Son altesse Shapour était ensevelit depuis son retours sous une quantité astronomique de document qui lui était parvenu pendant son voyage et qu'il fallait désormais traiter dans les plus bref délais. Il n'avait plus ni le temps ni même l'idée de pensé à se divertir,excepter le soir où il descendait voir ses épouses faute de temps pour aller voir ses amant. Priorisé ses femmes était nécessaire pour son image certes médiocre aux yeux de la cour impériale mais malgré tout il était un prince et un prince se devait de faire bonne figure. Il caressa les plumes blanches du faucon qu'il faisait niché dans son bureau en épluchant les relevé de transactions maritimes. Il gérait le commerce entre la basse et la haute Afrique ainsi que toutes les exploitations sur la côte Ouest du continent appartenant à l'empire qui, soit dit en passant, était sans aucun doute à son apogée, plus étendu qu'il ne le fût jamais. Shapour avait sous sa juridiction les derniers comptoirs Orientaux avant le départ vers le cap de bonne espérance. A cela s'ajoutait que cette même route servait au retours des bateaux charger jusqu'à fond de cale de denrées Asiatiques, en profitait les ports de Casablanca et Rabat jusqu'à Tunis et Tripoli en passant par Tanger. Pourtant tousses ports de commerce n'étaient rien, juste des arrêts inutiles pour les marchants qui parait vendre à Alger, Oran ou Istanbul et Alexandrie. Uniquement des villes loin de la juridiction de Shapour,sous le contrôle de d'autres membres de sa fratrie. Il cracha ! De tous les fils de son père il était le plus mal aimé, pour preuve il était le plus mal lotis ! Les marchants qui passaient par la mer pour rejoindre l'Asie étaient tous des fou qui revendait les marchandises hors de prix et de piètre qualité car abîmer par le voyage. Seul la route de la soie représentait un véritable intérêt pour le commerce avec la Chine et encore une fois c'était Bajazet qui avait tout ! C'était lui qui dirigeait sa cher Perse, les seules terres que Shapour avait toujours désiré dans l'empire. C'était encore lui qui s'enrichissait à l'infini et pouvais sans problème se rendre à la capitale ! Ici dans le désert on était pauvre et bien isolé. Il fit valser une chaise, effrayant son oiseau de proie.Personne n'avait que faire de la viande de brousse et de l'ivoire dans le bassin méditerranée ! Les gens voulait des épices ! Des épices que Bajazet avait, LUI !
Enrageant comme chaque jour il s'effondra dans son fauteuil et tenta de calmer l'animal paniqué qui tentait de s'envoler de son perchoir malgré la chaîne et le capuchons. Il chuchota quelques mots passionné à son faucon et celui-ci finit par se calmer. Shapour n'aimait pas le commerce, il n'avait jamais aimé ça. Le seul qui parvenait à l'y intéressé était Jamshid mais ce dernier était occuper ces temps-ci aux palais. Le prince préférait de loin les plaisirs de la vie, il aurait aimé être à la place de Bajazet qui avait tout : le trône en héritage, un fief gigantesque, des finances florissantes. Ou alors avoir la place de son plus jeune frère Oussama qui certes n'avait qu'un petit palais tranquille près de la côte mais n'avait aucune responsabilité ni aucun problème. Sa situation était la pire : il avait un fief certes grand mais miteux, des terres arides et un désert, des étendus à garder en paix avec des minorité qui se battaient sans cesse, tous les problèmes de grands ports, des grandes cité, des grandes étendu habité, sans aucun des avantages.Des jours il aurait aimé que Bajazet et le roi meurt. Mais c'était sans compter sur son neveu, Soliman qui aurait alors hérité de tout. Décidément il était destiner à passer à côté des bonnes choses. Heureusement que ses belles épouses et ses beaux amant étaient là, eux. Heureusement que ses enfants était respectueux,et vif autant de corps que d'esprits, heureusement qu'il avait se palais où couler des jours plus paisible. C'était une retraite dans son désert à lui et à Jamshid. Parce que le désert était la seule chose qu'il partageait, sinon tout était à lui. Pour son meilleur ami il avait fait une exception. Il lui avait donner une partie du désert natale des Touareg dont la famille de Jamshid était originaire. C'était symbolique, tout restait sous sa juridiction,mais cela faisait plaisir aux deux hommes de regarder les dunes la nuit par la fenêtre et de ce dire d'une même pensé "Il est beau notre désert". Jamshid était son seul véritable ami dans ce monde. Les heures filait et il était fort tard quand son altesse remarqua enfin la missive cacheté sur son bureau de "L'empire éternel" et du blason extrêmement complexe de ce dernier. A cela s'ajoutait un deuxième caché lui privé indiquant quel'envoyeur non comptant d'être une personnalité ayant une identité civile reconnu dans la noblesse faisait parti de la direction impériale sous son altesse l'empereur, sultan d'Orient, le magnifique Mehmet II. A l'instant où il remarqua le bas relief de cire Shapour perdis sa couleur marbré pour devenir sable, délavé. Il pesta dans toutes les langues qu'il connaissait entre autre le Perse qu'il parlait fort mal avant de se saisir en toute hâte du courrier urgent.Tout ce qui avait le blason impériale était primeur sur le reste.D'un geste nerveux il déchira le précieux papier.
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Le Favori
RomanceIl s'appelle Ihsan, c'est le nom que lui a donné sa pauvre mère, elle aussi était esclave avant, comme lui l'es a présent. Il travaille pour le maître, un grand seigneur fidèle à l'empereur. Aujourd'hui son fil cadet Shapour vient en visite, il faut...