chapitre 16

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"Il est extraordinaire qu'on ne puisse pas mentionner la mort sans être soupçonné de dépression. Elle arrivera bien un de ces jours, de toute manière. En attendant, j'aimerais quand même pouvoir en parler."

Elisabeth Gille

La tête posée sur le dos de Claus, je sens ces mouvements. J'écoute les galops de Jacob sans me comprendre. Le regard dans le vide et les larmes qui continue de me brouiller la vue ne m'aide pas beaucoup. Je ne sais pas quoi pensé de toute cette histoire, ces difficiles d'imaginer tout ce que Claus a vécu. Je n'arrive toujours pas a crois qu'il est pu vivre ça à son jeune âge. Comment a-t-il pu rester avec le corps de son père et sa sœur durant deux jours ? On peut voir qu'il est complètement détruit. C'est donc ça qu'il me cachait, je n'ai pas imaginé une telle histoire.

Là, je ne sais pas comment réagit, je ne sais pas si je regrette de savoir la vérité ou non. Cet homme qui se tient sur cet étalon et qui m'a avouer son histoire n'est pas le Claus que j'ai connu. Celui devant moi à l'aire vide. Je sais qu'il attend ma réaction avec impatience, mais j'avais besoin de reprendre tout mes esprit après toutes ces information. Sara est donc sa petite sœur et je me suis donc faite de fausse idées. Mes larmes coulent encore plus en pensent à cette petite fille en photo avec lui dans mon pendentif. Je le remercie de ne pas me poser de question, depuis qu'on a quitté le cimetière et qu'il a essayé de me prendre la main et que j'ai refusé. Je ne suis pas dans mon assiette, je sais même pas ce qui m'a pris de faire un geste pareil et je vois que cela le blesse, mais il évite d'en parler.

Je sais qu'il se sent coupable de mon état actuel, mais il ne le doit pas, c'est moi qui ai voulu tout savoir.

Je me sens vide alors je le serre encore plus fort et hume son parfum afin qu'il imprime mon cerveau de sa douleur. Je veux qu'il se sente bien et je ferais tout pour ça. Il est en dépression et moi, je me dois d'être là pour l'épaulé afin qu'il ne se perde pas de nouveau. Ce n'est pas à cause de son passé que je le laisserais tombé, il n'a pas besoin de ça en ce moment. Il m'a fait confiance et m'a finalement tout dévoilé, c'est à moi de lui prouver que sa confiance me fait très plaisir.

Je sens plus Jacob galopé alors je réouvre mes yeux et en effet Claus avais stopper Jacob devant le ranch. Il descend et me tend la main afin de m'aider à descendre , cette fois je ne la refuse pas, je la prends avec plaisir et lui fait un petit sourie. Sans faire exprès, je perds pied et risque de tomber, mais Claus me rattrape de justesse.

Notre proximité me fait tourner la tête. J'ai qu'une envie sentir ces lèvres frôlées les miennes. Il se contente de me regarder sans rien faire. J'ai une bouffé de chaleur en sentant son soufflé caresser mon visage ,aller Claus je t'en supplie embrasse moi est la phrase qui raisonnais dans mon esprit. Mais non, il se contente de me remettre sur pied et de me tourner dos afin de rentrer dans la maison. Je suis resté là à le contemplé vu que je n'ai pas pu le faire à notre arrivée. J'avais devant moi une grande maison sur deux étages en bois, vitré sur quelque côté. Elle était illuminée par ces lumières ce qui la rendais encore plus belle. Je suis sortie de ma contemplation par Claus qui me sifflais. Il me tenait la porte, je ne me fais pas prié et entre à l'intérieur.

Je suis frappé par la splendeur et le luxe de cette maison. Je sens Claus derrière moi suis sûr qu'il rire de mon aire de petite fille a qui on venais d'offrir ces premiers cadeaux de noël. Il me devance et commence à monter les escaliers, je l'imite et le suis tout en caressent la rampe qui longe les marche. À un certain moment, je vois plus Claus devant moi alors je me retourne sur moi-même sans le trouver, je me trouvais dans un magnifique couloir avec deux porte sur chaque côté. Je décide d'ouvrir la première chambre.

Soft Revenge Tome 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant