Chapitre 51

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Pdv Alexianne

Nous sommes le 31 Juillet 1996 et je suis en présence du seigneur des ténèbres et ses autres sbires. On vient d'infiltrer le ministère, tout le monde est en paniqué mais je dois demeurer neutre face à tout ceci comme si cela ne m'affectait aucunement se qui est tout le contraire de comment je me sens. J'aimerais bien leur dire que tout va bien aller mais je ne le peux pas car sinon ma couverture sera foutu. Alors que le ministère vient de tomber entre les mains du seigneur des ténèbres, celui nous envoie foutre la bagaille, pas n'importe où, mais à la demeure des Weasley. Ils ne sont plus sous protection et je dois faire partie des mangemort qui y vont. Voldemort veut envoyer le message que je suis dans ses rangs à présent puisque tout le monde sait déjà que c'est moi qui est tué le grand Albus Dumbledore. Il veut également déstabiliser mon petit frère je regrette tellement le rôle que je dois prendre mais je n'ai guère le choix. Quant à Severus, il ne doit pas prendre part, il doit aller préparer la nouvelle année qui va bientôt débuter. Il est le nouveau directeur de Poudlard grâce à Voldemort. Ce dernier m'a dit que je serai là nouvelle professeur de potion avec Horace car le seigneur des ténèbres ne lui fait évidemment pas confiance et je devrai faire la discipline. Cela me dégoûte car je sais se que cela veut réellement dire et je me vois mal blesser et torturer des enfants. Ils n'ont rien n'a voir dans tout ça et pourtant ils y seront toyt de même mêlé.

Alors que je débarque au terrier, les sorts fusent dans tous les sens mais je demeure calme jusqu'à se que mon regard croise celui de mon père. Il a l'air détruit de me voir ici, mais je lis autre chose dabs son regard, de l'incompréhension totale. Il savait que quelque chose n'était pas normal, il me connait mieux que n'importe qui même mieux que Severus sur bien des points. Mon père levait sa baguette pour atteindre un mangemort et je levais ma baguette pour atteindre des gens de l'ordre sans vraiment les blessés. Personne n'allait vraiment le remarquer vu leur concentration. Au bout d'une bonne demi-heure, je me retrouvais face à mon père. Tous les autres mangemorts étaient partis à la chasse aux proies si on peu le dire ainsi. Beaucoup avait fui, il restait très peu de monde ici. Mon père me regardait dabs les yeux et je n'arrivais pas à lever ma baguette vers lui, ma main était hésitante. Comment pouvais-je faire du mal à l'homme qui m'avait élevé, qui avait prit soin de moi toute ma vie ? Je laissais mon bras tomber le long de mon corps et je dis :

-Je suis désolé papa. Bientôt tu comprendra mes choix.

Il restait perplexe puis avant de disparaître en transplanant, je lui dis :

-Je t'aime papa.

Quand je fus atterri devant ma maison, je soufflais, décourager. Je n'ai pas pu tenir mon masque et tenir mon rôle jusqu'à la toute fin. Je comprends maintenant l'hésitation de mon amoureux quand il est venu pour jeter le sortilège de la mort sur Albus.

Par la suite, je rentrais dans la maison et je vis mon petit-ami assit dans le salon, le regard dans le vide. Je me raclais la gorge pour lui signaler ma présence puis son regard onyx se posait sur moi. Il se levait et vint me prendre dans ses bras. C'est agréable qu'il sache tout sans que je ne lui dise un mot. Il devait se douter combien cela serait dur pour moi d'aller là-bas et d'agir comme un vrai mangemort sans coeur ni compassion.

Pdv Severus

Il y a une heure se ça, Alexianne est partit vers le terrier sous les ordres de Voldemort. Je m'inquiète pour elle. J'ai peur qu'elle n'en sorte pas ou qu'elle soit brisé. Si elle démontre un peu de sentiment et d'hésitation, eut n'hésiteront pas de la tuer sur le champ. Si elle venait a tuer quelqu'un de l'ordre, elle en serait brisé car elle les aimes vraiment beaucoup malgré les tensions et les années de cachotterie sur sa vie.

Quand ma petite-amie est finalement revenu, je l'ai prise dans mes bras, j'ai bien vu dans son regard que cela n'allait pas. Que s'était-il passé ? Je la relachais que quelques minutes plus tard et on s'est assit sur le canapé. Elle m'a tout raconté comme d'habitude. Elle m'a dit qu'elle na pas pu résister une fois seule devant Lupin. Qu'elle lui a dit qu'il conprendrait bientôt et qu'elle l'aimait. Si tout comme elle, il n'y aurait pas eu de témoin, j'aurais fait la même chose avec Albus. Il était un père a mes yeux, bien plus que mon géniteur qui ne trouvait rien de mieux que de me battre. Albus avait toujours été bon avec moi même quand je ne le méritais pas, j'aurais du pourrir à Askaban et pourtant, il s'était porter garant pour moi et il m'avait offert un travail dans son école. D'accord, je devais continuer à jouer l'espion mais pour moi, ce n'était pas cher payer pour la liberté. Et puis, sans cela, je n'aurais peut-être pas rencontré Alexianne et tomber amoureux d'elle.

Alors que celle-ci finissait justement de raconter sa soirée, elle dit :

-J'ai hâte qu'Harry trouve tous les horcruxes et qu'on puisse vivre une vie tranquille tous les deux.

-Moi aussi, mais je doute qu'on sois libre.

-Je n'en doute pas autant que toi.

-Que sais-tu que j'ignore ?

-Cela se pourrait que j'aille laisser une fiole contenant des souvenirs pour Harry. S'il le trouve on sera innocenté et tout le monde va vote savoir qu'on n'était des espions pour Albus.

-Ce n'était pas le plan.

-Je sais mais j'ai jamais été doué pour suivre les règles, tu devrais bien le savoir pourtant tu as été mon professeurs pendant sept ans.

Je ris, il est vrai qur je le savais que trop bien. Mais je dis :

-Pas obligé de me le rappeler Lexi. Surtout le fait que tu étais mon élève.

On rit ensemble, cela nous fit du bien après l'été qu'on était en train de passer.

Alexianne Potter (TERMINÉ)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant