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- Votre femme se porte très bien Monsieur Donovan. Vous n'avez aucun soucis à vous faire. Déclara le médecin d'un ton sans appel.

- Vous en êtes absolument certain ?

- Il est vrai que madame s'amuse quelque fois avec sa tension mais d'après ce que j'ai pu constater elle a baissé de manière considérable. Il faut dire que ce voyage porte déjà ses fruits.

- Je t'avais dit que t'exagérait.

Il me lança un regard sournois, riche en paroles à ne pas négliger. Je fermai donc ma bouche comme la parfaite épouse soumise que j'étais, enfin... Presque.

- Quant aux contractions ?

- Vous allez devoir vous y faire, même si à force on finit par perdre l'envie de savoir si c'est le moment où non.

- Merci encore d'être venu aussi vite Dr. Mandez. dit-il en lui offrant une poignée de main. 

  - Ce n'est rien. 

  - Je vais vous raccompagner jusqu'à la porte. intervint alors Line qui disparut presque aussitôt suivit du docteur. 

Je me trouvais à nouveau seul avec Steven. Son orra avait changé, cela ne pouvait signifier qu'une seule chose.

  - Alors comme ça je me débrouille. 

Je l'avais vraiment vexé on dirait. 

  -  Je plaisantais Steven. 

  - Vraiment ?

Ce n'était pas une question surtout que maintenant il venait de fermer la porte qui donnait sur la pièce... à double-tour. 

  - Mais qu'est-ce que tu fais  ? demandais-je sceptique. 

  - Je te prouve que Steven Donovan fait plus que ce débrouiller. 

J'eus à peine le temps de dire un mot qu'il s'était déjà jeté sur moi comme un loup affamé, m'infligeant à mon plus grand regret la punition la plus délicieuse qui soit dans un baiser enivrant. Je frémis lorsque doucement nos langues vinrent à se rencontrer pour se prêter à un jeu des plus sensuels. Tour à tour, il baissa les manches de ma robe, dévoilant ainsi une poitrine voluptueuse, offert à n'importe lequel de ses caprices. D'un geste, il dégrafa mon soutient gorge, qui rejoignit très vite le sol. Sa bouche explorait à présent les moindres recoins de ma nuque, pendant que ses mains expertes s'appliquait sur mes seins. Je gémis doucement, incapable de retenir le déluge de sensations qui venait de s'emparer de mon corps. Sa langue vint alors titiller mes tétons, ses dents les mordre avec sensualité et ses lèvres les sucer avec avidité. Inondé par le plaisir, je tirai furieusement sur la chemise de ce dernier et à mon grand drame il accentua ses caresses. Doucement, je sentis une de ses mains se promener sous ma robe, longer ma cuisse jusqu'à frôler l'élastique ma culotte. En un mouvement rapide il la déchire ouvrant ainsi mon intimité à ses désirs. Un de ses doigts vint frôler ma féminité, m'arrachant au passage un gémissement fort et puissant. Entres ses lèvres et ses doigts je ne savais vraiment plus où donner de la tête. J'en perdais même toute envie de penser. Lorsqu'il retira sa main pour le porter à ma bouche, je suçai avec amour chacun d'entre eux. 

- Et maintenant  ? Tu penses toujours que je me débrouille ? 

  - Tu es... excellent. bafouillais-je encore étourdit. 

Il m'avait mis sur ma faim et là, la seule à laquelle je pouvais penser s'était lui en moi. 

  - Alors la leçon est terminée.

  - Quoi ? demandais-je plus que contre.

  - J'ai déjà eu ce que je voulais.

  - Mais enfin...

Trop tard, il avait déjà quitter la pièce...

Le casino du sex. contrôle ! Tome 3Où les histoires vivent. Découvrez maintenant