CHAPITRE 7 partie 1

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Hello ! Alors oui je poste assez rapidement, mais je suis en vacance alors est-ce compréhensible ? Bien évidemment... Bref. Ce chapitre 7 sera très court... C'est vraiment le plus court de toute l'histoire, (4320 mots... Je tiens à vous précisez que le chapitre suivant, le 8 fait 16 440 mots...) enfin voilà quoi, je vais pas passer ma vie à vous raconter des choses inutiles, donc je vous souhaite une excellente lecture !
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Comme à son habitude depuis quelque temps déjà. Cet horrible cauchemar faisant de moi sa protagoniste venait alors de me réveiller. Laissant perlé sur mon front quelque gouttes de sueurs.

Allaitante et encore sous le choc, je sors de mon lit, quitte ma chambre et en faisant le moins de bruit possible, rejoins la cuisine.

Depuis quelques temps, cette pièce et mon seul refuge. En faite c'est juste l'endroit, mise à part la salle de bain, mais celle si est trop près des chambre. Où l'on peut trouver du carrelage frais, de l'eau fraîche et si possible, si quelqu'un a eu l'amabilité de les faire, des glaçons.

Des glaçons ? En plein hiver en plus ?

Et bien oui. Mais je vous signal qu'après une nuit mouvementé, et je parle de ce fameux cauchemar et pas d'autre chose.

La chaleur, vous la sentez passer. Et donc du 36° vous passez à du 40° si ce n'est pas 45°. Bon bien sûre j'abuse un peu, mais c'est juste pour vous montrez à quel point j'ai chaud.

J'ouvre le réfrigérateur et prends la bouteille d'eau, celle que je cache pour ne pas qu'elle finisse sur la table à manger.

J'attrape un verre, pas n'importe le quel, celui avec des reflets rouge, et aussi facilement que ça je verse proprement l''eau dans le récipient.

Bon pour les glaçons j'en referais demain c'est pas dérangeant si ce n'est que pour un soir.

...- 10... 10 jours qu'à...

L'individue regarde l'heure de la pendule.

...- Qu'à 5h30 tu sors de ta chambre, et que tu me réveille pour boire cette eau, que tu cache misérablement derrière, les briques des laits.

A la volé, il saisit MA et je tiens à mettre l'accentuation sur ce déterminant possessif. Et la bois d'une traite.

...- Et ça fait 9 jours que je vois cette eau et que je prive sans raison... Très bonne en plus.

Il pose son corps encore endormie sur la chaise haute, en face de la mienne.

...- Tu fais des cauchemars ?

Et baille comme si ma présence l'importait peu.

Moi- Tu as fini ma bouteille ?

...- Je te l'ai dit... Elle me faisait de l'œil...

Puis il pose violemment sa tête dans ses mains, terminant sa nuit de sommeil.

JungKook- Oh... Je suis vraiment désolé 'Jin... Tu vas pas faire la gueule pour ça.

Sans répliquer je quitte la cuisine en veillant bien évidemment à éteindre la lumière derrière moi.

« Tu n'as jamais lu cette lettre pas vrai ? »

« De quelle lettre voulez vous parler ? »

« Celle que... »

Professeur- Mademoiselle ! Cela ne m'importe peu que vous n'ayez pas dormi hier soir ! Mon cours n'est pas un dortoir !

Moi pour l'au-delà.[j.jk]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant