𝗥𝗶𝗲𝗻 𝗻'𝗲𝘀𝘁 𝗷𝗮𝗺𝗮𝗶𝘀 𝗵𝗮𝘀𝗮𝗿𝗱 [𝗧𝗢𝗠𝗘 𝟭] - TERMINÉE

Chapitre 56 : L'épreuve à surmonter

Hey !!

Me revoilà avec mon chapitre !!! Le problème : j'ai beaucoup trop écrit xD et je n'arriverais pas à supprimer des trucs sans que ça fasse incorrect. Du coup, ce chapitre fait 9000 mots, sorry... 

J'espère qu'il vous plaira quand même ?! Il y a beaucoup de chose qui vous guiderons sur le pourquoi du comment du tout... mystère !!! 

Bisouille d'amour <3 

~ Paula ~ 

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– P.D.V. André –

Assise dans son fauteuil, Andromeda préparait tranquillement ses cours pour la troisième semaine de janvier qui allait commencer. Que le temps passait vite quand on travaillait, pensa-t-elle.

Soudain un bruit l'a fit sursauter. Elle tourna la tête vers la fenêtre, heureusement ce n'était qu'un hiboux qui tapait au carreaux. André se leva et ouvrit à l'oiseau qui lui tendit la lettre qu'il portait. Intrigué la brune l'attrapa et laissa partir son messager.

Bien vite elle reconnu l'écriture sur la lettre, c'était Guillemin Signum. Elle ne fut que plus excité de lire cette lettre. Elle se rassit sur son fauteuil et vira ses affaires de cours pour s'y installer confortablement. Ses yeux tranquille se posèrent enfin sur les premiers mots :

Ma très chère Andromeda,

Je ne peux commencer autrement ma lettre qu'en te disant : tu me manques. Pourtant je sais qu'il faut que je m'en aille.

Ce qu'elle venait de lire lui fit trembler tout le corps....

Tu sais comme moi que nous ne pouvons pas continuer, même si je t'ai aimais et que je t'aime encore, sache le. Tout a mal commencé, et je ne te blâme pas, ce n'est aucunement ta faute. Je sais que tu vas vouloir me dire que « si c'est à cause de moi » mais je t'assure que je ne t'en ai jamais voulu. Je m'en suis voulu à moi même de n'avoir pas réussi la mission qui était la mienne : ramener ta fille. Je savais également que c'était la seule et unique raison qui t'empêchait de m'aimer, parce que je t'avais trahi, déçu. C'est pour cela que je suis partit, mais tu le sais déjà.

Cela faisait quinze ans que nous nous étions quitté, et je ne t'avais jamais véritablement oublié, malgré la distance qui nous séparez. Tu ne peux pas savoir la surprise que cela m'a fait quand nous nous sommes revu occasionnellement à ma revenu sur l'île, et que tu m'as embrassé. Je sais que maintenant tu veux partager mes sentiments, et j'aimerais tant pouvoir le faire, mais je ne peux plus.

Je t'aime tellement Andromeda, ne m'en veut pas.

Bien sûr on s'est aimé le temps d'une journée, d'une nuit, mais cela n'a pas effacé ta rancœur profonde, et je ne peux imaginer une relation où tu auras toujours au plus profond de ton coeur cette querelle. Tu me le rappelles implicitement à chaque fois. Il m'est impossible de me battre contre quelque chose d'aussi fort que le mal dont tu as été rongé pendant très longtemps, à savoir d'avoir perdu ta fille. Je n'ai jamais eu d'enfant, alors d'une certaine façon tu avais eu raison de me dire que je ne pouvais pas comprendre.

J'ai été très content de partager ces quelques mois avec toi, d'avoir rencontrer ta famille, d'avoir passer un bout de bonheur avec toi. J'en avais rêvé et cela me suffira à me sentir heureux et complet là où j'irais, je saurais tu m'as aimé.