Le Palace - 13

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Joaquim m'attendait visiblement près de la porte. Contrairement aux autres soirs, il ne portait qu'un boxer sous lequel je voyais une grosseur bien visible. Il était déjà bien excité. A cette époque je n'étais pas encore habituée à ce genre de choses et le spectacle m'excita autant qu'il m'effraya.

Il ne me dit pas un mot et se contenta de glisser son index dans ma jupe pour m'attirer vers lui et il referma la porte tout aussi vite. Moins d'une minute plus tard, j'étais déjà couchée sur le dos sur le lit, les jambes écartées alors qu'il se frayait son chemin en moi. Je mouillais comme je ne m'en croyais pas capable. C'était la première fois qu'il allait me pénétrer alors que je pouvais le regarder. Je me sentais fragile sous ce corps musclé et puissant qui me pressait.

Si je me rappelle bien, je crois que c'était à ce moment là en particulier, en le voyant faire que j'ai compris que je n'avais pas seulement une fascination pour la personne mais également pour l'énormité de son engin. A part le pénis de Lucas, j'avais déjà vu de loin mon père ou mes frères se laver, j'avais également regardé quelques vidéos pornographiques que Christine me faisait voir me taquiner. Mais un pénis de cette taille, c'était au-delà des normes que j'avais vus jusque-là.

Soudainement il s'enfonça profondément en moi et la sensation de douleur mêlée de plaisir m'arracha à mes pensées et me ramena au présent. Il s'affala sur moi et commença à me donner des coups de reins bien profonds m'arrachant de grands gémissements. J'étais totalement à la merci de ce colosse qui prenait son plaisir en moi et jamais je ne m'étais sentie autant épanouie.

Ses assauts répétés et la sensation de l'avoir en moi me comblaient. Je ressentais les dilatements de ma chatte à chaque fois qu'il se retirait et qu'il s'enfonçait à nouveau alors que je m'accrochais à lui comme une naufragée s'accrochant une bouée de sauvetage.

Puis soudainement il se retira et monta au-dessus de moi calant ses genoux autour de ma tête et mes présenta ses testicules. Instinctivement, je me mis à les lécher et à le sucer alors qu'il se masturbait en gémissait. Je sentis à ce moment là que son autre main toujours libre trifouillait mon intimité et il faisait ça extraordinairement bien. Lécher des testicules, c'était encore une chose que Lucas ne m'avait jamais demandé de faire et à laquelle je n'avais jamais pensé avant aujourd'hui, mais j'avoue que la sensation était géniale de pouvoir donner autant de plaisir juste avec ma langue.

Il ne fallut me longtemps à Joaquim pour m'arracher un premier orgasme et je sentis mon corps se raidir sous la puissance de la jouissance. N'attendant pas que je reprenne des forces il s'allongea à côté de moi et d'un signe de main, je compris qu'il m'invitait à venir sur lui.

Maladroitement, je le chevauchai et je compris qu'insérer un pénis pareil en moi n'était pas à l'époque de mon ressors. Comprenant mon problème, il posa une main sur le bas de mon dors en relevant les genoux et positionna lui-même son pénis à l'entrée de mon vagin. Ensuite, doucement et toujours avec autant de maladresse, je me laissais pénétrer par son membre en serrant les dents.

Cette sensation aussi je l'avais adorée. Être au dessus de lui, le regardait alors que je montais et descendait péniblement sur son membre dur comme du fer. Je me rappelle m'être aperçue à ce moment là que pas une fois il ne m'avait regardée, il se contentait de gémir de plaisir en pressant mes seins et puis soudainement il me prit et me tira contre lui. Il me bloqua contre lui et prit l'initiative du mouvement.

Les coups de reins qu'il me donna alors que j'avais près de son cou sur l'oreiller n'étaient en rien comparable à tout ce que j'avais eu dans ma courte vie sexuelle. C'était puissant, fort et même douloureux. Je criais littéralement le visage sur l'oreiller alors qu'il me pénétrait avec force sans prendre en considération mes hurlements. C'était à la fois bestial, brutal et magnifique. J'étais devenue une chose, sa chose et il faisait de moi ce qu'il voulait. Et mon plaisir augmenta avec cette pensée de savoir que j'étais celle qui lui donnait ce plaisir bestial et sauvage. Cette pensée suffit à m'arracher un second orgasme. Il s'arrêta dans sa course et garde son pénis bien profondément au fond de moi jusqu'à ce que je finisse de jouir. Mes genoux tremblaient et je sentais que j'étais totalement incapable de me lever même si je le voulais. Affalée sur lui, je le sentis se retirer et comme un courant d'air me traverser le vagin.

Les Passions de Sarah - Tome IOù les histoires vivent. Découvrez maintenant