{[ EN RÉCRITURE ]} QUELQUES CHANGEMENT COMME L'AGE, DONC SI IL Y A DES INCOHÉRENCES C'EST NORMAL ! (les chapitres marqués d'un ☀️ sont réécris)
•Vous êtes une jeune fille pleine de caractère qui rentre dans le bataillon d'exploration, des aventures...
J'attaquai la troisième journée au cachot, toujours sans aucune nouvelle de (tp), elle était peut être morte, le docteur l'avait peut être stabilisé mais il nous avait dit que ça restait encore une possibilité . Je devenais fou, mais c'était ça ou (tp) mourait dans mes bras en expédition .Ce qui me terrifiait le plus c'étais de m'imaginer que Aaron eu envie de recommencer ses manigances , ni moi ni Jean étais capable de la protéger à cet instant... Je rêvais de l'instant où je pourrais à nouveau la serrer dans mes bras, si je le pourrais encore.
Point de vue Jean :
Il me restait deux jours à tenir, deux jours encore sans voir (tp). Cela fesait désormais trois ans qu'il ne c'était pas passer un jour sans qu'on ne se voient pas...
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Retour sur (tp) :
Je me réveillai dans mon lit et pendant un instant j'oubliai que j'étais seule et je commençai à chercher Livaï dans le lit, je ne trouvai que des draps froids. J'étais sans cesse à me demander ce que fesais Livaï et Jean. Ce jour la personne ne passa me voir hormis le docteur et Mike qui m'emmener à manger, je me sentais seul, et je remarqua le peu d'amies que j'avais. La 104eme brigades étais peut être des amies, mais pas des proches comme ils le sont entre eux, Jean avait réussi à former des liens avec eux mais pas moi... Marco me manquait. Je repensai à tout ces souvenirs de nous trois, cela me manquait de nous voir tout les trois... Jean avait changé depuis sa mort, il étais beaucoup plus dure avec lui et prenais beaucoup plus de risque. Je repensa ensuite à ma rencontre avec Livaï, il a tout de suite étais gentie avec moi, ce qui me surprena quand on connaissait sa réputation. Notre balade en forêt, la fois dans la salle de réunions, ma traversée du QG en boxer, mon entraînement complètement trempée, et surtout le bal et la fin de la soirée, tout ses moments passé à ces côtés étais les meilleures moment de la vie. Arriva le jour de la libération de Jean, je sortit de ma chambre avec difficultés, Mike arriva à ce moment .
Mike : Où va tu comme ça ?
(tp) : Aujourd'hui Jean sort du cachot , je veux aller l'attendre.
Mike : Je vais t'aider à marcher.
Mike m'aida jusqu'en haut des escaliers qui mener au cachot .Plus bas il y avais Livaï, mais si je tentais d'aller le voir, Livaï paierai les conséquences. J'attendis plusieurs minutes, assise sur les marches. Jusqu'au moment où je vis Jean monter les escaliers. Je me redressai et Jean me vit, Jean couru en ma direction et me prit dans ses bras.
Jean : Je savais que t'étais pas morte...
Je le serrai de toutes mes forces, les larmes coulées sur mes joues.
Jean : Ne pleures pas...
On resta quelques minutes enlacés sans un mot.
(tp) : Tu veux peut être aller au réfectoire ?
Jean : Avec plaisir, la bouffe qui donne au cachot est infecte
Après un long déjeuner, Jean décidai d'aller se doucher et ma dit qu'il me retrouverait dans la chambre de Livaï. Je décidai de faire comme lui et j'allai prendre une douche. Quand je revins dans la chambre, Jean étais assis sur le fauteuil .
Jean : Je me suis permis d'entrer, ça ne te dérange pas ?
(tp) : Non tu as bien fait.
Jean : Elles sont classe les chambres des gradés.
(tp) : Oui c'est vrai, mais Livaï à tout installer lui même.
Jean : Il va bien Livaï ? On refusais de me donner de ses nouvelles aussi.
(tp) : Ouais sauf qu'il fait une grève de la faim et qui c'est évanoui l'autre jour.
Jean : Ah...
On parla de chose et d'autres toutes la soirée.
Jean : Faut que je te raconte !
(tp) : De quoi ?
Jean : Pendant que le docteur te soignait. Dot (Pixis) n'arrêter pas de me poser des questions pour savoir si on était ensemble, bien sûr j'essayais de lui répondre que non mais il ne me laissait jamais finir, Livaï c'est levé, je pu finalement lui dire que tu ne m'aimais pas, et Dot commencer à vouloir te présenter à un soldat de la garnison, quand Livaï dit "elle sort avec moi ", et il parti te voir.
(tp) : *rigole* Connaissant Livaï, il devais avoir une tête d'assassin.
Jean : Exactement.
Au bout d'un moment Jean s'endormis dans le fauteuil et moi j'allai me coucher dans le lit. Les jours passait, et Livaï me manquait de plus en plus, je pouvais désormais marcher et courir même si mes plaies me faisais encore mal. Le jour de la libération de Livaï étais la, j'avais nettoyé l'intégralité de la chambre et avais préparer de quoi manger. Cela fesait peut être un peu niais mais je savais que ça plairait à Livaï. J'attendis sur les marches de longues minutes c'est à ce moment que j'aperçu Livaï...
