23.Statu quo.

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OMG !!!!!!!!!! Je suis enfiiiiin de retour!!

Depuis plus de 2 semaines impossible pour moi de me connecter à mon compte wattpad et miracle, aujourd'hui ça fonctionne. Je suis désolée pour cette longue absence et aurais aimé vous mettre 2 chapitres pour me faire pardonner mais bien entendu je n'y arrive pas :(.

J'espère que vous attendez tjs la suite et que vous n'avez pas décroché. Dès demain je tente de vous mettre le chapitre 24 et j'espère de tout coeur que ça fonctionnera.

Je vous adore tjs autant

xoxo


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Jeviens de créer leur propre enfer.

Quel était ce maléfice que l'on m'avaitlancé? Pourquoi cette scène si absurde s'était imposée à moi? Jedonnais l'impression d'être tellement inquiéte pour Hadès que çaen était déconcertant d'irréalisme. Qu'en était le message? Jen'y comprenais rien. Jusque là, je n'avais été que spectatrice deces allucinations mais à présent quelque chose avait changé. Jeressentais faiblement, aussi bien physiquement que émotionnellementet ça ne me plaisait pas. Je croyais que c'était moi qui décidaisquand revenir, mais cette fois ce n'était pas le cas. Tout s'étaitarrêté soudainement, et pourtant je ne retrouvais pas l'usage demon corps. J'étais comme paralysée, avec le noir total en prime.

Je sentais Polyclète tenter de me réveiller,ce qu'il ne savait pas c'était que c'était déjà le cas et je nepouvais rien lui en dire. La peur commença à s'insinuer lentementdans mon esprit. Par Zeus, si je restais comme ça, bloquée pourtoujours entre deux mondes? J'essayais de lever mon bras mais rien àfaire, c'était comme s'il ne m'appartenait plus.

— Seigneur, vous êtes là!

— Qu'est-ce qu'il s'est passé?

Lavoix d'Hadès avait grondé. J'avais l'impression qu'un troupeau debuffles avaient monté les escaliers et qu'ils allaient le faires'écrouler.

—Elle... elle a voulu la toucher... J'ai fait ce que j'ai pu, j'aiessayé de la retenir mais nous sommes tombés et quand je me suisrelevé elle est restée à terre. Je suis désolé, j'aurai dû êtreplus consciencieux ou refuser qu'elle monte mais elle est alléetellement vite que je n'ai rien pu faire.

Polyclètesemblait aussi apeuré que moi.

—L'a-t-elle touché? Demanda Hadès plus calmement.

Jeressentais ses pas lourds s'approcher mais je ne voyais rien. Jesentais le sol dur et froid sous mon corps et j'aurais voulu hurler,me débattre, me relever mais j'étais bloquée. Je me souvenaisavoir voulu voir ce qu'il se cachait sous la statue. Etait-ce de çadont il était question?

—Non. Non elle ne l'a pas touché. Nous avons basculé avant et dansnotre chute nous avons brisé celle-ci. Je pense que c'est ce qui adéclenché son aléthium. J'ai eu beau lui parler ça n'y faisaitrien.

Monaléthium?

—Est-ce que tu as essayé de la déplacer?

—En vain. Elle était comme clouée au sol et les brûlures que sapeau ont causé à mes mains m'ont empêché d'essayer de nouveau.Voyez par vous même.

Jesupposais qu'il lui montrait ses mains. Je ne comprenais pas. Jen'avais pas l'impression d'avoir chaud, bien au contraire.J'entendais les bouts de marbre près de ma tête être balancésplus loin et sentis deux mains sous moi. L'une dans mon dos, l'autresous mes jambes. Je fus soulevée comme une poupée de chiffon etplaquée contre un torse avec délicatesse. Je savais que c'étaitlui, que c'était Hadès. Même les yeux fermés. J'aurais pu lereconnaitre entre mille.

PERSEPHONEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant