𝘾𝙝𝙖𝙥𝙞𝙩𝙧𝙚 7. Marché conclu

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"𝐿𝑎 𝑣𝑒́𝑟𝑖𝑡𝑒́ 𝑒𝑠𝑡 𝑙'𝑎𝑐𝑐𝑜𝑟𝑑 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑙'𝑖𝑛𝑡𝑒𝑙𝑙𝑖𝑔𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑜𝑠𝑒𝑠"

"𝐿𝑎 𝑣𝑒́𝑟𝑖𝑡𝑒́ 𝑒𝑠𝑡 𝑙'𝑎𝑐𝑐𝑜𝑟𝑑 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑙'𝑖𝑛𝑡𝑒𝑙𝑙𝑖𝑔𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑜𝑠𝑒𝑠"

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𝗖𝗵𝗮𝗽𝗶𝘁𝗿𝗲 𝘀𝗲𝗽𝘁, marché conclu
[saison un, épisode trois]

La nuit était insupportable. Rowan entendait Jasper gémir de douleur et elle était si inquiète pour lui, qu'elle était montée pendant la nuit pour veiller sur lui. Elle avait tenue compagnie à Clarke et Monty qui ne le quittaient plus. Ça lui avait permis de faire un peu plus connaissance avec le jeune homme. A l'étage du dessous, les 100 passé leur nuit à se plaindre du bruit. Finalement, personne ne pouvait pu fermer l'œil.

-Il peut pas crever plus vite celui-là ?! Hurla un garçon.

La Kane fronça les sourcils à cette remarque, se mit au-dessus de la trappe, l'ouvrit et d'hurla :

-Dis encore une chose comme ça et c'est toi qui crève connard !

Elle retourna auprès de son ami après avoir refermé et passa une main sur son visage pour tenter de le calmer, en vain.

-Courage Jasper, les écoute pas, c'est juste des crétins. T'es fort alors bats-toi.

La brune attrapa doucement sa main et resta là. Elle espérait vraiment que Jasper irait mieux bientôt, que Clarke allait trouver un truc pour le soigner.

Côté Loan

Dehors, Loan était allongé à côté de Charlotte, sa meilleure amie qui dormait. Il lui caressait les cheveux, car chaque nuit, elle faisait des cauchemars et le jeune adolescent avait du mal à rester calme face à ça. En plus, il faisait des insomnies depuis qu'ils étaient sur Terre alors il n'avait pas mieux à faire.

-Charlotte, c'est rien. Calme-toi...

Loan s'apprêtait à la réveiller lorsqu'il vit Clarke arriver et le faire à sa place. Charlotte sursauta et attrapa instinctivement la main de Loan, comme si c'était une protection.

-C'était qu'un rêve, la rassura la blonde. Toi, tu es Charlotte c'est ça ? Et toi Loan ? Moi c'est Clarke.

L'enfant cala ses genoux contre sa poitrine et posa la tête dessus. Loan de redressa également et remarqua que Charlotte pleurait, il essuya ses larmes.

-C'est pas grave d'avoir peur tu sais. Tu veux qu'on en parle ensemble ? Lui demanda Clarke.
-C'est... C'est mes parents... on les a envoyés à la dérive... et je revois ce moment dans mes rêves à chaque fois... pleura la jeune fille.

Loan serra sa main pour lui montrer qu'il la soutenait toujours.

-Je comprend, lui dit Clarke, je sais. Mon père aussi ils l'ont exécuté.
-Cha'... Moi... j'ai vu ma mère se faire dériver... je te comprends aussi...

La fille des deux peuples, Gonafaya [1] OrigineOù les histoires vivent. Découvrez maintenant