Chapitre 45

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Je tiens à rappeler que quand c'est écrit en italique, ça veut dire que les personnages parlent en anglais, et quand c'est écrit droit, ils parlent en français. Voila.

Merci,

Zephir.

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Ce matin, comme tout les vendredis, j'avais botanique en compagnie des Serdaigle. Je me mettais toujours avec John pour ce cours, il avait un don avec les plantes, un véritable Neville Longbottom ! Alors c'est tout naturellement que je vint m'asseoir, une fois terminé mon petit déjeuné désastreux, contre la serre numéro 3 pour l'attendre.

Je sortis mon livre de cours et commença à le feuilleter, relisant la leçon d'aujourd'hui. Nous allions étudier les Digitales D'Autriche.

-David ! M'interpella une voix féminine.

Je releva la tête et croisa le regard orageux de Zipfer. Qu'est ce que j'avais encore fait pour qu'elle semble aussi en colère? J'allais à mes entraînements de Quidditch, je lui laissais du temps avec John, je ne répondais pas tant que ça aux profs, et j'essayais de me faire discrète, j'aurais réussi si cet abrutis de Remus n'essayait de me foutre à poils devant tout Poudlard. Je n'avais rien à me reprocher.

-Zipfer ? Saluai-je en me remettant sur mes deux pieds, époussetant ma cape au niveau de mes fesses.

Oui, j'avais rendu sa fichue cape à Vincent, me pavaner avec signifiait presque ''je me suis faite baiser par Horiot jetez moi des pierres !''

-Écoutes moi bien ! Déclara-t-elle en mettant les poings sur les hanches J'ai accepté que tu traînes seule avec mon mec, que tu l'enlaces, que tu lui fasses des bisous sur les joues, que l'on ait des heures chacune pour être avec lui, que tu me le voles le soir du dîner chez le prof de potion, et que pour lui tu sois la première, il mourrait pour toi ! Sois bien sur de la patience que j'ai eu, d'accepter votre relation si proche alors que ça ne fait qu'un mois que vous vous connaissez. J'ai accepté tout ça. Mais tu ne me feras pas cocu nom de Merlin ! S'écria-t-elle. Alors dis moi la vérité, est ce que c'est John qui t'as prise comme une chienne cette nuit ? Est ce que c'est lui qui t'as aspiré le cou comme un aspirateur ? Est ce que, durant le laps de temps qui a suivis le réveils générale, vous avez renvoyé Lily pour vous envoyer en l'aire comme les deux animaux en rut que vous êtes ?!

Mes sourcils se levèrent tout seuls, tout comme ma bouche qui s'ouvrit sans me demander mon avis, mes yeux grands comme des soucoupes. Alors c'est vraiment ça que Julia pensait de moi ? Que j'étais comme Meadowes à voler les gars des gens ? Je pouvais comprendre qu'elle soit jalouse, je ne supportais pas de voir Remus avec d'autres personnes que les Maraudeurs ou Lily, et encore, le voir avec Sirius me faisait un peu de mal. Je ne pouvais pas non plus concevoir que Vincent est la même relation qui nous liait, John et moi, avec une autre personne. J'étais peut être un peu perverse narcissique sur les bords à vouloirs mes deux hommes que pour moi alors que j'avais tout les droits. Jalouse ? Moi ? Oui, Juliette Jalouse Possessive David, c'est comme ça que je m'appelais.

-Oui, c'est vrai qu'on c'est envoyé en l'aire comme des taureaux dans la salle commune, c'est excitant quand on a l'impression que quelqu'un peut surgir à tout moment. Répondis-je cyniquement.

Elle rougie de colère alors que sa chevelure dorée s'électrifiait, l'aire crépitait de magie. J'avais peut-être dit une connerie, Julia n'était pas habituée à mon sens de l'humour plutôt douteux.

Des Potterhead à Poudlard ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant