Chapitre 48

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Bonne lecture

Youssoupha
Mon petit frère et ce genre de personnes qui n'aime rien entendre.  Pourtant je lui ai dit de m'attendre là. Et de ne pas bouger. Et que wollah si nos doutes se fondent au saura trouver un plan, parce que l'affronter serrai nous faire tuer, parce qu'il est capable de nous massacrer.
Entré dans cette luxueuse maison,  je demande après Mr karamba. On me dit que l'on dit plus karamba mais karam le marabout. 

Moi: hum d'accord,  et puis-je le rencontrer ?

La femme: c'est pour un rendez vous?, il ne reçoit plus de malades.

Moi: non même pas,  c'est une urgence.

Là alors elle est partie le prévenir.

Une minute plus tard, je le vois élégant et tout, wollah que je ne pouvais le reconnaître, sapé et tout, il n'était pasfroissé comme la dernière fois. Mais lui lorsqu'il a vu que c'était moi, il s'était immédiatement figé.

Karamba: euuu..h ..mon fils, je... eu. Tu....   ça vas? Toi ici, çà tombe bien t'as vu le cadeau que mon fait mes....

Moi: ne bégaie pas tonton khay, hier tu parlais correctement non,...  je suis juste venu te rencontrer depuis le temps, mais je constate que la forêt vous a embellie.

Karamba: pardon??? Youssoupha..

Mais suis-je idiot ou quoi? Si je l'énerve là suis sûre qu'il pourrait me lancer un sortilège.  Et ça je ne rigole pas,  c'est une réalité chez nous et je dois toujours faire gaffe.

Karamba : tu m'écoute là ?

Moi: pardon... désolé oui oui quoi?

Karamba : tu sais mon fils de nombreuses personnes pour le service rendu m'on fait ce cadeaux,  cette immense maison que voici. Je ne m'y sent même pas à l'aise. Les personnes riches sont fous wollah, moi je préfère là-bas

Moi: hum OK, je comprends

Karamba : mais viens assis toi, reste pas là-bas assis toi. Pourquoi ne m'as tu pas prévenu de ta venue d'ailleurs ?

Moi: pourtant je t'ai appelé ça n'as pas passé

Karamba: ah oui bizarre, comment tu sais que je suis ici?

Moi: des recherches faites

Karamba : ah bon, on t'as dit quoi?

Moi: euhhh t'es connue en vrai, je ne savais pas.

Karamba : non même pas,  et pour ton cousin là, il ne raconte plus n'importe quoi j'espère.

Moi: qui Momar

Karamba : oui lui, j'espère qu'il ne vous dérange plus depuis la dernière fois.  Dit il en me servant un jus. Mais wollah je ne pense même pas boire ça. Doffouma.

Moi: non même pas. Euh je pense partir maintenant

Karamba : quoi nooo tu ne vas pas partir maintenant,  tu ne m'as même pas dit ce qui t'as amené d'ailleurs.

Moi: non rien laisser tombée, je suis très pressé d'ailleurs... dis-je en sortant de cette maison mane

Karamba : mais youssoupha,  Youuu.. khay et ton jus.

Moi: merci rek. Puis je me suis enfuis,  en vrai je ne lui fais plus confiance. 

Sorti de cette maison je ne vois plus mon ti frère.  PH nimou con wé mom tamite(qu'est ce qu'il peut être con) ne pouvais t'il pas seulement m'attendre.  Dis-je avant d'aller vers ma voiture.  La je me suis rappelé que c'est lui qui avait mes clés,  donc ce qui veut dire qu'il est quelque part par là. Il n'est pas parti comme je le pensais. Je retourne la ou nous étions tout à l'heure et le vois la avec le fameux jus, le jus que l'on as voulu me servir tout à l'heure là et en pointant du doigt le vieux. Il se disputait enfaîte.

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