Chapitre 3, part 1

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Une fois dans les terres, alors que la caravane avançais charger de trésor pour le retour au palais, le prince Shapour recouvra son caractère plus facile qu'il prenait lors des grand voyage. Loin d'être fait pour la vie en société, encore moins dans les milieu mondain, son altesse était plutôt une personne à la mesure des hommes pour tout dire. Il sorti un sextant de sa poche et repéra dans le ciel étoilé la direction de la prochaine oasis qui leur servirais de relais. Ensuite ils se rendrait dans une ville, puis retournerais dans le désert, et ainsi de suite jusqu'à rentrer.Rajustant son turban noir d'encre, il jeta un dernier coup d'œil à la voix lacté avant de retourner à sa tente. Peut de gens avait axés à la chambré du prince sans son aval, à vrai dire, de mémoire,seul Jamshid l'avais. Il était en ce moment même au chevet du malade, occupé à laver les plaies encore laide qui refusaient de cicatriser convenablement.

" -Alors ?

Votre majesté, ce n'est toujours pas très bien engager.

Bon ..."

Le prince s'assit et avala un morceau de volaille rôti aux épices qui lui était servis sur le chevet de sa couche. Râwukhshna ... Encore aujourd'hui, le souvenir des yeux mauve le hantait. Pourtant les paupières de l'esclave était closes, il n'y avait pas d'autre solution que celle qu'il vive pour revoir de tel yeux. En forçant légèrement sur la paupière il put voir un croissant d'iris révulsé. Ça n'avais plus rien à voir avec ce qu'il avait aperçu chez Ahmad et il s'en désolait. Où était cette lumière qui transformais une simple étendu de couleur violette en un miroir bouillant, un champ de lavandier chaud, une mine d'améthyste scintillante ? Plus de lumière ... Il se re-concentra sur son repas, et sur Jamshid qui finissait les soins. L'application de son serviteur ne faiblissait pas, il en était toujours fier. Plus qu'un simple servant, c'était presque un ami. Jamshid en savait plus sur ce monde que n'importe qui. C'était sans aucun doute un grand savant du monde Arabe. Il maîtrisait les mathématiques et l'algèbre, les sciences du vivant et avait le dont des mots. Souvent, ce dernier lui servait de précepteur pour quelques connaissances qui lui manquait. La vivacité d'esprit de certains hommes ne cessait d'étonner le prince. Il se demandait si Râwukhshna serait de ce type là. Où alors si il n'était qu'un esclave parmi tant d'autre qu'il avait amassé : plus ou moins idiot, plus ou moins intelligent, et jouant surtout sur des capacité physique pour survivre. Après tout un esclave c'était un physique, pas une tête pensante, on l'utilisait pour une tache que ses aptitude lui permettait. Il n'y avait pas le loisir de réfléchir. Shapour ne révoquait pas l'esclavage, au contraire, il se demandais seulement si on aurait put, peut être, fabriquer des esclave avec un esprit. Les êtres intelligents sont toujours bien supérieur à ceux idiots, ils triomphent toujours. Hélas sur les marché au esclave, on était bien mauvais juge de la vivacité des marchandise,préférant les dociles aux plus futés. Shapour lui aimait bien l'espièglerie, deux de ses femmes étaient des insolentes et d'incorrigible farceuses, ça faisait tout leur charme et leur piment.Il lui tardait d'ailleurs de retrouver la chaleur de son harem, toutes ses belles épouses, et ses enfants. Il eut une petite pensée pour sa dernière né qu'il avait laissé voilà plus d'un an. Les enfants grandissent vite, il n'avait pas eut de nouvelles, elle devait être une belle petite fille maintenant.

" -Jamshid ?

Oui monsieur ?

A la prochaine étape en ville, achetons des chevaux.

Bien sur votre altesse, mais pour qui ? Je doute que les animaux de notre prochaine escale soit si beau que ça.

Pour mes fils. Ils ont dût bien grandir non ?

Oui. Votre conseiller à d'ailleurs surement dût en marié plus d'un pendant votre absence.

Ils grandissent vite, enfants. C'est pénible.

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