Chapitre 68 : jeudi 8 novembre

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J'en ai enfin finis avec les maths, la physique et les sciences de manière générale. La semaine prochaine sera surement une meilleur semaine que celle-là.

Et enfin demain après-midi c'est le week-end ! J'ai tellement hâte d'y être. Je vais enfin pouvoir retrouver ma salle de danse. Ma chambre est bien pour dormir et faire quelques trucs sur table mais surtout pas pour faire de la danse ou un sport qui a besoin d'espace. Bien que la table qui me sert de bureau soit basse, elle est tout de même bien utile et pratique pour faire les devoirs et se rendre sur les application de mon ordinateur.

Cette fois, je ne me suis pas fait virer du piano et on m'a laissé tranquille. Je me réjouis de cette tranquillité. Il ne m'est pas évident de jouer des morceaux utilisant beaucoup de note à la fois. La veille quand je me suis faite pousser du piano je me suis fait mal aux doigts et au poignet. C'est pourquoi, aujourd'hui, j'ai un bandage.

Le matin, avant que les cours ne commencent j'ai même eu le temps de finir de lire mon livre. Il me restait une vingtaine de pages. Il n'est pas passionnant mais bon c'est un livre que notre prof de français nous a demandé de lire. Je ne m'attends pas non plus à avoir un super livre mais je ne m'attends pas vraiment à de la pourriture. D'un côté, il est rapide à lire mais d'un autre côté il est très long.

Il n'est pas long en nombres de pages mais il est d'une complexité infernal. Maintenant qu'il est terminé, je vais pouvoir me relancer dans la musique et la danse. Au bout d'un moment, je me suis laissée emporter par la musique que je reprends devant au piano. Je la chante – pas aussi fort que quand je suis seule à la maison ou même dans ma simple chambre d'internat. Dans ma chambre, je n'ai pas ramené beaucoup de choses – d'objets. J'ai tout dans la tête et je trouve beaucoup mieux que de toujours avoir un objet qui représentent quelques choses ou quelqu'un.

Je m'endors là-dessus ce qui me redonne le sourire. Je pense également à mon week-end. Juste avant que je ne ferme les yeux, mon portable se met à vibrer avec insistance. Lorsque la sonnerie s'arrête enfin. Elle résonne une nouvelle fois dans ma chambre.

Je sors totalement de mes pensées et récupère mon portable resté sur la table. La sonnerie s'arrête une nouvelle fois. Je prends mon portable et remonte me glisser sous la couette au chaud. Je dois dire qu'une fois bien réchauffer dessous on a nullement envie de ressortir. Je me réinstalle que mon portable ne cesse de sonner pour la troisième fois.

Je décroche après avoir vérifié de qui m'appelle à cette heure-là. C'est bien lui. Je lui explique pourquoi je n'ai pas répondus tout de suite. Il m'explique la raison pour laquelle il ne cesse de m'appeler. On parle de choses et d'autres. Je ne me suis pas rendus compte de l'heure avant qu'il ne baille pour m'annoncer qu'il a une envie de dormir en disant l'heure. J'approuve moi aussi cette décision en me rendant soudainement compte que mon envie de dormir c'est entièrement dissiper au cours de l'appel. Je m'endors après avoir raccroché.

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