Chapitre 14, part 2

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Ihsan se mit à courir le long de la rempart malgré le fait que Jamshid tente de temporiser son euphorie. Ils arrivèrent bientôt devant la porte du village et encore une fois l'affranchis marqua l'arrêt devant cette nouvelle frontière. L'eunuque rit en le devançant, profitant de le dépasser pour lui ébouriffer les cheveux. Immédiatement le basané se mit à le suivre, acceptant enfin avec bonheur qu'au côté de Jamshid aucun lieu ne lui serait interdit. C'était vraiment un type formidable.Autours des deux promeneur s'étendais désormais des collines desséchées à perte de vu, sans fin, couverte par un lourd soleil et des températures à peine supportable. La terre déséchée et ocre était battus par le vent et à peine maintenu par les racines des graminée éparses. Un nuage de poussière, et les cris d'hommes s'élevaient au loin, vers la droite, c'était de là que venait le brouaha qui attisait la curiosité d'Ihsan. Mais avant de rejoindre ce point d'intérêt il fit quelques pas vers les étendus sauvages... Il huma : l'air sentait les épices de la ville, et le vent,l'odeur du sable et de la terre, l'air sentait la chaleur des plaines sauvage d'Orient. Il s'éloignât encore jusqu'à ce que ses pieds presque nu rencontre une terre irrégulière et des herbes sèches et il pris une grande inspiration. Il poussa un cris. Il hurla vers le ciel aussi fort que le pouvais ses poumons, il hurla l'énergie qui le prenait tout à coup, son cœur alimenté pas la vitalité du monde extérieur. "Il me ressemble plus que je ne le croyais."pensa son gardien en le regardant amoureusement découvrir que tout deux partageait la passion caché des grands espaces.

" - IHSAN ! Vient !"

Le danseur fit volt-face, le sourire au lèvre, et se mit à courir en criant de joie, il fit des cabrioles dans les talus comme un enfant alors que Jamshid progressais vers les cavalier plus loin. C'est un garçon couvert de poussière qui arriva devant la scène bruyante qui se jouait depuis tout à l'heure : dans un vaste terrain de terre battus drus servant de carrière, des Hommes s'occupaient à dresser et débourrer des chevaux. Les manches retrousser, la sueur au front, le souffle court,les quelques cavalier tentaient de dresser un étalons particulièrement puissant dont les sabot envoyais des étincelles en frappant violemment les pierres. Jamshid siffla devant la hargne de la bête qui ruait toujours, Ihsan lui se réfugiât derrière son gardien effrayer par la brutalité de ce duel humain/animal.

" - Magnifique monture.

Merci, fit l'un des Arabes adosser à la muraille. Mais pas encore vendable.

Belle tout de même. Elle devrait faire un incroyable cheval de guerre avec ce courage.

Ca dépendra de mon beau-fils.

C'est une partie de la dote de votre fille ?

Oui.

Mes félicitations pour son mariage alors.

Mmm, hocha il en souriant."

C'est alors que le fort jeune cavalier fut expulser de la selle et vola à plusieurs mètres.Rapidement on attrapa les reines pour que le jeune pur-sang ne fuit pas. Jamshid et les autres ne purent retenir un rirent en voyant revenir penaud le gamin qui avait échouer à contrôler la bête.

" - Ne fait pas cette tête sabbi. Il n'y pas de quoi avoir honte, c'était une belle chute.

Il a raison, ajouta Jamshid. On ne voit pas souvent des jeunes de ton âge tenir aussi longtemps.

Ah tu vois ! Même l'étranger te le dit. Dites au passage, les étrangers, qu'est-ce-qui vous amènes.

Nous sommes des voyageurs au services des recensement de la principauté de son altesse Shapour. Mais appelez moi Jamshid je vous pris, et lui Ihsan, c'est mon disciple.

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