SPY AGENCY [TERMINÉ]

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Une vague de chaleur l’envahie et, peut-être était-ce dû à l’alcool mais elle ressentait le besoin de lui dire qu’elle était reconnaissante.

Lentement, elle pencha la tête pour caresser ses lèvres avant que leurs langues ne commencent à danser ensemble. Elle gémit, approfondissant leur baiser torride en enroulant ses bras autour de son cou.

Elle pouvait sentir l’érection de Cassian contre elle, ce qui lui donna encore plus de pulsation entre ses jambes.

Les mains du brun se posèrent timidement sur ses hanches puis sur ses fesses et elle se cambra. Son adolescente intérieure dansait de joie en elle tout comme sa femme intérieure et toutes les deux ne demandaient qu’une chose : se faire prendre par cet homme.

Il grogna lorsqu’elle se mit à onduler son bassin contre son membre dur, ses mains se crispant sur ses fesses.

—    Oh putain, soupira-t-il quand elle quitta ses lèvres pour mordre son cou.

La tête du brun se reversa, lui donnant un accès plus libre à son cou. Elle le mordit, déposant quelques suçons puis léchant tendrement les marques qu’elle lui avait laissé.

Elle pouvait entendre son cœur battre dans sa poitrine et son rythme saccadé soulevant son torse rapidement. Elle sourit en le voyant dans un tel état, encore plus excitée qu’elle ne l’était de base.

—    Pourquoi avoir attendu aussi longtemps pour le faire ? le questionna-t-elle en frôlant ses lèvres.

Il tressailli, serrant les poings en gesticulant sous elle.

—    Je voulais le faire avec toi.

Elle se mordit la lèvre du bas, sentant sa culotte se mouillée davantage.

Sa main glissa jusqu’au bouton de son pantalon, qu’elle effleura lentement, son regard accroché à celui du brun. Il respirait fort, sa bouche entrouverte.

Son regard brulait de désir et, tranquillement, elle glissa sa main dans son boxer, caressant son sexe. Il grogna lorsqu’elle le prit en main, commençant à faire des mouvements de haut en bas.

—    Muse…

Sa respiration était lourde et sa voix remplie de désir. Elle sortit son sexe de son emballage, faisant face à un membre dressé, presque sur le point d’exploser tant le sang reflué.

Elle s’humidifia les lèvres, descendant de sur lui pour se mettre à genoux devant sa bite. Elle avait l’eau à la bouche en la voyant, voulant la prendre dans sa gorge pour la sucer et apprécier chaque centimètre.

—    Combien de donuts tu penses qu’on peut empiler sur ta queue ? demanda-t-elle en fixant la boite de donuts.

Cette question sembla le prendre de court mais il réussit tout de même à sourire, affichant son sourire narquois qui semblait être sa marque de fabrique.

—    A toi de voir, rétorqua-t-il.

En souriant, elle prit un premier donut, le faisant glisser autour de son sexe. Ils avaient eu l’air d’avoir été conçu pour se glisser sur sa queue car sa elle passait parfaitement dans le trou du donut.

Elle observa sa réaction avant d’en faire glisser un deuxième puis un troisième. En tout, huit donuts étaient autour de son membre. Elle gloussa en voyant la scène avant d’être prise d’une fringale.

Tout en ancrant ses yeux verts dans les siens – qui semblaient savoir ce qu’elle allait faire – elle approcha sa bouche avant de prendre un croc dans le premier donut.

Il grogna en la regardant faire, son torse se soulevant fortement pour redescendre plus lentement.

—    Je veux graver ces images dans mon esprit, avoua-t-il en la laissant faire.

—    Prends des photos.

Il ne fallait pas lui répéter deux fois. Il sortit son téléphone avant que le flash n’éblouisse la rousse. Pour la photo, elle sortit exprès la langue, rendant la photo provocante alors qu’elle fixait l’objectif de la caméra.

—    Tellement sexy, souffla-t-il en balançant son téléphone après avoir pris plusieurs clichés.

Elle sourit, mangeant les donuts avant qu’il n’en reste plus aucun avant de le prendre dans sa bouche. Il poussa un grognement grave, sa tête partant en arrière.

Son sexe en bouche, en le fit glisser jusqu’au fond de sa gorge, léchant sa verge avec sa langue puis son gland.

Ses mains s’agrippèrent à ses cheveux roux, les tirant légèrement lorsqu’il s’enfonçait un peu plus en elle. Elle eut un haut-le-cœur lorsque son membre s’aventura plus profondément dans sa gorge.

Cette sensation l’excitée encore plus. Se dire que Cassian, le Cassian Bush, était en train de baiser sa bouche, la rendait folle – ou plutôt, rendait folle sa chatte déjà trempée.

Les mains du brun se crispèrent dans ses cheveux lorsqu’il jouit dans sa bouche. Elle se recula, avalant le liquide chaud et salé avant de grimacer en sentant l’arrière-gout.

—    Muse, tu es vraiment incroyable, haleta-t-il en la fixant, complètement décoiffée, un voile d’excitation couvrant ses yeux d’habitude si indifférents.

—    Bush, ce n’était que les préliminaires.