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Le trajet qui les ramena à la maison se passa dans un silence à vous glacer le sang. Steven était rester muet jusqu'à la fin et elle aussi, incapable d'échanger ne serait-ce qu'un regard. En gentleman qu'il l'était, il aida à descendre de voiture et c'est ensemble qu'ils pénétrèrent dans à l'intérieur. Ils la direction du salon principale où, il aida Tailla a s'installé avant de lui tourner le dos. 

  - Où est-ce que tu vas ? lui demanda-t-elle.

  - Ne m'attends pas pour dîner. 

  - Steven, dit moi où est-ce que tu vas ? Tu ne trouves pas que tu t'es déjà fais assez de mal ? 

Ce dernier ne lui répondit pas, se contenta de continuer son chemin sans un regard en arrière.Je n'effondrai en sanglots.  Qu'est-ce qu'il se passait bon sang ? Qu'est-ce qui était en train de le leur arriver ? Ce n'était pas possible, Elle ne voulait pas y croire. 

  - Oh mon Dieu ma chérie, mais qu'est-ce qu'il t'arrive ? me demanda Dalva qui venait de pénétrer dans la pièce. 

   - J'en peux plus Dalva. J'en peux vraiment plus. Je ne me suis jamais senti aussi mal de toute ma vie. 

  - Tu t'es encore discuter avec Steven ? Vous devriez partir un moment, loin d'ici. Trop de souvenir se trouve dans ses lieux. 

  - Fuir n'arrangera pas nos problèmes Dalva. Je suis complètement perdu. Tout allait si bien, tout allait parfaitement bien. Il a suffi qu'elle revienne pour que tout change. 

  - Qui ça elle ? 

 - Erica.

  - Ce que tu dis ce sont des absurdités Tailla. Erica n'a rien avoir dans vos histoires. Tu ne peux pas mettre ta jalousie sur le dos d'Erica. Non, tu ne peux pas. 

Sur ces belles paroles, Dalva s'éclipsa me laissant encore plus mal que jamais. 

Comme promis, Steven manqua le dîner. Tailla ne put fermer de la nuit, trop occupé à espérer qu'il finisse par traverser les portes de leur chambre mais rien. A son réveil, Tailla compris que monsieur n'avait pas passé la nuit avec elle. Mais une inspection des lieux l'informa tout de même de son passage. Elle prit une douche rapide, se changea avant de descendre précipitamment. Tailla prit son petit déjeuner toute seule, avec sa pensée. La situation commençait à devenir pesante et si ça continuait comme ça, elle savait qu'elle n'allait pas tarder à étouffer. Désireuse de se changer les idées, elle attrapa son sac à main dans l'intention de sortir se changer les idées mais à peine eut-elle traversé les portes de chez elle que...

  - Vous ne pouvez pas sortir madame. lui balança un des gardes du corps qui se trouvait à quelques pas. 

  - Comment-ça je ne peux pas sortir ? Quel est le problème ? 

  - Nous avons reçu des ordres madame rien de plus alors s'il vous plait retourner à l'intérieur. 

Steven m'avait à nouveau garder prisonnière. C'était pas croyable. 

Elle retournai à l'intérieur, rejoignit le salon, balança son sac à main sur un fauteuil avant d'aller attraper le combiné, composa le numéro de Steven et attendit. Sans succès, il ne répondit pas. Elle réessaya encore et encore, rien du tout.

  - Tailla ! 

Elle se retourna en sursaut, et découvrit Erica sur le seuil de la porte. Elle n'était pas comme d'habitude, elle était très très différente. 

  - Un problème ? se contenta-elle de demander. 

  - Oui, j'ai un très gros problème. 

  - Alors dis-moi si d'une quelconque manière je peux...

  - Laisse-moi te dire une chose. Tu n'es personne. Dans cette famille tu n'as aucune voix et tu dois comprendre que de ce faite tu n'as pas le droit d'imposer tes quatre volontés à mon frère. 

  - De quoi est-ce que tu parles ?

  - Je te parle de Sarah. Cette fille s'est moi qui l'ai engagé, elle fait de l'excellent travail et je ne laisserait pas ta jalousie empiéter sur mes pas de bandes. 

  - C'est pour me dire ça que tu t'es déplacer ? 

  - Pas seulement ça. Je trouve également que tu perturbes cette environnement. Steven est le chef de cette famille, nous avons un nom et une réputation à tenir et que si jamais tu continues à jouer la plouc nous serons obligé de te remplacer. 

  - Nous ? A ce que je sache c'est Steven que j'ai épousé et personne d'autre. 

  - Décidément mon frère t'en a caché des choses.

  - C'est-à-dire ? 

  - C'est-à-dire qu'en un claquement de doigt, je peux tout t'enlever. Ta vie, ton mari et même ses enfants que tu attends Tailla Belbaum...

Le casino du sex. contrôle ! Tome 3Où les histoires vivent. Découvrez maintenant