Chapitre 116 : mercredi 26 décembre

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Je me réveille les yeux rempli de fatigue. Je me lève et descends me changer. Je sors de la maison en laissant un mot comme quoi que je vais chez moi. En arrivant chez moi, j'ai la surprise de voir qu'ils ont décoré l'intérieur de la maison quand j'étais à l'hôpital. Ils ont même penser à mettre notre petit village extérieur. Des guirlandes ont été simplement posé autour des fenêtres.

J'allume le capteur et fais la finalisation de l'installation. Le temps que tout se synchronise, j'ai eu le temps de revêtir ma tenu de danse. Je mets toutes ses illumination en fonctionnement et après quelques minutes à admirer le spectacle, je m'échauffe et danse heureuse durant les heures qui suivent. Mes pas ne sont pas très bien fait. Il me manque la puissance, de l'assurance et du dynamisme dans mes mouvements. Je ne me fais pas trop de souci là dessus, en travaillant et en répétant tout devrait me revenir. Je n'ai pas branché mon enceinte parce que je veux tout simplement profiter du calme et de la magie que provoque toutes ces lumières en même temps. De plus, je ne suis pas sur que je me trouverais sur les bons temps de la musique.

Je conclue en finissant par un grand jeté, suivit d'une demi-pointe pour finir par une pirouette et quelques pas de pointes. Une révérence maladroite finit ma danse. Cette dernière n'étant tellement pas contrôlé que je tombe sur le parquet. Je ne m'aperçois de Sa présence seulement quand il s'approche de moi en me voyant tomber et en s'inquiétant. J'essaie de le rassurer en lui disant que je vais bien. Pour lui prouver, je me relève et fais un pas de bourrer suivi d'une pirouette deux tours.

On sort de la salle de danse pour remonter dans la cuisine. Je pars prendre une douche et le rejoins après avoir enfiler un jean et un sweat. N'ayant pas faim, je ne prends qu'un thé. Je lave mon bol et attends qu'il est finit de prendre son petit-déjeuner. J'envoie un message à ses parents pour qu'ils viennent nous rejoindre.

Je finis par lui demander son avis sur les lumière de dehors. N'obtenant pas la réponse que j'attends, je sors dans l'allée. Il me suit. Il me prend dans ses bras et me chuchote qu'il trouve qu'avec les lumière tout rendait quelques chose de merveilleux. Ses parents nous rejoignent au moment où il me dit que tout est magnifique. Ses parents approuvent. Je rentre à la maison éteindre au fur et à mesure toutes les lumières. Quand ils me rejoignent, ils me demande pourquoi je les éteins. Je leur explique que le soir dans la nuit, c'est encore plus jolie. J'en profite pour effectuer les derniers petits réglages.

Une fois terminer, je descends dans la salle de musique et joue tranquillement du piano. Je ne peux pas enlever le sourire qui s'est figé sur mes lèvres quand mes mains rencontrent pour la première fois depuis longtemps les touchent du piano qui m'a temps manqué.

En milieu d'après-midi, nous décidons de nous rendre à la falaise pour peut-être faire un peu d'escalade. J'emporte mon matériel.

En arrivant face à l'eau, nous préférons commencer par nous poser. Le doux et régulier bruit des vagues nous laissent sans voix. On finit par rentrer sous les dernière lueurs du jour.

En rentrant, j'allume toutes les lumières de la maison. Je demande à tout le monde de sortir voir le résultat. Ils sont tous les quatre aussi époustouflé par le spectacle qui s'offre sous leur yeux.

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