Le Favori

Chapitre 2, part 2

Sayf,le responsable des esclaves, n'avaient pas souvent eut des visites de la part d'un membre important de la maison, encore plus rarement de celle d'un invité. Alors quand l'eunuque du prince était venu le chercher, en personne, en descendant dans les sous bassement du palais, pour faire savoir que le prince désirais des nouvelle -et donc la présence- d'un esclave ... il avait eu beaucoup de mal à y croire. Cependant ces gens la ne plaisantait jamais, alors il avait demander quel esclave pouvais bien avoir attirer les foudres de son altesse royale. Sa surprise avait monter crescendo avec sa peur quand il avait appris que non seulement ce n'était un courroux mais un vif intérêt qui amenais le prince à recherche l'un des esclave, mais en plus, que cet intérêt était porter vers celui aux yeux mauve. Des yeux mauve, depuis la mort d'Alexandria ( une des seules esclave ayant porté un vrai non d'ailleurs ), il n'y en avait plus tellement. Six d'entre eux étaient tenu bien secret, garder jalousement pour les plaisirs du maître et de ses fils, les deux dernier .... Et bien ils étaient clos depuis un moment et personne n'était vraiment sûr qu'il se ré-ouvre un jour. Ça ne plut décidément pas à Sayf : il savait bien que cette demande ne lui apporterais que des problèmes dans les heures à venir.

" -Donc ? S'impatienta l'eunuque, Où est-il cet esclave ? A quel tâche est il attribuer ? Si vous ne voulez pas me le dire j'irai le chercher moi même. Mais sachez que c'est un ordre de sa grandeur le prince en personne, que de le trouver, et vite.

Et bien ...

Et bien ?

Et bien .... Il se peut ... Qu'il soit mort.

Je vous demande pardon ?

Disons qu'il n'est pas tout à fait mort, mais qu'il va mourir.

Comment ça ?!

Il a reçu le fouet hier pour avoir désobéit et déshonoré le maître. Il a reçu exactement 118 coups de fouet, au total. Je sais, c'est moi qui ait fait le compte. Et pour peut qu'il s'en sorte, il sera lapidé devant les autres pour l'exemple."

Jamshid eut un hoquet en imaginant le corps si léger de l'esclave rouer de coup de fouet. Il se souvint d'avoir put le porter par la taille sans problème, d'avoir put le soulevé, il ne devait pas peser bien lourd. Alors 118 coups de fouet ... Il ne survivrais pas, et le prince serais dans une colère noir en l'apprenant. Il fera, pour le coup, vraiment rasé Istanbul.

" -Il vit ?!

Oui, pour l'instant il vit.

SI IL MEURT LE PRINCE FERA BRÛLER CETTE MAISON AVEC TOUT CEUX QUI S'Y TROUVE ACTUELLEMENT ! Amenez le moi ! Vite ! Il faut qu'il vive !"

Sayf hésita un moment. Était ce une plaisanterie ? Mais non, c'était très sérieux. Tout d'un coup sa situation devient encore plus critique qu'il ne l'avait crût. Lorsque l'envoyé du prince fut au chevet du corvéable, qu'on avait disposé à part pour ne pas infecté les autres en cas de maladie, il se mit à jurer sur Shâh Nâmeh. L'heure était très grave, devina le régisseur. Surtout pour lui et son maître, surement autant que pour le mourant. Il fit aussitôt quérir un médecin alors que Jamshid était pressé aux chevet du blessé. Si cette étincelle quittait les yeux de cet esclave avant que le prince ne l'ai revue, alors la mort allais pleuvoir dans la maison d'Ahmad.

L'état de Shay était pitoyable : entièrement nu, étendu sur le ventre,son dos n'était plus qu'une plaie béante où venait se repaître les insectes nécrophage. La vaste plaie suintait de pue, et il en émanait une odeur de mauvaise augure, raison pour lequel on avait mit en quarantaine le mourant. Jamshid se frotta le visage, essayant de ne pas céder à la panique : il allait lui falloir des mains, des herbes, des médicaments, et quelqu'un pour prier. Oui, il allait aussi falloir de la chance, beaucoup de chance, et l'aide du bon dieu pour que cet esclave s'en sorte. En attendant il se promit de faire tout son possible pour le soigner, et advient que pourra. Se remémorant une dernière fois les soins qu'il avait appris à faire, il pris les commande de tout le soubassement du palais.