Point de vue de Toni :
C'était le jour J. Cheryl et moi allions enfin aller à ce bal, ensemble et peut être même se faire élire reine.
Ce serait une première, deux reines pour représenter le lycée. Mais surtout, pour la première fois, j'allais pouvoir être avec la fille que j'aime en tant que couple sans que personne ne puisse critiqué la sincérité de notre relation.
J'avais trouvé une robe plutôt simple, mais pour le moins sexy qui j'en étais sure plairais à Cheryl. Elle avait absolument insisté à ce que je mette une robe soulignant le fait qu'elle pourrait me l'enlever plus facilement qu'un pantalon après cette soirée. Un argument qui était je dois le dire assez convaincant !
Je n'avais aucune idée d'à quoi pouvait ressembler la robe de Cheryl, elle n'avait rien voulu me dire. Quoi qu'elle puisse porter elle serait magnifique, elle est toujours magnifique...
Je suis sortie de mes pensées par mon téléphone qui sonne, c'est un numéro inconnu et je décide de répondre malgré tout.
Début de la conversation téléphonique
? : Bonsoir Toni...
T : Vous êtes ?
? : Enfin Toni... c'est moi, Hermione.. ta mère..
T : Oh... pourquoi est ce que tu m'appelles on a rien à se dire toi et moi.
H : C'est à propos de toi et Cheryl..
T: Je t'arrête tout de suite, je ne supporterai pas une remarque de plus. Je vais raccrocher.
H : Non ! Toni attends. Ce n'est pas ce que tu penses. Je tiens à m'excuser.
T : T'excuser ? J'ai déjà entendu ça et si ma mémoire est bonne je t'ai entendu dire des le lendemain qu'en faites tu voulais briser mon couple avec Cheryl. Tu ne m'auras pas deux fois.
H : Je sais... j'ai mal agis, mais je ne peux plus être séparé de ma fille.. tu me manques Toni et si accepter ta relation avec Cheryl est le seul moyen pour que tu renoues contact avec moi alors très bien je l'accepterai.
T : Ça sent le piège à plein nez.
H : Je sais que c'est dur de me croire mais passe à la maison ce soir et je te prouverais que je veux vraiment réparer ma faute.
T : Ce soir je ne peux pas, j'ai le bal avec Cheryl.
H : Très bien, alors demain matin ? Amène Cheryl si tu veux.
T : Ok pour demain matin... et nan je ne l'amènerai pas, je pense que si on a des choses à régler il faut qu'on soit seule, ça veut dire sans Clifford.
H : C'est entendu.
T : C'est la dernière chance que je te laisse.
H : J'en suis consciente. À demain.
Fin de la conversation téléphonique
Je raccroche le téléphone. Je sais que ma mère ne méritait certainement pas mon pardon, mais elle restait ma mère et je pense que je m'en voudrais si je ne lui laissais pas une dernière chance.
J'entend comme un raclement de gorge venant de derrière moi, je me retourne et trouve ma sublime petite amie vêtue d'une robe rouge magnifique. Je ne peux m'empêcher de retenir un WOW et garde la bouche ouverte pendant un long moment.
« C'est la réaction que j'attendais. » Dit Cheryl en me faisant un clin d'œil.
« Tu es... tu es magnifique mon amour.. » dis je toujours les yeux ébahit devant elle. Qu'on ne se m'éprenne pas, Cheryl est toujours magnifique mais la ... elle est ... extraordinaire !
« Tu es magnifique aussi TT... je t'avais dit qu'une robe t'irait bien. » Dit elle en s'approchant de moi.
Elle m'embrasse avant de glisser un : « j'ai hâte de te l'enlever. » dans le creux de mon oreille.
On se dirige vers la voiture et on arrive rapidement au lycée.
« TT ? »
« Oui bébé ? » dis je en souriant.
« quand je suis descendu t'étais au téléphone, c'était qui ? » me demande t elle.
« Ma mère... elle m'a présenté ses excuses et m'a dit qu'elle était même prête à accepter notre relation... »
« Chérie... tu penses pas que c'est un piège.. encore ? » Dit elle gentiment.
« Je sais que c'est un risque... et qu'elle a fait des choses horribles.. mais c'est ma mère... quel type de personne je ferais si je ne lui accordais même pas le bénéfice du doute.. je dois essayer une dernière fois. Tu comprends ? »
« Évidement que je comprend, tu veux que je viennes ? »
« Nan bébé c'est gentil... j'irai demain matin c'est une confrontation que je dois faire seul... »
« Ça marche, aller oublie ça. Ce soir c'est notre soirée alors ne laissons rien ni personne nous la gâcher. » Dit elle en souriant.
« J'ai cru que cette soirée n'arriverait jamais. Je suis tellement heureuse d'être là, ici avec toi. » Dis je avec des cœurs pleins les yeux.
« Je t'aime... aller viens entrons. » Dit elle en me prenant Le Bras.
On arrive au vestiaire et après avoir donner nos vestes nous tombons évidement sur Fangs.
« Vous gagnez la présidence, puis maintenant face au jury ? C'est quoi la prochaine étape ? » Dit il avec un air renfrogné.
« Qu'est ce que tu veux Fangs ? » lâchais Je exaspérée.
« Je veux comprendre. Pourquoi est ce que tu as eut tout ce que tu as. A commencer par elle. » Dit il en regardant Cheryl. « Tu sors avec la fille la plus canon du lycée, qui est folle amoureuse de toi. Tu te refais une image grâce à elle et passe de la salope de service à la présidente adulée. Pourquoi tu as ça ? Tu ne le mérites pas ! » hurle Fangs visiblement un peu éméchée. J'allais répondre mais Cheryl m'en empêche en prenant la parole.
« Tu veux savoir pourquoi je l'ai choisie plutôt que toi ? C'est simple. Je l'ai aimé à la seconde où nos regard se sont croisés et je n'ai pas cesser de l'aimer depuis. Toni n'a pas eut une vie facile mais elle n'à jamais enfonce personne pour avoir ce qu'elle voulait. Elle s'est excusée du mal qu'elle a fait et une âme qui s'excuse est une âme qui peut être pardonné. Toi Fangs tu jalouses tout le monde, tu serais près à tuer ton meilleur ami si ça t'étais profitable. Voilà la grande différence, tu veux que les gens t'aiment ? Alors donne leur une raison de t'aimer et arrête de mentir aux autres et à toi même. » conclut Cheryl en me prenant la main pour partir.
J'étais admirative devant sa réponse et je ne pouvais que l'aimer encore plus. La soirée pouvait enfin commencer.
VOUS LISEZ
You drive me crazy [ TERMINÉ ]
FanfictionCheryl avait tout pour être heureuse, une famille aimante et unis, un petit ami attentionné, des amis qu'elle aimait, un lycée qui lui plaisait. Tout part en éclat lorsque l'infidélité de son père est révélée au grand jour. Du jour au lendemain sa...