Chapitre 49

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Bonne lecture

Mathilde : ouais bon c'est calé maintenant. Je suis tellement heureuse. Vous ne pouvez pas savoir à quel point et D'après ce que je sais déjà de toi t'es une fille superbe, et t'inquiète moi je t'adore déjà belle fille chéri,  et encore plus maintenant lorsque j'ai su que ton papa c'est lui là. Dit-il en se tournant vers papa.

Maman : attendez attendez, on parle bien de ma fille là. Diarra tu m'en a jamais parlé.

Moi: Ma je ....je  eh bien c'est parce que lui et moi ... comment dirais-je nous avons.... avais-je commencé, lorsque Bernard m'interromp.

Bernard : bébé viens s'il te plaît, peut-on juste parler deux secondes en privé? Dit-il en me prenant avec lui.

Moctar
Lorsque maman était partie,  j'ai entendu papa appeler.

Moi: oui papa tu as besoin de quelque chose

Papa : ta mère,  est-elle déjà parti?

Moi: oui papa pourquoi..

Papa : je me suis rappelé de quelqu'un qui pourrait vraiment aider ce jeune homme.  Il se nomme saka et il n'habite pas tellement loin.

Moi: papa le saka qui habite à côté,  celui  qui encadre que trois élèves dans ses cours coranique.

Papa: oui, exactement lui même en personne. Je me rappelle même si ça remonte des années maintenant. C'était la seule autre personne qui m'avait procurer des médicaments à part karamba.  Et le peut qu'il m'avait donner m'avait soulager.

Moi: alors pourquoi tu as continuer à utiliser ceux de karamba je ne comprends pas. Et lui faire tant confiance.  Moi je suis sûre d'une chose, il n'est pas clean dans mon handicap visuel là et même celui de ma sœur. Parce que allah ne peut s'acharner sur tout les membres d'une famille comme ça.

Papa: mon fils tu sais, cela s'appelle de la confiance et de la reconnaissance aussi.  Il a toujours été là. Depuis le début dans l'entreprise,  quand il marchait à flot et tout. Bien vrai que nous n'étions pas vraiment ami ami mais il était plus proche de mon frère.

Moi: ah OK c'est l'histoire que tu m'as raconté,  et après est venu votre faillite et par la suite l'accident.

Papa : exactement ! Depuis là,  lorsque tu m'as dit que tes chères cousin le connaissait depuis enfant,  cela m'a paru très suspect...

Moi: donc Papa,  nous n'avons plus une minute à attendre, nous ne devons pas le laisser nous faire du mal d'avantage, t'as une solution.

Papa: la solution c'est saka

Moi: papa nak vraiment je ne suis pas convaincu bilay, saka n'oublie pas ormi ces trois élèves qu'il dispense des cours coranique,  il n'est qu'un menuisier.

Papa : oui mais il ne faut jamais sous estimer une personne par son apparence.

Moi: kone d'accord j'y vais. Je vais chercher maman et nous allons le voir de suite.

C'est la que suis sorti et est tombé exactement sur maman qui arrivait.

Moi: attend c'est quoi ça.

Maman: on m'as remis ceci, je compte lui envoyer en France,  il doit boire ça et se laver avec.

Moi: wa yaye comme ça rek c'est fini,  c'est sûre qu'il vas se réveiller.

Maman: bah oui je pense, c'est Madame badiane qui me l'as suggérée. D'ailleurs comme c'est chère comme ça. Je crois que c'est un bon médicament.

Moi: c'est combien ?

Maman: 100milles

Moi: khay maman et tu as trouvé où les 100.000fr

Maman: pas encore trouvé,  je lui remis juste 5000fr après comme je lui ai dit que c'est une célébrité, bah il m'as fait crédit, en attendant d'appeler youssoupha, mais je compte tout payer moi même.

Moi: et comment hummm...... hum hum.... façon écoute moi, papa a dit d'aller voir saka.

Maman: Saka mane(quel saka). Khalatouma ko(je n'y pense même pas)

Moi: saka le menuisier même en personne, et nous allons y aller

Maman: pousse devant moi mane... dit-elle voulant passer.

Moi: ayyy yaye. Écoute allons rek, on ne perd rien en essayer. Et c'est papa qui l'as demandé. 

Maman: mais mom il n'est pas si connu deh. Même s'il paraît qu'il aide les gens du quartier, mais hum... Wa allons y.

Arrivée là-bas,  on lui a expliquée la situation et tout,  mais alors il s'est prononcé sur ces mots: tant que le malade en personne n'est pas là, que je le vois et l'examine je ne pourrais faire grand chose pour lui. Et listahar je ne le fait pas les samedi,  donc vous risquerai d'attendre jusqu'à demain.

Maman : hum c'est ça ouais...

Saka: madame je dis juste ce que je sais pas d'invention ou truc du genre.  D'ailleurs votre fils je peux lui procurer un soins, j'ai consulté juste en le regardant et j'ai un remède. Prend ceci,  asperges le sur ton visage.

Maman : Momar

Moi : yaye laisse, je ne perd rien dans toutes façon. Déjà je suis aveugle,  qu'est ce qui pourrait m'arriver de pire. Dis-je en essayant de prendre cette eau. Et comme par magie j'ai retrouvé la vue. Bilay. C'était floue quand même, mais wollah je voyais maman.

Moi: yaye je te vois

Maman : tu ment wa yow! watal(jure)!

Moi: wollah yaye.

Maman: merci Mr saka je vais tout de suite appeler youssoupha, il vas le ramener de suite... dit-elle en sortant de cette sombre assez sombre.

Moi j'ai fait pareille.  Et finalement c'est moi qui ai appelé youssoupha,  qui est vraiment affecté par l'état de son frangin. Mais il dit qu'il l'enverra et il dit aussi qu'il yaura son homme de confiance pour l'accompagner, lui il doit être là pour gérer l'affaire d'un procès.

Moi: procès de quoi alors que notre frère n'est pas conscient depuis 24h déjà.

Youssoupha : écoute moctar t'as pas compris,  je suis arrivé ici avec un tas de problèmes.  Ils accuse sérieusement mon frère de violeur et d'abus de mineur. Et ils ne veulent mêmes pas le laisser sortir. Il est sous surveillance je te signale.

Moi: NOOOO JURE??? donc diarra était sérieuse..

Youssoupha : c'est qui elle... façon je ferai tout pour ramener mon frère,  si ça coûte que l'on me colle un procès à moi aussi.

Moi: d'accord le plus vite sera le mieux .

Diarra non pas elle, cette fille là oui mais pas diarra.

Je l'appel de suite,  elle doit faire disparaître cette rumeur sur le champs. On sait tous que pH n'est pas comme ça et il me manque mon cousin.

Conversation téléphonique
Moi: allo

Diarra: sniffe.. oui ... pleure....

Moi: diarra dit moi qu'est ce que tu as?

Diarra: ......pleure.....

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