  Je finis par le retrouver dans sa salle de sport, il fait de la musculation.

— Tu ne dois pas faire d'activité sportive trop intense.
— Donc adieu nos parties de jambes en l'air.
Je ris.

Il continue sa musculation tout en me regardant, je flâne près des machines de musculation. Je me place derrière lui, je m'assois sur le banc, il ne bouge plus.

Je passe mes mains sur son dos bien ferme, j'enroule mes mains autour de sa taille et caresse son torse. Il se retourne, m'amène à lui et me fait asseoir à califourchon sur lui.
On s'embrasse avec empressement, il soulève ma robe, la passe au-dessus de ma tête et la jette au sol. Il dévore mes seins, je gémis. Il m'allonge sur le banc. Il passe ses mains de ma poitrine jusqu'à mon intimité, je me laisse aller. Il glisse sa main dans ma culotte, il titille mon intimité, je gémis . Il me mordille les tétons, je me sens partir. Je suis prise d'un orgasme, il m'embrasse, me relève  et me colle à lui.

— Tu devrais sortir d'ici princesse.
— Non.
— Non?

Il sourit. Il me porte et ouvre une pièce adjacente à la salle, une salle de repos. Il me pose sur le sofa, enlève son short et se place entre mes cuisses. J'essaye de me détendre.
Je sens son sexe au niveau de mon bas ventre, je détends  les cuisses. Il reprend ses baisers et ses caresses. Il entre doucement en moi, les flashs de mes viols me reviennent en pleine tête. Il s'arrête, essuie mes larmes.

— Tu es magnifique cara. D'accord?
Je hoche la tête positivement.

Il commence à effectuer des mouvements de va-et-vient doucement, j'essaye de chasser ces images.Il augmente ses mouvements tout en m'embrassant, je n'ai pas de douleur, mais je ne ressens aucun plaisir. Je suis perturbée par ces images, il accélère ses mouvements et redresse mon bassin. Il me caresse la poitrine.
Ses mouvements sont plus rapides, il continue jusqu'à provoquer plusieurs orgasmes. Il s'arrête, lèche mes seins et me titille ma zone de plaisir. Les orgasmes sont plus forts, il me rejoint et jouit. Il s'allonge à mes côtés, on se regarde sans un mot.  Une fois la montée d'adrénaline redescendue, on reprend nos esprits.

— Ton corps m'avait manqué carina.
Je souris.

— Aujourd'hui, j'ai été patient, la prochaine fois, ça sera autre chose.
— Trop aimable mafioso.
— Capo. ( chef)
Je ris.

— Tu te maries quand capo?
— Avec ma merveilleuse fiancée?
— Merveilleuse, il faut le dire vite.
Il rit.

— Dans trois mois.

J'ai un pincement au cœur.

— Bientôt la fin de nos galipettes.
— Je vais te garder pour la nuit de noce.
— Sûrement pas. J'ai des choses à faire ce jour-là.
— Bon, bah je vais en profiter comme il se doit avant.
— N'y compte pas!

On se relève, on s'habille et file me doucher, il m'emmène dîner dans un restaurant gastronomique.

Prison HeartOù les histoires vivent. Découvrez maintenant