Scène contenant du lemon chapitre 67 et 68, lecteurs avertis.
Un moment passe où j'attends qu'il se calme, la douleur à laquelle il est confronté doit être destructrice, je sais bien qu'il s'en veut mais il doit comprendre qu'il n'est pas la personne en tord.
-Ta sœur te l'a caché pour ne pas te donner de soucis Clyde.
-Je m'en tape! J'aurais pu l'aider comme un véritable grand frère, j'aurais pu la consoler quand elle pleurait, j'aurais pu être simplement présent pour elle.
-Je sais que tu es pleins de culpabilités et c'est normal tu es humain, tu ressens déjà la douleur alors ne te prends pas pour quelqu'un de mauvais sinon tu ne ressentirais rien à sa perte.
-Sa vie a était courte, trop courte, la mienne est encore longue et sans but... Ma place devrait être la sienne...
-Ne dis pas ça! Tu es quelqu'un de perdu, quelqu'un qui a besoin qu'on lui montre qu'il est merveilleux, qui doit voir la vie sans cette ombre que te fait le passé, ta sœur veut un grand frère souriant et fort pas le contraire, elle espère qu'en toi tu ne sauras pas te lamenter sur le sort et te relever en la relevant par la même occasion. Clyde si maintenant tu ne te relèves pas, je t'aiderais. Crois moi tu as réussis à me relever aussi, alors je ferais de même pour toi, tu n'as pas le choix, on fonctionne à deux, on s'est détester à deux mais on se comprends aussi bien.
-Je ne vois plus cette lumière de sortie possible et ça depuis un moment. Il y a toi mais je ne veux pas que tu t'en fasses, te rendre triste par mon état je ne veux pas!
Je caresse sa joue tandis qu'il se concentre sur mes gestes en fermant les yeux péniblement.
-Dis moi seulement comment je peux apaiser tes soucis Clyde.
-Toi, tout ce qui provient de toi, tout ce que tu fais, tout ce que tu me dis, m'apaise un peu plus.
Je me lève du canapé pour aller reprendre un peu d'eau. J'allais revenir au salon mais Clyde est maintenant face à moi.
-Qui y'a t-il?
Pour toutes réponses il me plaque assez fortement contre le mur en m'embrassant. Me faisant lâcher un petit cri de surprise.
-Désolé si je t'ai fais mal.
-Non c'est pas grave.
Il continue de m'embrasser, baladant ses mains sur mon corps, ses gestes sont brusques et j'essayes de le retenir un peu mais je me perds un peu est prends gouts à ce baiser pressant.
-Que veux-tu faire?
-Juste t'embrasser.
Nous reprenons toujours plus affolés par ces baisers brûlants, chauffant déjà mon cœur et j'espère soignant le sien. Il soulève mes jambes, les enroulant à sa taille et m'emmenant je ne sais où. J'atterris doucement sur un lit, en étant toujours couvertes de bisous.
-Je ne sais pas si je veux que t'embrasser à vrai dire dit-il moins confiant.
-Tu voudrais quoi?
-Toi, tout, je te veux, j'ai envie de toi.
Il veut qu'on couche ensemble? Je ne suis jamais vraiment passer à l'acte dans mon ancienne relation et je m'expérimente dans quelque chose de totalement inconnu et avec lui. Bizarrement je n'ai pas envie de mettre de limites, je veux laisser les choses aller, si mon corps brûle déjà de désir et qu'il attend mon accord alors je suis prête, mais je ne veux pas que Clyde souffre pour autant durant ce moment.
-Ruth, je ne veux pas faire ça pour oublier ce qui c'est passer, je le fais pour nous deux.
-Je veux seulement te savoir bien et puis je-.
-Ne t'inquiète pas, t'avoir dis tout ça m'a fait un bien fou et je veux seulement te remercier à ma façon dit-il en souriant enfin. Je me sens seulement mieux quand tu me fais ressentir tout ça. Quand ton cœur bat pour moi, quand tes yeux m'observent, quand tu me touches...il finit en plaçant un bisou sur ma joue.
Je souris en regardant ses joues rougis et son air au début bestial qui montre une sorte de nounours, comme je m'étais dis un jour.
-J'ai une idée ma belle, je vais commencer en montant crescendo dans mes actions si tu n'aimes pas au fur et à mesure tu le dis et on arrête.
-Ok je veux bien.
Il sourit à ma réponse et commence par enlever mon pull. Il embrasse lentement mon épaule, glissant mes bretelles et détachant doucement mon soutif. Il s'arrête pour enlever en premier son t-shirt, me laissant en premier l'observer, je ne vais pas mentir mais la vue est plaisante. Il revient à moi en soulevant mon soutif. Ses yeux sont entrain de détaillés chaque parcelles de ma peau à présent nues. Il se penche sur mon visage et me susurre à l'oreille:
-Tu as l'air d'être tout aussi déterminé par mon idée.
Il passe ses lèvres sur l'enflement de ma poitrine me donnant des frissons, ses mains passent rapidement sur mes seins d'une extrême douceur. Il continue un chemin de baiser me faisant un peu plus frémir quand il approche le bouton de mon jean. Encore une fois il commence avant moi par enlever son jean, laissant mes yeux découvrir son corps, je toussote légèrement en voyant son boxer.
-Tu m'excuseras, mais c'est de ta faute ça dit-il en brulant mon regard joueur.
Il revient sur moi en décrochant mon bouton et retirant mon pantalon. Je sens que les étapes commencent à devenir intimes. J'ai une confiance en moi moyenne, mais je reste timide de laisser à sa vue, cette partie de mon corps.
-Si tu me dis oui, je considère que je peux passer à l'étape suivante Ruth?
Je murmure oui pas vraiment sûre. Il remarque mon manque de sureté et se rapproche aussitôt de ma bouche.
-Je vois que tu es gênée Ruth. Mais tu ne dois pas, pas avec moi, je ne peux que te remercier d'être présente pour moi et j'ai beaucoup plus peur que tu m'abandonnes.
Mon instinct me dit de le croire, je place rapidement ma bouche sur la sienne en répondant un oui. Je n'éprouve aucune envie d'arrêter, je le veux lui et en entier. Il me fixe en même temps qu'il passe ses doigts entre l'élastique et l'enlève.
Il décroche ses yeux des miens pour descendre vers cette partie qui est maintenant découverte.
-Ton corps est si parfait, je vais être jaloux en te montrant le mien.
J'esquisse un sourire taquin quand il vient enlever son boxer.
-Tu as l'air amusé maintenant?
-Tu es mieux que moi.
-Ne dis pas ça Ruth...Je vais te dévorer dans moins d'une seconde sinon.
Il vient contre moi, se reposant avec ses bras au dessus de moi. Il m'admire avec ses yeux, cette pointe de tristesse les hantent toujours, laisse la partir Clyde tu peux tu y es presque.
-Si tu me le permets je pourrais te faire un cunni peut-être ma belle?
Mes yeux se perdent dans les siens, là où j'en suis , avec ce que je ressens. Je pourrais le supplier déjà pour ressentir son contact partout sur moi et en moi.
-Tu peux.
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Ressemblance ou Contraire? [Terminé]
Teen FictionUne fille un peu trop banale pour ne pas se rendre compte qu'elle a un passé douloureux,un caractère et une carapace en béton parce 'que ce serait con que quelqu'un puisses arriver si facilement à le découvrir. Et un gars comme elle mais pour le sav...