La lumière du jour qui perçait par la fenêtre réveilla peu à peu Paula. Elle émergea du sommeil profond et ouvrit doucement ses paupières lourde.
Elle était dans sa chambre, allongé dans son lit... du Square. Tout ses muscles étaient tendus et lui faisait mal. Elle ressentait dans son corps toute la tristesse qui c'était déversé hier soir en elle.
Paula referma les yeux et tout ses souvenirs de hier soir ressurgirent. Des larmes silencieuse coulèrent de ses yeux, douce, petite et légère, ce n'était pas les même qu'hier. Ces larmes n'étaient que des fantômes de celle qu'elles avaient été, elle n'était qu'un résidu infime de tout son mal.
Paula se retourna vers la gauche et glissa ses pieds sur le sol. Elle se redressa sur son lit et ouvrit les yeux à nouveau. Elle avait retrouvé ses sensations normal, quoiqu'un peu flou, tout autour d'elle était droit et immobile. Le sol sous ses pieds était dur et stable, cela l'a rassura et l'a poussa à se lever.
Aussitôt son bassin avait-il quitté le lit qu'elle attrapa mal à la tête, très mal à la tête, juste au dessus des sourcils. Elle ne laissa retomber sur le lit, dans son mouvement ses cheveux virent virevolté devant ses yeux lourd et gonflait, ils étaient gris souris, affreux. Paula remarqua alors qu'elle n'avait plus sa robe d'hier mais une joli robe de chambre blanche, la même que le jour où elle était arrivé au Square. Paula se souvint alors comment elle s'était retrouvé dans cette chambre, elle s'était évanouie...
Comme un flash soudain, Paula se souvint alors de quel jour on était. Aujourd'hui c'était... le vingt neuf mai, le jour de son anniversaire. Elle avait dix-huit ans aujourd'hui. Cette pensée pesait lourd dans son cœur et, malgré la joie que procurait d'habitude cette événement, ça ne l'a rendait pas heureuse...
Paula se leva doucement sur ses jambes qui tenait mieux qu'hier. Elle sortit de sa chambre à pas lent et passa dans la salle de bain avant de descendre pour se rincer le visage à l'eau. Elle évita soigneusement le miroir qui, elle le voyait quand même, reflétait déjà une tâche grise. Paula attrapa froid en descendant les escaliers mais tout ses vêtements d'hiver ce trouvait à Poudlard.
Chaque pas qu'elle faisait pesait lourd, malheureusement, arrivé à l'escalier du première étage, son pied glissa sur quelque chose de mou. Deux secondes plus tard Paula se retrouva allongé sur le tapis du couloir, le dos douloureux. Cela ne rajouta que plus à sa tristesse... comme si le destin l'a poussait par terre...
Elle ne ce releva pas tout de suite, regardant l'étendue des escaliers. Le Square était vraiment grand, elle se demandait comment Sirius et Katherine pouvait vivre, juste à deux avec Jo, dans cette énorme maison. Au moins Jo avait de quoi faire des caches-caches. Soudain, Paula se demanda aussi comment elle elle avait vécu dans cette maison, lorsqu'elle était petite... Elle aurait voulu ce souvenir de ces moments passé avec ses vrais parents, mais elle ne se souvenait de rien, c'était atroce. Pourtant, elle avait vécu cinq ans avec eux, cinq eux... ce n'est pas rien. Ils lui avaient montré des photos, mais elle ne pouvait pas ce représenter ce que ça avait été.
Paula décida enfin à se relever. Elle avait mal au jambe, ses muscles étaient lourd, comme si tout son corps était gorgé d'eau qui devrait bientôt se déverser par ses yeux.
Elle marcha lentement dans le couloir, baigné de la fine et chaude lumière du jour passant par la fenêtre de la porte. Pour la première fois, Paula regarda profondément ce couloir. La décoration était parfaite, simple et grandiose en même temps. La tapisserie beige pâle parsemé d'arabesque doré et de point beige rayonné le hall d'entrée. Elle n'était mise qu'à certaine endroit, de façon très raffiné, il était alterné avec de la peinture taupe et sable. Très clair, il reflétait à lui seul la lumière.
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𝗥𝗶𝗲𝗻 𝗻'𝗲𝘀𝘁 𝗷𝗮𝗺𝗮𝗶𝘀 𝗵𝗮𝘀𝗮𝗿𝗱 [𝗧𝗢𝗠𝗘 𝟭] - TERMINÉE
Fanfiction𝒟𝒶𝓃𝓈 𝓁𝑒 𝓂𝑜𝓃𝒹𝑒 𝒹𝑒 ℋ𝒶𝓇𝓇𝓎 𝒫𝑜𝓉𝓉𝑒𝓇... 𝒜𝓃𝓃𝑒́𝑒 𝟤𝟢𝟣𝟧... Et si en fin de compte l'histoire n'était pas terminé pour le monde des sorciers ? Et si tout ne s'était pas exactement passé comme dans la version que, nous tous, con...