Les Passions de Sarah - Tome I

Soumission - 9

Je sursautai d'effroi. Perdue dans mes pensées, je n'avais pas fait attention à la porte de la chambre qui s'était ouverte discrètement.

- Yannis ?

Yannis venait d'entrer dans la chambre. Tout ce qu'il portait c'était son boxer et un sourire avide sur son visage. Sans préambule, il s'avança et vint s'assoir à côté de moi sur le lit.

- Tu as mangé ? Me demanda-t-il.

- Oui merci.

- Bien, suis-moi alors.

Il se leva et alla vers sa chambre. Sans réfléchir, je le suivis.

Il n'avait pas encore ouvert les fenêtres et la chambre sentait le renfermé et l'odeur d'homme. La chambre était plus minimaliste avec un lit à deux places, une table de nuit et une commode. J'avançai lentement dans cet espace inconnu. J'entendis Yannis qui fermait la porte derrière moi. Je me suis retournée pour le voir enlever son boxer, une érection prenait déjà forme.

- Tu es à moi maintenant, dit-il fermement.

Me prenant par le cou il me fit m'allonger sur le dos sur le lit et de son autre main commença à m'arracher le peu que je portais.

- Yannis, tentais-je apeurée et excitée, Elias va se fâcher, je suis à lui.

- Ce weekend, tu es notre putain à tous les deux, répliqua-t-il. Je vais t'apprendre à me dicter quoi faire.

Me retournant sur le ventre, il se positionna derrière moi, une jambe sur le lit et une jambe par terre et enfonça brutalement son gland dans ma chatte. Je mouillais déjà abondamment, et au bout de quelques tentatives, il fini par me pénétrer complétement.

Il commença ses assauts brutaux exactement comme la veille, cherchant à me dévaster plus qu'à me faire plaisir. Sa queue si dure et si puissante me traversait la chatte, me replissait comme jamais. J'avais l'impression d'avoir un pieu dans le ventre. Mordant mon doigt, je laissai échapper un grand gémissement accompagné d'un orgasme dévastateur.

- Tu adore te faire baiser salope. Je n'en ai pas encore fini avec toi.

Me retournant à nouveau sur le dos, il se positionna au-dessus de moi et s'enfonça en moi brutalement m'arrachant de grands cris.

- Ouais j'adore quand tu gueule devant mon visage salope. Crie autant que tu voudras.

S'en suivi une partie de baise longue de plusieurs minutes pendant lesquels Yannis me dévasta la chatte et m'arrachant tout de même un deuxième orgasme. Commençait à râler plus fort, il se dégagea de ma chatte et me prit par les cheveux.

- Tiens, ton petit déjeuner trainée.

M'enfonçant son dard dans la bouche, je sentis les giclées de sperme chaud m'envahir la bouche et la gorge.

- Tu n'as pas intérêt à rater une goutte sinon je te ferai lécher le plancher salope.

Ayant été à bonne école, surtout avec Elias, j'avalais tout sans rien manquer. Yannis se laissa tomber sur le lit.

- Tu es une bonne salope, dit-il faiblement. Je vais encore te baiser mais plus tard.

La porte frappa et Elias entra.

- Non mais c'est quoi ce boucan ? Demanda-t-il.

- Ta pute a demandé à se faire sauter, répondit Yannis sans bouger.

Elias me regarda, je fis non de la tête mais apparemment, ma réponse importait peu.

- Ah oui ? Viens ici petite garce me dit-il.

Comme j'avais peur de bouger, il s'avança et empoignant mon bras il me tira du lit et m'emporta en coup de vent dans la chambre.

- Tu m'as trompé petite trainée ?

- Non Elias, il m'a dit que tu étais d'accord.

- Ta gueule.

Il me mit à quatre pates sur le client.

- Je vais te faire mal salope prépare toi.

Tirant mes cheveux en arrière, une main fermement appuyée sur mon bassin, il me pénétra violemment m'arrachant un grand cri.

- Je vais te faire crier moi tu vas voir, salope infidèle.

Elias avait toujours été sauvage pendant le sexe, mais jamais il ne me baisa aussi brutalement qu'à ce moment-là. Bien sûr, je compris par la suite que ce n'était qu'un jeu entre Yannis et lui et qu'il voulait juste me faire peur, mais à sa manière de me baiser, il était clair qu'il voulait tester mes limites, voir si je ne m'écroulerai pas.

Donnant de puissants et rapides coups de bassins dans ma chatte, me traitant de tous les noms avilissants du monde, il me baisa pendant au moins une quinzaine de minute, me faisant hurler de douleur et de plaisir.

Soudainement, poussant très fort et très profondément en moi, il se lâcha.

- Oh oui, prends ça sale pute.

A nouveau, je sentis son liquide chaud et épais m'envahir la chatte. Comment pouvait-il en avoir encore autant après hier soir ? Moi, j'adorais cette sensation.

- Lève-toi, ordonna-t-il.

Ne comprenant pas où il voulait en venir. J'obéis.

Debout devant lui, je sentis le sperme qui commençait à me couler entre les cuisses. Il voulait ça apparemment.

- Tu sais ce que ça veut dire Sarah ? dit-il calmement.

- Oui, répondis-je.

- Et qu'est-ce que ça veut dire ?

- Ça veut dire que je suis à toi.

- Parfait.

Me prenant doucement par la main, il me reconduit dans la chambre de Yannis, qui était toujours dans la même position.

- Tiens Yannis, tu peux encore lui éclater la chatte si tu veux, mais fais vite, nous devons partir tôt aujourd'hui.

Il me laissa, et en partant, il referma la porte derrière lui.