Le casino du sex. contrôle ! Tome 3

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<< Être dans ses bras, ressentir la chaleur de son corps, sa peau contre la mienne. Qu'est-ce que ça faisait du bien. Néanmoins, il ne suffisait pas d'une partie de jambes en l'air pour effacer tous les problèmes. Ils étaient encore présent sauf qu'à présent nous étions assez calme pour en discuter.

- Steven...

- Pas maintenant Tailla. Je te supplie de ne pas gâcher ce moment.

- Steven il faut qu'on parle.

- A chaque fois qu'on parle ça fini toujours mal.

- Pourtant il le faut.

Il soupira contre mon cou bien contient que discuter ne servait absolument à rien.

- Si c'est encore a propos de Sarah je...

- Pourquoi est-ce si difficile pour toi de m'accorder cette faveur Steven.

- Ici il ne s'agit pas d'un stupide concours entre toi et Erica mais de ta sécurité.

Tailla le dévisagea ne comprends pas où il voulait en venir.

- C'est à dire ?

Il défit son étreinte. Je me retournai alors, attendant qu'il daigne de m'expliquer.

- Sarah n'est pas celle que tu penses. Elle ne s'appelle pas ainsi mais Mel, Melinda Greene. Nous sommes sorti ensemble pendant un moment enfin si on peut le dire comme ça. J'y ai mis fin ce fameux jour où tu t'es présenté à moi avec la ferme intention d'intégrer le casino du sex.

- C'était sérieux ?

- Pourquoi elle apparemment oui. J'ignore pourquoi elle est revenu, ni pourquoi elle a changé de nom. Ce que je sais en revanche c'est que cela n'augure rien de bon.

- Pourquoi me l'as-tu caché ? Tu aurais dû me le dire.

- T'inquiété était la dernière chose que je voulais.

- Tu as préféré me laisser croire à des horreurs, c'est bien pire crois moi.

Un long silence s'installa entre eux puis Tailla y mis fin.

- J'ai une autre question.

- Je t'écoute.

- Je peux savoir sur quelles genres de règles est basé notre mariage ?

- Des règles ?

- Vos coutumes si tu veux. Erica est venu me parler et ma très bien fait comprendre que je devais rester à ma place. J'ai également cru comprendre qu'une autre personne pouvait prendre ma place à tout moment. Steven... Tu comptais...

- T'en parler ? Ma famille a toujours été très traditionnel mais depuis la mort de mon père les choses sont devenus très différentes.

- C'est-à-dire ?

- Que tu ferais mieux d'oublier. Si je ne t'en parle pas c'est pour une raison, non ?

Je dû le reconnaître à contrecur il était temps pour moi d'arrêter avec mes questions, Steven m'aimait, il n'avait pas de maîtresse, tout était okay.

N'est-ce-pas ?

- Et si on sortait ce soir ? N'oublie pas qu'on a un dîner en suspend. A moins que tu n'ai autre chose prévue. D'ailleurs plus qu'on met les choses à plat. C'est qui ce Zack ? Comment vous êtes vous connue ? Depuis quand est-ce que tu le fréquentes ?

- Nous nous sommes rencontré par hasard.

- Comment ?

- Est un interrogatoire ?

- Effectivement.

- Par l'intermédiaire de deux garçons adorables, mignon comme tout. Nous avons discuté et je dois dire qu'il me semble être quelqu'un de bien.

- Bien à quel point ?

- On est juste ami si c'est ça que tu veux savoir. Tu n'as pas à te sentir menacé.

- Je me sens menacer parce que ce type à des vues sur toi. Je ne veux pas que tu t'approches de lui.

- Pourquoi ?

- Fais juste ce que je te demande pour une fois.

Je ne portai plus d'objection. Inutile de le contrarier.

- Viens, on va prendre un bain.

Il descendit tout d'abord du lit puis m'aida à faire de même. Il prit tout d'abord place dans la baignoire avant de m'installer entre ses jambes. Il attrapa un un gang non loin et se mot à me nettoyer s'attardant un peu trop sur mon ventre gros et rond.

- Tu penses qu'ils auront tes yeux ? Me demanda-t-il

- Sans doute... Par chance, parce que j'ai comme l'impression qu'ils te ressembleront plus qu'à moi.

- Je suis paniqué à l'idée qu'il y ai des complications.

- Tu ne devrais pas t'en faire pour moi. De nous deux il y'en a bien un qui doigt se monter...

Un coup de pied m'empêcha de terminer ma phrase.

- Mais c'est qu'ils sont violents !

Un autre suivit puis un autre et encore un autre.

- Tout ça c'est de ta faute.

- C'est toujours l'innocent qui paye. Vraiment... >>