Chapitre 153 : vendredi 1er février

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Cette fin de semaine est la bienvenue. Ce matin en me réveillant, il est à mes côtés. Je bouge un peu et le réveil sans le vouloir. Il me retient et me colle contre lui. Je me tourne face à lui et mets mes mains dans son dos. Mutuellement, nous nous réconfortons. Nous n'avons pas besoin de nous parler pour nous comprendre. La peur et la tristesse se lisent dans nos yeux. On reste enlacés de longues minutes. On descend à la cuisine. Ses parents s'y trouvent déjà. Nous finissons de nous préparer et nous partons finir de faire le déménagement.

On réussi à rigoler ce qui nous remonte le moral. La fin de journée est plus dynamique et plus joyeuse que le matin. A un moment, il rigole de la tête que je fais en attrapant quelque chose d'immonde. Il approuve mes paroles et m'aide à finir de vider l'armoire. A mon tour de rigoler de sa tête. Il rigole aussi parce que je fais une grimace de dégoût. Le piano et les deux guitares sont ramenés chez lui. Je ne garde que la flûte traversière de mon frère. Avant de quitter la maison, il s'essaie à la batterie. On fait tous les deux un carnage auquel nous rigolons. On se fait rapidement rappeler à l'ordre. Je danse une dernière fois dans la salle. Je finis par un saut qui arrive près de lui. En regagnant le sol, j'entoure mes bras autour de sa taille. Il me sourit et on remonte tous les deux à vive allure.

On rentre à la maison et nous continuons à parler de tout et de rien en essayant d'organiser la chambre. De nombreux fous rire éclatent entre nous.

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