Moi pour l'au-delà.[j.jk]

Épilogue

Merci pour l'aide !
Bonne lecture !

PS: Vous pourrez, si vous commenter, me dire qu'elle phrase vous commentez s'il-vous-plaît ? Non parce-que y'a un problème relou là qui fait que quand vous commentez ben vous commentez out le chapitre.
-----------

« PDV extérieur »

Le coup de feu avait laissé un silence inexplicable. Un silence qui pourrait faire pâlir les morts. Désormais, la pluie extérieur s'abattait fortement sur les volets de la maison et l'orage grondait si fortement, que quelque fois, la battisse tremblait légèrement.

D'ailleurs tout avait disjoncté et seuls les quelques éclaires, illuminé pour un court temps, la pièce.

Tout c'était passé si rapidement, tout c'était passé si vite que plus personnes ne comprenaient rien. Deux coups de feux, deux coups de feu, deux ambulances, deux brancards, un seul mort.

...- Excusez-moi ! Vous m'entendez !?

Puis plus rien. Le vide.

–

« PDV ... »

« ...- Une erreur policière vous dites.

...- Il s'agit en effet d'une grosse erreur policière et nous en sommes conscient. Cependant, rien nous laisser croire qu'il était le criminel. C'était un homme assez calme il était alors évident que qu'il contourne nos pistes. De plus il venait de sortir du coma et il n'avait jamais eu aucun antécédent.

...- C'est quand même une erreur qui vous aura coûté de nombreux morts et qui aura mit au péril une bande de trois enfants.

...- Effectivement, mais nous apprenons de nos erreurs e- »

La lumière du jour m'éblouissait et bruit de la télé ne résonnait plus dans ma tête, seul celui d'un « bip » continue que je pourrais reconnaître entre mille.

Tout comme cette odeur particulière et cette atmosphère pesante.

J'étais encore à l'hôpital, et le décor qui m'entourait été la preuve à l'appuie de mes dires. La chambre dans laquelle je me trouvais était assez similaire à l'ancienne ; une télévision, des murs blancs et quelques cadre pour faire office de décoration.

Puis à ma gauche, assit sur une chaise, un corps. Ma vue brouillait m'empêchait presque de le voir, mais son odeur ne me trompait pas. Je savais à qui appartenait cette silhouette, je savais à qui appartenait ce corps lamentablement assit une télécommande à la main.

...- J'ai l'impression que ça fait 10 ans que j'attends... Ah ben te voilà ! J'ai bien que tu n'allais jamais revenir !

...- Quand est-ce que tu vas arrêter de râler !?