Chapitre 23, part 1

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Les jours avaient passé, avec eux c'était inexorablement rapprocher la guerre. Aujourd'hui, dans tout le royaume le peuple avait faim, les mendiant dans les rues se multipliait, et les vol à l'arracher allait croissant. Au début les exécutions sommaires avait eut pour objectif de dissuadé la fraude et le crime mais aujourd'hui on trouvais trop de morts dans les rues pour qu'une décapitation pour l'exemple heurte la sensibilité. L'empereur avait donc due abandonner l'idée. Il avait tenter, sur un même front, de puiser dans les caisses de l'état afin de faire venir plus de marchandises depuis des routes plus sûr ou méconnu, aujourd'hui cela n'était plus faisable car même le royaume n'en avait plus les moyens. Les pirates sur-enrichies faisaient régner un climat de terreur et assoiffé d'argent avaient finit par peu à peu demander toujours plus de la part de leurs employeur. Aujourd'hui, et cela ne surprenais que Shapour, eux aussi soufrait du banditisme. Voyant ses moyens se réduire et ses trésors personnels se vider, il avait stopper du jour au lendemain le paiement des escrocs qui pour combler la différence, avec le pouvoir obtenus, s'était basé dans plusieurs villes où il pratiquait une "taxe" sous forme de racket aux population. Cette pression allié à celle de l'état qui pompait toujours plus afin d'acheminer des produit qui finissaient bien souvent au fond de l'eau acheva de mettre le richissime empire sur la paille. Les choses allèrent de mal en pire de manière exponentielle dans les rues mais il y avait tout de même un point qui restait sous le contrôle de Shapour : sa région ayant toujours été très pauvre et en grande partie inhabité, la population n'avait que peut souffert de la baisse de régime.

Comme convenus, le prince cadet avait officiellement fait sédition avec son père, refusant de lui envoyer des fond. Le peuple avait compris que Shapour "ne les déposséderais pas de leur argent" et que "leur impôts resteraient au pays" mais dans les fait cela voulait seulement dire que Shapour ne participait pas à l'effort durant la crise,continuant inlassablement de s'empiffrer dans le luxe des puissant,là, dans son palais. Et malgré me fait qu'il continuais de vivre grassement, comme s'il était toujours en période de faste, il avait le soutient minimal du peuple. Avec quelques donations et actions de grasse, ainsi que quelques massacres de pirate il avait réussi à mettre le peuple à genou et dévoué et ce bien que ce dernier creva la faim. Là où Shapour réussissait, son père et son frère échouaient dans des contrés autrefois bien plus riche. On y criais que la famille impérial était impuissante, faible, et bien incapable de protéger sa population. De ce fait de nombreux mouvement indépendantiste commençais à se former, et pour les réprimer l'armée avait été très mobiliser. Davantage occupé aujourd'hui à arrêter le peuple révolté, l'armée était obliger de négliger les criminels traditionnels pour ce qu'on nommait encore"terrorisme". Shapour avait répondu à l'appel de son père d'un point de vu militaire, il se devait de ne pas trop froissé ce dernier s'il voulait lui succéder. Et suivant son plan, il avait envoyer presque tous ses fils dans l'Est, là où c'était certain la première guerre civil éclaterait. Les rapports qui parvenait à Jamshid étaient édifiant et donnait froid dans le dos ...

" -Jamshid ?! L'appela son maître. Alors ?!

- Et bien ... On dénombre une remonté de la mortalité pour des causes de maladie où de dénutrition.

- Je m'en fiche ça ! Je veut savoir où en est le conflit !

- C'est encore une poudrière, la guérilla se fait la nuit contre des casernes principalement. Un de vos fils écrit qu'il n'ose plus dormir de peur d'une attaque. Mais malgré ça le peuple ne s'en prends pas encore au représentant de la royauté ou aux gardes impériaux de manière directe, cela ne saurais tardé avant que tout n'explose et que les batailles se fassent dans la rue. On as déjà vu 117 soldats isolé se fait tabassé à mort sans compté les nombreux blessés. Le moral des troupes n'est pas au mieux. Quoi d'autre ? Et bien le peuple n'est pas le seul à souffrir de la faim et les promesses d'être nourris pour les soldats sont surement ce qui les maintient obéissant sinon ils rallieraient sans doute la population.

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