Chapitre 19, part 1

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Comme promis vous avez un petit résumé soft de cette folle nuit dans les bras l'un de l'autre :

Petit à petit les deux hommes dénudé avaient appris à se voir complet et ce malgré leur nombreuses cicatrice et leurs corps lacéré,découpé, incomplet. Ils avaient vaincu. Leurs hontes et leurs peur,tous les doutes, avaient été effacé à force de longues caresses,de discutions posé et de baisé doux. Ils avaient parler, murmurer des mots sublimes, aimé chaque imperfections de l'autre. Leurs sentiments avaient eut raison, à force d'étreinte et de sensualité,de toutes les appréhension de leur unions et les souvenirs douloureux de leurs vies passés. Ensemble il n'étaient que passion et présent. L'avenir ils s'en fichaient, le passé n'étaient plus rien avec les yeux de l'autre comme horizon. Dans la tente de Touareg ils se lièrent et firent l'amour. Dehors se couchait le soleil rouge et de plus en plus fatigué, la lune semblant soupirait s'apprêtait à venir avec la nuit. Et soudain dans la tente, au milieu des draps froissées et trempé de sueur : une éclipse. Et un seul cris poussé par deux corps en osmose.

Doucement les deux corps unis se désolidarisèrent, restant au plus proche encore un peu, engourdit de leur plaisir respectif qui s'ajoutait et se transformais peu à peu en une intense satisfaction. Jamshid caressa la joue du garçon aux yeux pourpres en souriant, épris et éreinté mais surtout bienveillant.

" -Il fait nuit, ce n'est pas raisonnable d'aller se baigner maintenant.

Non ... souffla Ihsan d'une voix basse, ailleurs.

Restons comme ça, on se lavera demain. D'accord ?

Oui ...

Ihsan, revient moi. Tu m'inquiète.

Je vais bien ... Si bien ... Je t'aime.

Moi aussi.

Mais je t'aime plus que tout ce que j'ai déjà aimer sur terre. Ce n'est pas une façon de parler, c'est la vérité tu sais. Avant je n'aimais rien, et longtemps je t'ai comparé à ma mère en mon fort intérieur. C'était elle avant ce que j'aimais le plus au monde. Maintenant c'est toi. Je crois que je la cherche encore en toi tu sais ... Je suis désolé ...

Ce n'est pas grave. Tu tenais énormément à elle.

J'aurais dût mourir, si elle ne m'avais pas protéger je serais mort milles et une fois. Je n'arrive pas à oublier ...

Il ne faut pas oublier, les gens qui partent ne vivent plus que dans les cœur de ceux qui s'en souviennent.

Peut être, mais je pense à elle souvent, et je n'arrive pas à me défaire de son absence. Je la cherche en toi, je la cherche dans chaque bonne chose qui m'arrive et je la prie de venir à mon secours dans chaque problème. Il y a toi bien sûr, souvent, de plus en plus. Mais il y a toujours elle.

C'est dur de faire son deuil. Tu es sûr de vouloir parler de ça après l'amour ?

Non ... Je t'aime.

Je t'aime aussi.

Tu ne m'en veut pas ?

Pourquoi ?

Pour tout. Mon comportement, ma mère, mes souvenirs, mes réactions, mon caractère. Il y a beaucoup à haïr chez moi.

Mais tu viens de lister tout ce que j'aime.

Jamshid ...

Oui ?

Et demain ?

Demain nous prendrons un bain dans le lac et ...

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