Chapitre 25, part 1

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Il était un homme fier, montant un grand destrier au flan poudreux, tout couvert de sueur collante et de poussière d'avoir tout juste achevé de marcher sur la ville de Tripoli. Un autre cavalier, de 7 ans son cadet vint se placer à son côté, le souffle court et les yeux admiratifs :

" - Mon frère, la ville est sous contrôle

C'est bien, lui dit il en posant une main ferme sur son épaule."

La remise à pied des quartiers de Tripoli avait été un peut plus complexe que ne l'avais prévus le jeune seigneurs, mais ils y étaient finalement parvenus sans grand heurt. La prison politique nécessiterais une surveillance correcte et ferme, mais juste pour que la population comprenne à qui il était juste d'obéir fidèlement et sans montrer de résistance. Moktar, en aîné, avait prouver à tous sa capacité à redresser des peuples et ainsi avait gagner en un rien de temps le respects des troupes de ses frères en plus de l'éternelle admiration qu'il avait toujours eu de ses derniers. Il avait été pour eux bien plus un père que leur propre géniteur : avec ses talents militaire et sa rigueur calculé il était un modèle incroyable. Il avait été tout désigné comme générale de l'armée de l'empire et ses réussites éclatantes avait assis encore son autorité. Surement était il encore plus considéré et craint que son propre père Shapour qui n'était pas reconnu pour des faits d'armes exceptionnels. On considérait cependant encore Moktar comme son simple fils, encore un cran en dessous autrement dit. Il n'avait pas assez prouver sa valeur. Et pourquoi cela ? Car pour l'instant il était encore dans la principauté la plus docile de l'empire. Mais ils approchaient de la frontière, là où les rebellions était bien plus intense. Enfin il allait pouvoir faire couler davantage de sang et montrer qu'il était bien plus capable que son idiot de géniteur. Shapour était un couard qui se cachait dans son palais.

Il était avare et accumulateur compulsif (bien qu'il se désigne comme un collectionneur). Ses seuls batailles il les avaient mené comme second de Bajazet et avec le soutiens d'excellents stratèges de se fait les conflits emporté ne l'avait pas fait entré dans l'histoire. Ne s'étant pas illustré, il ne valait pas grand chose. Shapour était un prince médiocre. A tout dire Moktar avait honte d'être du même sang que lui. Quel type pathétique, à exulté pour un bijoux, quand lui trouvait le sourire dans l'honneur des champs de batailles. Nul doute que Shapour était un faible, destiné à rester dans son bureau. Lui était un homme puissant, fait pour la guerre, et ce conflit était son occasion personnelle de se dissocier de l'image paternelle et de gagner du galon au côté de l'empereur.Son père était second prince, un titre ridicule obtenus seulement par sa naissance, sans aucun honneur ni fierté. Moktar lui visait des distinctions militaire. Un rêve serait de devenir général des armées du saint empire. Et avec ses prouesses il avait de plus en plus ses chances. Les étoiles dans les yeux de Hakim qui s'éloignait sur son cheval nerveux flattait parfaitement bien son ego surdimensionné. Pour tout dire,presque tous ses plus jeunes frère étaient encore de grands enfant qui avait mené de tout petit territoire où rien n'était à faire. Ils ne connaissaient pas la guerre. Moktar lui avait toujours œuvré pour rendre plus puissante ses troupes et n'avaient pas hésité à donner énormément d'importance à l'armée sur ses terres. Les rapports de force étaient ce que comprenaient le mieux les Hommes. Moktar flatta l'encolure de son destrier qui soufflait fort la poussière de ses naseaux. D'une voix forte il hurla :

" - Rassemblement à l'extérieur de la ville ! Je veut tout nos hommes mobilisé prêt pour le départ demain à l'aube !!"

Il s'occuperait de détailler la position des troupe et leur entretient plus tard, voir même pas du tout. Aujourd'hui certains de ses petits frères étaient capable de comprendre et géré la manutention de troupes et il pouvait se concentré sur l'avancer de leur campagne. Au finale pour lui la situation était idéale : lui et ses frères étaient partie d'une région docile et soumise où ces cadets inexpérimenté pouvaient se former et commettre des erreurs sans rien compromettre. A mesure qu'ils progressaient dans l'art militaires ils avançait avec une efficacité croissante vers la capitale, foyer de la rébellion.Vraiment une situation rêvé pour mené une campagne glorieuse. D'un coup sec de talon il fit démarré son cheval dans les rues qu'il avait soumise à son autorité brusque et stricte. Si un étranger venant d'arrivé l'avait vu passé ainsi, galopant dans la poussière,nul doute qu'il l'aurait trouvé incroyable : doté d'un physique bien plus avantageux que celui de son père (grandement hérité de la beauté de sa mère), typiquement arabe, un air noble et princier,une main ferme sur les reines d'un coursier splendide. Il ressemblait à un sultan de conte, triomphant, le regards dur et fier sur son royaume et suscitant toute l'admiration du monde pour sa puissance et son ambition déterminé. En revanche, pour les habitants de Tripoli,cette élogieuse figure relevait de l'apparition du démon. 

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