Chapitre 22, part 1

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Jamshid ouvrit les yeux et éternua, faisant rire aux éclats les femmes du prince qui s'éloignèrent de son visage. Surpris il s'essuya la face sous leur rires pour réalisé avec horreur qu'elles s'étaient amusé à couvrir son visage d'épices coloré !

" -OH NON ! Bon sang ce n'est pas sérieux ! Ria-t-il seulement à demien colère."

Il entra dans leur jeux et poursuivit celle qui avait les mains pleines de poudre. Les autres riaient à gorge déployer devant sa moustache en safran et sa barbe en cumin : visiblement l' "atelier cuisine" qui était sensé les occupé avait dégénéré.

" -Non mais vous allez voir !

Jamshid en colère, rirent elle absolument pas effrayé."

Elle virent le harcelé avec les épices, en rependant plein ses cheveux.L'eunuque sonna le glas pour empêcher la situation de dégénérer :

" -Allons, ça suffit, ne faites plus les enfants ! Stop ! Non mais regarder dans quel état je suis, gémit-il en s'époussetant,faisant volé une nué coloré autours de lui. Je vais devoir passé des heures à laver ça !

Mais non, mais non. Donne nous tes vêtements, on les feras laver par les esclaves.

Certainement pas. Vous voulez qu'on me coupe la tête ? Même si je suis eunuque jamais on ne m'autoriserais à me dévêtir devant des princesses royales. Allez allez, cela suffis, sourit il. Bon sang ... Je ne me suis assoupis qu'un seul instant et voilà dans quel état est la pièce ... Mais regardez moi ça, fit il dépité devant le carnage des lieux...

Excusez nous, firent certaines, penaudes.

Ce n'est rien ... C'est moi qui ai faillit, j'aurais dût rester éveiller pendant mes heures de garde.

Tu es bien fatigué ces temps ci Jamshid, qu'est ce qu'il se passe.

Je cours partout, souffla-t-il en se ré asseyant, tentant encore de chasser les reste de couleurs de ses boucles.

C'est à dire ? Tu peut tout nous dire tu sais ...

Je n'ai pas vraiment le loisir de me reposer en ce moment avec les affaires extérieurs. Votre mari me donne vraiment du fil à retordre.

C'est vrai qu'il est en grande forme ces temps ci, remarqua l'une. Chaque fois qu'il vient nous voir il est de très bonne humeur. Il doit recevoir de bonnes nouvelles fréquemment non ?

De son point de vu en effet elles sont très bonnes.

Mais pas du tien, n'est ce pas ?

La principauté de Bajazet, le prince héritier, ne se porte pas très bien ...

Oh, je comprends mieux.

Il y a plus n'est ce pas ? Demanda l'une des épouses particulièrement perspicace et dont les yeux brillaient de malice et d'intelligence.

J'ai bien peur que oui, mais c'est secret défense mes dames. Je serais mué comme une tombe.

Oh Jamshid ...

Nous nous ne voulons pas que tu joue les mort, plus tard tu nous quittera mieux cela sera.

Il est de même pour vous, souri-t-il. Bon ! Ce n'est pas tout, mais j'ai d'autres choses à faire, ajouta-t-il avant de se lever et de s'éloigner. Mes dames, dit il dans une dernière révérence."

Et sur ces mots il se dirigea vers la partie caché du palais où était reçus à intervalle très régulier les différentes cargaison servant à alimenter le palais. Vérifier que les cadeaux reçus parle prince ou acheter par lui arrivent bien dans les bonnes pièces faisaient aussi parti de sa tâche. Aujourd'hui il y avait une table basse qui apparemment était arrivé avec un défaut dans sa mosaïque. Le conseiller ne pouvais pas présenté à son maître un mobilier habité, tout ceci allais encore faire une grande histoire.Il se rendit auprès du responsable qui lui montra la zone ébréché ... Finalement la réparation serais de courte durée. Un rapide examen des stokes lui fit alors remarquer une ligne particulièrement étrange ...

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