Chapitre 24, part 1

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Au choc des épées répondait les cris des hommes blessé dans leurs chaires. Giclait partout le sang chaud des être que trop d'honneur et de haine avait jeter dans les filets de la guerre. Coulait les larmes abreuvant la terre assoiffé d'orient qui se teintait du rouge du malheur. La chant des oiseaux avait été remplacer par les plaintes des Hommes. L'ombre de la mort avait jeter son dévolu sur ce monde resté trop longtemps paisible et fleurissant. Plus la guerre prenait de vie, plus elle appelait la haine et attirait à elle les égaré, les malheureux, les trahis, les démunies. Prenant les armes, les hommes frappaient ce voisin qui n'avait aujourd'hui plus de visage. Ce n'était plus homme contre homme, c'était monstre et démons des uns contre ceux des autres. Plus rien d'humain n'existait sur le champs de batailles. Ne redevenait Homme que celui qui pour toujours s'écroulait dans la poussière, sans âme. Piétinant les cadavre pour tué les vivants, ils se jetaient les uns sur les autres dans des cris de colère. Chaque vengeance en entraînait une autre, jusqu'à ce que le sang et les chaires broyé deviennent le tapis rouge sur lequel marcherait les victorieux lorsque le chaos prendrait fin. En attendant ce jour fatidique, il semblait venir toujours plus de combattant innocemment près à donner leur vie en poussant des cris bestiaux. Celui qui aujourd'hui prenait les armes demain serait mort, puis remplacer. La guerre effaçait les noms mais pas la colère qu'elle décuplait. Semant dans les cœurs de la jeune générations les graines de la haine, de la colère, de la rancune. Sous les larmes des enfants mûrissaient des cœurs qui dans le future répéterais cette histoire morbide. La guerre et la mort n'avaient même pas finit de frapper que déjà elle préparait leurs retours en traumatisant tout. Il semblait qu'elle durerais mille ans,et que les villes deviendrait des cimetières. Dans le ciel montait des fumé grises des incendies comme autant linceuls étendus sur les villes et les villages.




" -Mon maître ... J'ai de mauvaises nouvelles.

- Nous perdons ? Demanda Shapour en s'éloignant de son faucon.

- Non mais ...

- Alors tout va bien Jamshid. Tant que nous arrivons à nos objectif le reste est mineur.

- Votre fils Rabat est tombé sur le champs d'honneur il y a deux jours ... Il n'avait pas d'héritier.

- Donc nous récupérons ses anciennes possessions n'est ce pas ?

- Oui monseigneur. Il a été fauché bien jeune votre altesse, pourriez vous rédiger les commandements pour son inhumation ?

- Ils n'arriveront jamais à temps de toute façon. Qu'ils fassent ce qu'ils veulent de la dépouille et qu'on amène ici toutes ses possessions. Quel âge avait il ?

- 16 ans monseigneur ...

- Alors nous avons beaucoup de chance qu'il n'ai pas d'héritier. Et Moktar, comment se porte il ?

- Bien. J'ai reçus des nouvelles de lui récemment : son armée à longe la côte. Il a rejoint plusieurs de ses cadets et ils marchent ensemble vers Constantinople pour y stopper le foyer de la rébellion.

- Combien de temps avant qu'il n'y parvient ?

- Cela dépends si votre fils aîné continus son triomphe où s'il échoue dans certaines prises de villes portuaires.

- Son triomphe ?! Moktar ?!

- Oui. Il est un véritable héro de guerre à ce qu'on dit. Excellent cavalier, comme toujours. Il a mater de nombreux groupes rebelles et à charger ses frères les plus jeune de garder les villes principale d'une main ferme. Il est bon stratège, votre majesté. Il avance surement. Peut être dans moins d'un ans seras il sur Constantinople.

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