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<< Plus je la regardais plus j'avais envie de lui tordre le cou, surtout  maintenant qu'elle venait de sortir ses crocs. Néanmoins, elle venait de m'avouer quelque chose que je ne pouvais tout de même pas laissé passer. 

  - Je ne te comprends pas. répondis-je face à cette déclaration plus que choquante. 

  - Ce n'est pas à moi de te l'expliquer Tailla. J'ai fait ce que j'avais à faire, excuse moi. 

Elle aussi me tourna le dos. Comme si je n'avais pas encore assez eu ma dose. J'en avais marre, j'étais vraiment à bout. Il ne manquait plus que ça. Après la tempête vient le beau temps.

Et le mien alors ? 

Le destin s'acharnait sur moi, c'était injuste véritablement injuste. 

A cet instant, le fixe se mit à sonner et c'est à contre cœur que je décrochai. 

  - Bonjour que...

  - Tailla ? 

Elle reconnaissait cette voix, une voix forte et puissante qui lui faisait pensé à...

  - Tailla, vous êtes là. 

  - Oui... Oui bafouillais-je. C'est juste que... Je ne m'attendais pas à... avoir de vos nouvelles.

Il aurait d'ailleurs mieux valu.

  - Je m'inquiétai pour vous après l'incident d'hier, je pensais que...

  - Mon mari ne m'a rien fait de mal. Il n'est pas voilent juste... très possessif. 

Envers moi mais envers toi ça aurait été une autre histoire. 

  - Je suis rassuré. Mon intention n'était surtout pas de vous créer des problèmes avec votre mari en aucun cas. Qui ne serait pas possessif avec une femme aussi belle que vous. 

Je rougis comme une idiote. 

Tu es mariée Tailla, ne l'oublie pas ! 

C'est qu'il était si mignon et si...

   - Tailla... Tailla où es-tu il faut qu'on parle. 

Décidément, Steven avait le chic de toujours débarqué au mauvais moment. 

  - Je suis désolé mais je vais devoir vous laisser. 

  - Alors je ne vous retiens pas plus. Prenez soin de vous.

  - J'y penserais merci. Au revoir. 

  - Au revoir Tailla.

Je venais à peine de reposer le combiné lorsque j'entendis les pas de Steven se rapprocher de moi.

  - A qui est-ce que tu parlais ? 

  - A personne... C'était un faux numéro. 

Je sentis bien une hésitation dans son regard, pourtant, ce dernier ne dit rien, se contentant de prendre ma main. Son front posé contre le mien, je sentis ses muscles se décontracter, il était en train d'atténuer sa rage. Puis ce dernier prit mon visage entre ses mains, sauf qu'il me suffit d'un geste pour me défaire de lui.

  - Je ne veux pas Steven. S'il te plait. 

Il m'attrapa par le bras et me tira à lui, avant de prendre possession de mes lèvres. Je me perdis dans son baiser, oubliant même pourquoi est-ce que je lui en voulais. Plus rien ne comptais à part lui et moi. C'était si bon de l'avoir, avec moi, uniquement pour moi, ne désirant personne d'autre que moi. Je sentis sa main parcourir mon dos et ses lèvres glisser sur mon cou. Je gémis, heureuse  de pouvoir me perdre à nouveau dans ce flux de sensation. Très vite emporté pas le désir, j'entrepris je lui retirer sa veste. Je savais qu'on s'était fait la promesse de ne pas se toucher durant les dernières semaines avant l'accouchement mais là je n'en pouvais vraiment plus. Steven me fit avancer jusqu'au canapé le plus proche et m'allongea doucement, alors que j'entreprenais de lui enlever sa chemise. Il repoussa les manches de ma robe jusqu'à ma taille et fit de même avec mon soutien gorge, laissant ainsi apparaître ma poitrine, ronde et gonflées par la grossesse. Lorsqu'il l'un de mes tétons entre ses dents, je ne pus retenir le léger cri de plaisir qui s'échappa de ma bouche. 

Qu'est-ce que ça faisait du bien ? 

Je sentis sa main, traverser le tissu de ma culotte et gémis de plus belle, me mordant la lèvre jusqu'à sang pour ne pas attirer l'attention. Il joua tout s'abord avec mon bourgeon, puis sans stopper ses caresses enfuis un puis deux de ses doigts en moi, faisant des vas et viens, précis et rapides. Je me sentais revivre. De mes mains, j'entrepris de défaire la ceinture de son pantalon, pour en faire ressortir sa queue, déjà énorme à force de bander. Je me mis à caresser le bout de son gland et un râle s'échappa de sa bouche. Cette fois se fut moi qui l'embrassa, passionnément, ne voulant en aucun cas que ce moment vienne à se terminer. Il dû sentir que j'étais proche de l'extase car aussitôt il stoppa ses caresses. Je diriger alors sa bite jusqu'à l'orée de mon sexe et à peine m'eut il pénétré que tous deux sombrèrent face à l'orgasme. C'était sans doute inévitable. Doucement, Steven, se mit à onduler en moi. Je m'agrippai à lui, savourant chacun de ses coups de rien comme s'il s'agissait de la première fois. La première fois... ses images de nos deux corps enlacés ne faisaient qu'attiser l'ouragan qui n'allait pas tarder à s'échapper de moi en une vague destructrice. Entre ces bras, c'était là qu'était ma place et nul par ailleurs. Un dernier coup de rein et à nouveau nous sombre dans les profondeurs de l'extase. 

A bout de souffle Steven se détacha de moi. Il ajouta son pantalon, me couvrir de sa veste avant de me transporter jusqu'à notre chambre, où il m'allongea sur le lit... >> 

  

Le casino du sex. contrôle ! Tome 3Où les histoires vivent. Découvrez maintenant