" -Ihsan ... Ihsan ...
Maman ...
Ihsan, mon chéri. Pourquoi a tu parler à ces gens.
Ce sont des esclaves, comme nous. Peut être que papa est l'un d'entre eux.
Mon petit Ihsan ... Il ne faut pas chercher à savoir. Pas ce genre de choses en tout cas. Les Hommes sont cruel mon petit. Je vais t'apprendre des choses qui te sauverons, ce que tu cherche la ne peut t'apporter que du mal. Regarde bien, tu vois. Ici on vérifie qui a eut sa ration et quand. Que ce passe-t-il a ton avis si on ne reste pas pendant le temps du nourrissage ( qui dure au moins une heure ) ?
On a faim.
Oui, toute la journée on a faim. Mais on travail deux heures de plus que les autres. Tu sais ce que ça veut dire ?
Des supplément ?
Oui, parfois un peu de bonne nourriture comme le maître en mange. Parfois un peu plus de nourriture. Si tu es prêt à endurer une gifle tous les soir pour ne pas t'être présenté au repas le matin, alors tu auras plus à manger que les autres au final, et le soir, jamais tu n'aura faim. Garde ce secret Ihsan, c'est ton père qui me l'a apprise. C'est la seul chose que tu dois savoir de lui. Je te protège mon petit. Je te protégerais toujours. Et lui aussi, à sa façon, je croit qu'il te protège. Pour son bien et le notre personne ne doit savoir. Pas même toi. Mais sache ... que nous sommes fier de toi. Oui, tu es devenu un beau garçon. Ihsan ... Ihsan ... Ihsan ...
Roxane ... "
Doucement Shay ouvrit les yeux, sa tête et son dos lui faisait mal. Il les avaient à peine entre-ouvert qu'il les referma aussitôt, la lumière du soleil le brûlant. Ce n'était pas normal, se dit-il. Comment cela se faisait-il qu'il puisse encore dormir alors qu'il faisait jour ? Les régisseurs ne l'avait-il donc pas appeler ? Il était si proche de la fin que ça ? Il n'allait pas mourir sans se battre,ramenant lentement les bras le long de son corps, jusqu'à les plier sous son sternum, il se motiva à se lever. Un esclave coucher est un esclave mort. Un esclave debout et un esclave qui vit encore au moins jusqu'à demain. Alors il tenta de se mette à quatre patte. C'est ainsi qu'il réalisa, les yeux tout juste accoutumé à la clarté,qu'il n'était pas sur le sol de pierre des soubassement. Il n'eut pas le temps de pensé qu'une voix se fit entendre :
" -HEY !! Ne bouge pas !"
Immédiatement et dans un tremblement incontrôlable au souvenir de sa séance de fouet, il s'immobilisa, les yeux fermement cloîtré, tout son corps parcourut de frissons de terreur.
" -Oh, excuse moi de t'avoir fait peur, lui parlait-on en Perse. Ne bouge pas, il ne faut pas ré-ouvrir tes plaies. Elle commence enfin à cicatriser. Tu as de très jolies croûtes, fit un rire clair."
A ce moment, Shay compris qu'il était mort des suites de ses coups.Autours de lui tout baignait dans une chaude lumière blanche, les températures agréable laissait croire qu'on se trouvais derrière d'épais mur couvert de céramique et de mosaïque de toutes les couleurs. Même si le blanc prédominait partout, le bleu était récurant, et les meubles en bois de rose étais tous couvert de tissus et de couvertures. La pièce était sublime, bien plus que chez le maître. Épurée, et décoré par des lampes à huile de fer qui pendait du haut plafond en ogive, des photophores éparse rappelais l'intimité de cette pièce qui devait être une petite chambre de d'employer. Une commode avec des drapées, des coussins et une banquette sur laquelle il était allonger venait complété le mobilier. Sur une assise en peau d'oryx se tenait un homme sorti tout droit de ses rêve, le maître en personne ne s'habillait pas avec autant de goût, il fallait bien le reconnaître. La concordance des couleurs, encore une fois, jouait pour beaucoup mais ce visage fin... Et accueillant surtout. Shay qui n'avais jamais vu de bienveillance dans un regards se promis d'en mémoriser l'éclat infiniment doux. Après la vu, les odeurs lui rappelèrent qu'il avait quitter le monde des vivants : ici cela sentait les plantes et les épices. Il y avait aussi une odeur sucrée ... Sur la commode reposais un plat de douceurs. Dehors on entendais des cris chant d'oiseaux et des ... des rires aussi. Shay continua ainsi de regarder la pièce comme s'il venait d'atterrir sur une autre planète. Mais Allah, qu'est ce qu'il faisait là ? Où était il ? Il ne devait pas y avoir de paradis pour les esclave. Hors tout lui indiquait qu'ils'y trouvais. Il de demanda ensuite si ça mère était là dehors... Et puis on claqua des doigts et son attention revint vers le sourire de l'homme en face de lui. Sa stupeur et son égarement lui enlevèrent toute humilité qu'il aurait eut en temps normal envoyant un tel seigneur.
VOUS LISEZ
Le Favori
RomanceIl s'appelle Ihsan, c'est le nom que lui a donné sa pauvre mère, elle aussi était esclave avant, comme lui l'es a présent. Il travaille pour le maître, un grand seigneur fidèle à l'empereur. Aujourd'hui son fil cadet Shapour vient en visite, il faut...