LIBERTÉ ( EN CORRECTION)

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ÉCOUTER LA MUSIQUE DU MÉDIA JE L'ADORE.

Cette nuit je n'est pas réussi à dormir. Le jour fait sont apparition petit à petit, les oiseaux se réveille lentement et commence à chanter. Je suis assi sur le matela, dos contre la tête du lit mes genoux collé à mon tors, ma tête enfouis entre mes genoux. ce matin je n'es plus de larmes, mes yeux sont rouge, gonflé d'avoir autant versé de larmes. Je me sent sal, soullier, vide de l'intérieur, j'ai l'impression qu'il a volé mon âme, je souhaiterais mourir. J'ai honte d'avoir ressenti du plaisir avec cette être infâme, ce monstre. Après notre ébat, je mettait rendus compte qu'il nous avait filmé, comme si l'humiliation de m'avoir pris ma virginité ne suffisait pas. J'ai essayé de prendre la caméra pour effacer le contenu, en vain. Il m'a frappé en me jetant sur le lit, j'ai la lèvre fendue, une arcade explosé. J'ai mal partout, ses douleurs en bas des reins me sont atrocement souffrir. Je suis toujours nu, mes poignées attaché par des menottes relié à une chaînes qui est attaché au barreau de sont lit. Lui a mes côté dors toujours paisiblement comme si de rien n'était. J'ai bien essayer de le tué pendant sont sommeil avec les chaînes qui m'emprissone, mais sa ma plus attiré c'est foudre qu'autre choses, il est plus fort que moi. Puis il m'a menacé de faire du mal à keisuke et les autres, que si je me tenait tranquille, il ferait en sorte que personnes ne les touche.
Alors que pouvais-je faire ? J'essaye de réfléchir à une solution pour me sortir de la, mais je suis seul, mes amis aurait pu au moins me conseiller. Je tourne la tête doucement vers la fenêtre, je veut plus, j'en peut plus je doit partir, je veut plus souffrir, et si la liberté pour moi est de mettre fin à mes jours, alors sa sera ma seul solution et mon seul moyen de sortir d'ici.

Le réveil d'ethan sonne signe que les cours vont bientôt commencer. Il ce réveil tout en s'étirant sous les draps. Je ne veut même pas le regardé, il me dégoût. Je le sent s'asseoir et venir vers moi, je ne bouge pas je bloque ma respiration et ferme les yeux. Sa main ce pose sur mon épaule et lentement descent parcourant le côté de mon tors, mes côtes, jusqu'à ma hanche,sont doigt se glisse ensuite jusqu'à l'arrière de ma cuisse pour frôlé une de mes fesses. Je me raidit à se contacte. Ensuite vient le tour de ses lèvres qui dépose des baissés papillons sur mon épaule, la s'en es trop, je prend mon courage et lui met une gifle du peut de force qui me reste. C'est yeux s' écarquilles en grand, je sais que a cet instant je vais me faire défoncés, alors je protège mon visage et ma tête du mieux que je peut. Il bondit sur moi, m'attarpe par les cheveux pour encré sont regarde dans le mien,ses yeux sont d'un noirs qui me tétanise.

Ethan: COMMENT OSE TU ME FRAPPÉ.

Hurle t-il en me secouant la tête dans  tous les côté.

Ethan: PERSONNES NA JAMAIS LEVÉ LA MAIN SUR MOI, MÊME PAS MES PARENTS, ET TOI, PETITE MERDE QUE TU ES TU TE PERMET DE LE FAIRE.

A c'est parole il lâche enfin mes cheveux, mais pour fermé sont point et me le balancer sur la mâchoire. Ma tête ce cogne sur les barreaux de la tête de lit, j'ai un goût métallique dans la bouche, du sang sûrement. Ensuite il prend mes chevilles et les tire de façon à ce que je soit complètement coucher sur  le matela. Il se met à califourchon sur mon tors et pose c'est main sur ma gorge, et fait une pression dessus, je commence à suffoquer, mes mains viennent se positionner sur c'est poignées pour essayer de lui enlever, mais plus je force plus il serre. Je happe l'aire par la bouche comme un poisson pour essayer d'en récupérer, mais c'est de plus en plus dur, mes mains commence tout doucement à la lâché prise, j'ai l'impression que la vie défile sous mes yeux exorbités. D'un coup il s'arrête et me lâche, ma poitrine se gonfle d'air, j'ai mal à la gorge.

Ethan: maintenant j'espère que tu a compris ou es ta position, t'es un faible, tu m'appartient, et je fait ce que je veut de toi.COMPRIS.

Voyant que je ne répondait pas, il s'avance vers moi. Pris d'un sursaut de panique joignant mes mains à mon coup de peur qu'il veuille m' étranglé à nouveau. Je lui répond d'une voix cassé.