Chapitre 27, part 2

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Fort heureusement, si on pouvait le considéré ainsi, Jamshid n'assista pas à cet ignoble massacre,une des horreurs qu'apportait toutes les victoires. Il reteint des cris de douleurs lorsqu'il entendit qu'on rassemblait les corps des généraux de l'armée de l'empereur sur la place publique de la ville où ils seraient laissé à la vue de tous à pourrir. Il reteint une larme en apprenant qu'on ne ferait aucun prisonnier parmi ces pauvres garçons, et il lâcha une pleine étouffé quand il appris qu'il avaient -officiellement du moins, il espérait le contraire- tous été capturé un peu partout en ville. Il résista difficilement au désire de ce rendre devant les dépouilles, tout ensachant parfaitement qu'il n'aurait rien put faire. Cependant ... il ne pouvait penser à ignorer la mort d'enfants qu'il connaissaient depuis la naissance. Que ferait s'il allait voir des corps crucifier,des têtes tranché et planté sur des piques, ou il ne savaient quels horreurs. Il ne voulait pas voir ça. Il préféra donc oublier, oublier ce côté humain qui l'appelait au chevet des défunts, oublier cet amour pour tous les morts et tous les vivants du monde. Il en avait un autre d'amour, plus important qu'il fallait protéger par tous les moyens. Il lui restait un cible à abattre pour le sauvé, et sauvé ce monde. Et s'il avait tords ? S'il avait conduit à sa perte l'empire tout entier ? Il ne voulait pas y penser. Il faisait comme de rien, traînant son corps blessé contre les murs des ruelles à la recherche de Shapour. Il voulait agir,agir pour s'empêcher de pensé à cette horreur : c'était lui qui était responsable de la mort de tous les fils de son maître. S'il n'avait pas tuer Moktar alors ... Alors jamais l'armée de ce dernier n'aurais reculé, jamais les rebelles n'auraient capturé autant d'innocents, jamais ils ne se seraient retrouver lapidé par leur peuple qui auraient dût les accueillir en héro. Il était coupable de ça ... Il était responsable. Il avait tuer l'empire en même temps que Moktar, sans doute. Il ne voulait pas y penser. Il ne voulait plus penser. Juste oublier ... Ne plus souffrir. Il souffla lourdement, les poumons en feu. Mais où était ce fou ?!

" - MALIK !!! geint il dans un cris roque."

Pas de réponse, seulement le grondement de la foule qu'il fuyait. Où chercher ? Et si ... Il se retourna vers l'origine du grondement bestial que faisait la ville fêtant sa victoire. Shapour était il un monstre au point d'aller se réjouir du spectacle de sa progéniture donné en pâture à la foule? Il n'osa pas y croire, mais le doute était né en lui. Alors il tourna les talons et se traîna jusqu'à une des bâtisse entourant la place. La foule l'empêchait d'approcher, elle hurlait avec fureur.Il pénétra le bâtiment, abandonner, tout le monde était au fenêtres. Il ne voulait pas voir, mais il n'avait pas le choix. Il allait devoir faire face à ses actes pour retrouver Shapour. Pour peu qu'il y parvienne dans cette foule ... Il monta sur le toit,chaque marche sonnait comme un coup de hache sur son crâne.

"Repends toi !"

Il savait le spectacle qui l'attendait arrivé au sommet. Jamais il n'avait connu ascension plus pénible. Pourtant il n'était pas tant blessé que cela. Seulement chacun de ses pas avait pour échos des cris qui lui répétaient inlassablement 

"Regarde ce que tu as fait ! Monstre ! Va voir ton crime de tes yeux !"

La lumière lui brûla les yeux quand il arriva sur la terrasse de la maisonnée, tel la vengeance de Dieu qui le punissait. Le soleil lui sembla un ange accusateur. Avait il encore les faveurs du ciel et du désert ? Avait il encore, après ce qu'il avait fait, sa place dans le peuple nomade ? Les rayons fusaient en tout sens, il préférait encore regarder le soleil et s'y aveugler que de voir son carnage. Mais tels des doigts accusateurs les raies du soleils pointait la place nimbé de lumière.La poussière en révélait toutes les multiples trajectoires et semblait auréolé d'or l'étendus couverte de sang. Les corps étaient inondé de soleil, comme sanctifié sous la brûlure ardente de l'astre du jour. Les peaux allée devenus livides ne seraient plus jamais altéré par la puissance du feu du ciel. Intouchable dans leurs drapées écarlates, maintenus debout par des liens serré sur des pieux, ils étaient là. Leurs têtes baissées semblaient se repentirent de crimes qu'ils n'avaient pas commis, leurs cheveux respirant dans le vent. Jamshid n'entendait plus qu'un silence assourdissant. Leurs yeux fermé ou ouvert dans des visions d'horreur, de peur, de colères étaient déformé. A mesure que la rigidité cadavérique les transformaient en gisant de marbres leurs faces devenait impassibles, perdant leurs face torturé pour n'en semblé que plus accusatrice. La foule en liesse était une horde de démon assoiffée et monstrueux désirant mettre en pièce ces apôtres. Mais elle semblait incapable d'approcher de cette place bordé de lumière divine. Le ciel, le soleil semblait les retenir. Ou alors était-ce la volonté de la masse afin qu'un maximum de personne puisse se repaître de l'ignoble spectacle. Quoi qu'il en soit la scène avait quelque chose de fascinant ... Et de supérieur.Il avait causé cela. Il avait créer ce spectacle immonde.

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