Chapitre 11, part 2

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Un matin Jamshid arriva avec un caissons pour eux tous de la part du prince. Cela signifiait que ce dernier était revenu, mais qu'il était afférer ailleurs sinon il serait venu leur offrir ses cadeaux en main propre. Sans doute était il à son bureau, se dirent ses amants, dans la réalité le prince rattrapais le temps perdu auprès de ses nombreuses épouses qu'il avait un peu trop délaissé, éveillant les soupçons. Rare était les fois où il faisait un cadeau à chacun du retours de ces voyages: souvent les présents était pour son favori et quelques autres de ses privilégiez pour les rendre plus enclin à accepté sa visite du soir qui n'aurais tarder des suite du leg. Or là, tous se voyait offrir un cadeau commun ce qui était particulièrement étrange,pour preuve cela attisait même la curiosité de Seth qui s'assit non loin de l'eunuque pour pouvoir observer le contenu de la caisse dans les premiers quand celui-ci l'ouvrirais.

" - C'est vraiment pour nous tous ? Demanda Iuti ?

Oui. Le prince veut vous faire un cadeau ce midi.

Ce midi ? C'est quelque chose de comestible ?

Du gibier ? Proposa le plus jeune.

Ne dit pas n'importe quoi ! Le rabroua Neil. Comment pourrait on faire venir autre chose que de la viande sécher d'un si long voyage ? Ca ne peut pas être du gibier, sinon ce ne serais pas un cadeau, en tout cas ça ne ressemblerais pas au prince."

Les autres hochèrent la tête alors que l'eunuque partait chercher un outil adéquate pour ouvrir le couvercle clouté. Les huit homme en cercle autours de la caisse débattait de son contenu potentiel.

" - Un familier ?

Pas dans une caisse sans aérations et fermer ainsi. Et puis ne dit pas bêtises : Jamshid à dit que c'était comestible.

Si c'est pour ce midi on peut exclure les plantes en pot.

Pas sur, intervint le soldat égyptien. Ca pourrait être des plants de tabac ou de la chiche.

Toi et le tabac, railla l'un d'entre eux.

Vous n'y connaissait rien. Avant, quand je faisais encore mon service, les officier avait de temps en temps droit à un peu de tabac à mâcher et croyez moi je donnerais beaucoup pour en avoir un plan ici.

C'est bien, certes, mais ça fait les dents noir, pesta Zal. Alors j'espère que ce n'est pas ça.

Vous avez tous faux, rit Jamshid en revenant avec une fourche de métal robuste. Ce n'est pas une plante. Allons, poussez vous que je l'ouvre."

Les clous sautèrent un à un dévoilant dans le caisson une grosse douzaine de bouteilles. Tous les hommes réunis s'exclamèrent ou sifflèrent sauf Râwukhshna qui resta stoïque devant les récipients de verre. Seth en souleva un et le porta à hauteur d'yeux.

" - Mais c'est bien de l'alcool !"

Immédiatement plusieurs d'entre eux prirent une bouteille et lirent (lorsqu'il le pouvais, devinèrent sinon) à voix haute les étiquettes, de plus en plus ravi :

" - Là un grand vin d'Al Hoceïma, fit Samalai

J'en ai une autre bouteille, d'Oranie.

Ici j'ai du raki, pesta Neil. Quelle plaie que ce soit un alcool bien trop fort. Ca m'ennuie vraiment de dilué une si bonne eau-de-vie.

Du Boukha, de l'Hydromel, que des bonnes bouteilles s'esclaffa Zal déjà enivré à la simple idée de boire.

Attendez attendez, essaya de temporisé Silva. Au final qu'est-ce-qu'il y a ?

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