Chapitre 23, part 2

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Ils arrivèrent dans le harem qui semblait vidé. Les autres épouses et leurs enfants en bas âge étaient barricadé dans leurs chambres,l'inquiétude palpable. Une des accoucheuses vint accueillir les trois homme en se jetant à genou devant son prince :

" -Votre altesse, vous êtes venus ! Cela se passe mal !

- A quel point.

- Elle fait une hémorragie, je doute qu'on puisse la sauvé, et elle semble en douté elle aussi.

- Et les enfants, demanda l'eunuque.

- Nous essayons, Jamshid. Mais ... Encore une fois il y a des doutes. Le temps est compté et je demande à monseigneur qui doit on privilégié."

Ce dernier envoya un regards à son conseiller, mais ce dernier fit mine de ne pas l'avoir vu. Il n'avait pas à choisir, il refusais de faire un choix comme celui-ci. Ce n'étais pas le sien, il ne pouvais se résoudre à donner son avis, même objectif car cela signifierais choisir entre préféré la vie d'une femme qu'il avait à charge,qu'il connaissait personnellement comme une amie et les enfants du prince, ceux pour qui ils s'était donner tant de mal afin que leur croissance dans le ventre de leur mère se passe bien. Perdre un enfant, c'était toujours une horreur sans nom, mais on en faisait rarement une grande histoire. Ca arrivait trop souvent pour se permettre de s'attaché. Mais tout ce détachement n'était que théorique, lui savait quel amour liais les femmes et leurs enfants.Il n'y avait que les pères qui ne s'était pas impliqué dans la grossesse pour ne pas comprendre la valeur de la vie d'un enfant. Lui avait surveiller toutes les grossesses des épouses du prince et avait eu des privilèges incroyables comme celui de sentir leur mouvements avant leur naissance. Shapour lui même n'avait jamais fait cela. Il ne touchait ses propres enfants que plusieurs années après la naissance. Après réflexion ce n'était pas si étonnant de le voir si peu affligé par la nouvelle : ils avaient beaucoup d'épouse et encore plus d'enfants. Les uns était le fruit de ses soulagements sur les autres. L'eunuque doutait qu'il en aima une seule. Il les avait épousé car elles étaient belle, c'était tout.Aujourd'hui que l'une d'entre elle ne l'était plus et qu'elle était juste mourante qu'avait il encore à voir avec elle ?

Ils entrèrent dans la chambre et Jamshid du se retenir de se jeter au chevet de celle qui était comme une amie de longue date. Il la voyait si souffrante. Elle gémissait, les jambes couvertes d'un tissus. Entre ses jambes s'affairaient des femmes qui épongeaient des marres de sang. A vu de nez elle avait de loin dépassé la quantité raisonnable. Il connaissait la guerre, les hémorragie. Il envoya un regards vers le médecin ... Celui-ci secoua la tête, amer. Il était déjà trop tard. Même si l'accouchement s'achevais maintenant on ne pourrait stopper le flot d'hémoglobine à temps. C'était déjà finit pour elle. Il se pencha à l'oreille de son maître resté impassible, lui aussi habitué au abondance de sang.

" -Monseigneur. Il est trop tard. Elle va mourir. Allez à son chevet et donnez lui une dernière consolation avant qu'elle ne perdre conscience.

- Quand est il des enfant, demanda-t-il à l'accoucheuse.

- J'ai peur votre altesse qu'on en ait déjà perdu un, mais l'autre peu encore être sauvé si elle utilise ses dernières forces."

Il y eu un silence durant lequel elle lança un regards perdu dans la douleur et le désespoir.

" -Ouvrez là, ordonna le prince avant de tourner les talons. C'est non négociable Jamshid ! Je te connais, je sais que tu voudras m'en dissuadé. Elle est fichus. Ouvrez là et sauvez l'enfant."

Il sorti alors que sa femme hurlait de peur, sachant qu'elle était condamné par son propre mari à être éventré :

" -SHAAAAAPOOOOOOOOUUUUUUUUUR !! pleura-t-elle."

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