LIBERTÉ ( EN CORRECTION)

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Park Bae es un tanrsionnaire, un monstre inhumain. Il nous a fait ramper dans la boue, escaladé des murs. J'en suis au pompes et j'en peux déjà plus, pitié faites quelque chose. Je profite qu'il est le dos tourné pour m'allonger au sol pour faire une pause.

Hugo - tu devrais pas, cet homme a les yeux partout.

Moi - a moins qu'il est des yeux au cul sa risque pas.

Je sentis un poids s'abattre sur mon postérieure, écrasant au passage mes bijoux de familles aux sol.

Moi - Aiiieuu.

Park Bae - et Akermane, j'ai des yeux même au derrière. Tu m'en fera 30 de plus.

Je le regarde énervé.

Park Bae - dix de plus pour ton insolence gamin.

Moi - je suis pas un gamin.

Park Bae - oui oui.

Il tourna les talons pour allez gueuler sur un autre garçon.
Le soir venu j'avais les jambes en cotons, j'avais mal au dos et mes mains était dans un état catastrophiques, pleines d'échardes. Je rejoignit Ethan qui était coucher part terre. Mais avant que je n' atteigne mon âme soeur je me fis interpellé.

Hugo - j'ai pas eux le temps de te dire, les autres sont ici aussi. Enfin dans le camps voisins.

Je fis un bond pour lui faire fasse.

Moi - kei Antoine et les autres ?

Hugo -  oui Kévin et masaki aussi sont la.

Je sautait de joie il faut que je les revoit. Il mon tellement manqué.

Moi -  Ont peut allez les voir maintenant.

Hugo - non, mais ce week-end y a une fête, et c'est les deux camps qui les organise, tu pourras les voir.

Je souriais tel un gamin. J'ai hâte d'y être.

Moi -  vous êtes venus en bateaux ?

Hugo - oui, il y a un ans Ethan est venus nous chercher chacun notre tour avec cette femme, Hélène je crois, ils nous ont aidé à nous enfuires, tu peux pas savoir comment j'étais heureux qu'il sois venu, je vivait un calvers avec mon alpha.

Sont sourire disparu quant il se remémora c'est souvenir. Je le pris dans mes bras. Lui carressant le dos.

Moi - c'est fini maintenant, je suis la.

Il me regarda, serrant sont emprise sur mon sweat.

Hugo - sa été dur, parce-que mon loup le réclamait, mais je me suis souvenu de tous ce que tu ma dit, et de ce que tu a fait pour moi. Quand tu t'es sacrifier. Et maintenant j'ai Inès.

Je me recul pour lui faire fasse.

Moi - Inès ? T..tu es avec Inès ?

Hugo - oui, j'ai toujours été amoureux d'elle, enfin moi pas mon loup. Maintenant qu'on est libre, ont peux enfin être ensemble.

Je lui caresse le haut du crâne. Je suis tellement content pour lui, les omégas non pas le droits d'êtres ensembles, mais ici, il peux aimé qui il veux. Et j'espère que dans un avenir proches il le pourra aussi dans notre pays.

Hugo - sa te dit de venir à la maison pour le dîner avec ton homme et ton fils ?

Moi - mais fils, j'en es eux un deuxième.