" -DEBOUT LA DEDANS !"
Hurla une voix depuis l'extérieur des cellules. Immédiatement tous les esclave se levèrent et se présentèrent pour une rapide inspection.L'employé -un des seul de ces lieu- fit le tour, vérifiant qu'aucun des travailleurs n'étais mort durant la nuit. Dans l'une des cellules une odeur putride laissait deviner un mauvais présage. L'odeur de charogne avait embaumé une bonne partie de la nuit et peut de serviteur avaient put dormir. Un d'entre eux qui meurt, en général,c'est un grand silence, on entends parfois quelques larmes éteintes,pour peut qu'un autre se soit attaché, mais c'était rare et dur par ici. Là c'était différent. Personne n'avais pût dormir à cause du bruit. Le responsable des corvéable pesta et s'approcha de l'origine de l'odeur en grommelant.
" -La mort emporte cette chienne, jura-t-il en arabe."
Il tira sur les cheveux de la femme qui se releva, les yeux plein de terreur, serrant dans ses bras maigre un précieux chargement. Le petit paquet se mit alors à vagir avec toute la force de ses petits poumons neuf. Sans aucune pitié l'homme lui arracha des main l'enfant, déclenchant chez elle un cris déchirant. En perse elle se mit à le supplier d'épargner son bébé, pour toute réponse elle obtient un coup de pied et l'ordre de s'asseoir à même le sol, là où durant la nuit elle avait donner la vie comme elle le pouvais.Encore épuisé de l'effort, sous les regards inquiet des autres asservi, l'homme inspecta sous toutes ses coutures le nourrisson. Son rapport allais être propre aujourd'hui :
La femme d'origine Azérie avait accoucher d'un mâle, de la même ethnie qu'elle,qui lui ressemblait comme deux goûtes d'eau. En d'autre terme il valait très très cher. Il ne fallait pas l' abîmer. D' habitude on tuais les bébés né dans les cellules sans autorisation : c'était trop de problème d'avoir une esclave enceinte, sans parler des morts en couche, puis de s'occuper d'un poids mort comme un nourrisson. Trop de problèmes. Mais là on avait pas agis pour provoquer l'avortement parce cette esclave avait un prix dépassant de loin celui de tous les autres réunis. Une fortune, voilà ce qu'il tenait entre les mains. Et c'est ce qui poussa le régisseur à être plus minutieux que d'habitude quand il retourna dans tous les sens la petite chose hurlante. Pas de malformations, rien de travers, tout bien là où il fallait, et gros en plus. On avait bien fait de donner double ration à l'esclave quand elle l'attendais celui là. Il passa alors au plus délicat et sorti son sabre recourbé qu'il avait à la ceinture -accompagner d'un fouet usé-. Heureusement il avait le coup de main,des nouveau esclave il en avait manipulé des tas, il savait y faire.Et pour la survis de ces dernier mieux valait qu'il fasse ce qu'il allait faire.
" -Tient le ! Ordonna-t-il a la mère. Et bouge pas !"
Elle attrapa immédiatement le petit dans les pans de sa tunique de jute pour emballer sa nudité.
" -JE T'AI DIT DE PAS BOUGER !"
Lui hurla-t-il en lui donnant une violente gifle. Elle déballa alors de nouveau son précieux chargement. Il valait mieux le tenir, en effet,et ne pas forcé l'employé du maître à ce répété. Elle attrapa donc la petite chose se tortillant, lui maintient pied et main immobile en retenant ses pleurs quand la lumière du soleil dehors brillât sur la lame de fer dégainé dans un bruit tranchant. L'homme attrapa le petit bout de cordon rabougris, sale, haché et écrasé entre ses main. Cette conne avait fait n'importe quoi, elle avait couper le cordons avec une pierre. Il eut un regards au placenta traînant dans la poussière et une mare de sang. C'était de là que venait l'odeur d'immonde charogne. D'un petit coup sec et vif il trancha le reste du cordon à quelques centimètres du ventre de l'enfant. Le sang se remit à couler il pinça donc le bout entre ses doigts avec toute sa force -et il en avait, c'était lui qui maintenait l'ordre dans les cellules d'esclave de son seigneur- pendant de longues minutes. Le temps de faire cela, il avait hurler depuis sa position les ordres à chacun des parqué. Un moment après le sang avait sécher et coagulé, le bébé ne pleurait plus. Il tira donc la femme et son fil à part, jusque devant son supérieur.C'était le seul à parler les langues des esclaves hors il fallait des réponses à certaines questions. La pièce était sobre : juste une assise pour l'arabe, la femme persane restant debout. Cependant, ce simple meuble, les murs carrelé et la fenêtre faisait de cet endroit un palais en comparaison des soubassement en argile où était chaque nuit enfermé les serviteurs non-libre.
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Le Favori
RomanceIl s'appelle Ihsan, c'est le nom que lui a donné sa pauvre mère, elle aussi était esclave avant, comme lui l'es a présent. Il travaille pour le maître, un grand seigneur fidèle à l'empereur. Aujourd'hui son fil cadet Shapour vient en visite, il faut...