Réconfort

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La semaine suivante, Erwin nous convoqua dans son bureau moi et Livaï, j'étais stréssé .

Livaï : Notre semaine d'essais à échouer.... Même pas 2 jours après qu'il nous l'ai dit on arrivait à se perdre tout les deux en dehors des murs.

(tp) : Il va me virer...

Livaï m'attrapa la main et me la serra contre lui.

(tp): Et pourquoi nous convoquer maintenant et pas la semaine dernière ?

Livaï : Il n'étais pas là la semaine dernière. Mais ne t'inquiète pas ça va bien se passer.

J'embrassa Livaï et on se dirigea vers le bureau de notre chef. On arriva devant la porte, Livaï toqua et Erwin nous fit entrez.

Erwin : Salut vous deux ! Alors le moral ?

Livaï jeta un regard noir au Major. Erwin sembla comprendre que la question qu'il posait était très mal choisie.

Erwin : H-heu, bon bref je voulais vous parlez de ce qui c'est passé hier au réfectoire.

Livaï : Et tu veux savoir quoi ?

Erwin : Qui a déclenché la bagarre ?

Livaï : Moi

(tp) : M-mais Livaï n'a fait ça que pour me défendre !

Erwin : Comment ça ?

Livaï : Ça te regarde pas !

Erwin : Vous voulez passer une vingtaine de nuits au cachot chacun ?

Livaï : Tchh...

Erwin : Bon eh ben vous passerez un mois au cachot...

Livaï : OKAY ! TU VEUX SAVOIR ?! IL A TRAITÉ (TP) DE PUTE DES BAS-FOND ! IL A DIT DEVANT TOUT LE MONDE QU'ILS AVAIENT COUCHÉ ENSEMBLE, ALORS QU'IL LA VIOLÉ ! ET IL A DIT QU'IL ÉTAIS PEUT ÊTRE CENSÉE ÊTRE LE PÈRE ALORS QUE ÇA AURAIT DÛ ÊTRE MOI !!!

Livaï hurler comme il ne l'avait jamais fait, tout en disant c'est mots mon copain avait plaqué avec force Erwin contre le mur tout en l'imobilisant . Tout cet haine me fesait pleurer (encore).

Livaï : HÉ TU VEUX SAVOIR LE PIRE ? C'EST QUE NOUS DEMANDE SI ÇA VA ! T'ES VRAIMENT QU'UN CONNARD.

Livaï reposa Erwin, mon copain me prit la main et on sorti du bureau. On arriva dans le couloir et je vis des dizaines de soldats nous regardait, ils avaient tout entendu... Les larmes continuaient de couler sur mes joues, une fois loin des regards de nos coéquipiers Livaï me plaqua contre le mur et m'embrassa essuyant mes larmes par la même occasion. On arriva dans notre chambre, Livaï continua de m'embrasser et il commença à défaire la boucle de sa ceinture et à descendre son pantalon, il me porta jusqu'au lit et enleva à son tour mes habits.

Livaï : J'ai très envie de toi...

Je lui répondit en l'embrassant et je lui enleva son boxer, il fit de même avec mes sous-vêtements. On resta quelques minutes à nous enlaçais, ça me réconforter et Livaï aussi. Au bout d'un moment Livaï descendis sa tête entre mes jambes et commença les vas et viens de sa langues. Il remonta couvrir mes lèvres des siennes, je descendis ma main dans son intimité qui étais bien dressés. On oubliait la tristesse, la colère de tout ses jours à ce moment et j'aurais voulu que ça dure toute l'éternité.
On s'endormit, moi étant couché sur le torse de Livaï.

Le lendemain matin on se réveilla aux alentours de 9h, Livaï alla chercher le petit-déjeuner

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Le lendemain matin on se réveilla aux alentours de 9h, Livaï alla chercher le petit-déjeuner.

Livaï : Tu comptes reprendre l'entrainement quand ?

(tp) : Je ne sais pas trop encore...

Livaï : Tu as tout ton temps...

(tp) : J'ai envie d'aller voir Jean aujourd'hui la dernière fois j'ai étais haudieuse avec lui, je l'est à peine calculée...

Livaï : Il comprenait très bien la situation, et je vais t'accompagner je commence à apprécier ce gosse...

Une heure plus tard

On arrivait devant la maison des Kirschtein je toqua et ce fut la mère de Jean qui m'ouvrit elle me prit immédiatement dans ses bras.

Mme Kirschtein : Ma petite ! Ça fait tellement plaisir de te voir !

Elle appela Jean qui des qu'il ma vu en si bonne forme me sauta dans les bras.

(tp) : J'avais tellement peur que tu m'en  veuille...

Jean : Mais enfin (tp), comment je pourrais t'en vouloir ?

Il déposa un baiser sur ma joue et il releva la tête vers notre Caporal.

Jean : Désoler Caporal !

Livaï : De quoi ? D'avoir embrassait sur la joue (tp), je peux être jaloux mais pas quand il s'agit de toi sache-le, je sais à quel point vous comptez l'un pour l'autre.

Jean : Merci Caporal.

Mme Kirschtein : Bon les enfants entrez, j'ai préparé une tarte.

Les tartes de Mme Kirschtein étais les meilleures que j'avais mangé j'entra immédiatement. Je m'asseya entre Jean et Livaï.

Livaï : Vous savez Mme Kirschtein, j'ai 25 ans donc ne m'appeler pas les enf...

Je lança un regard noir à Livaï qui s'arrêta aussitôt de parler, qu'il étais maladroit dans les discussions... On mangea une part de tarte chacun.

Livaï : Je me demandais, comment vous vous êtes rencontré vous deux ?

(tp) : Tu racontes ou je racontes ?

Jean : Fait le

(tp) : J'étais parti à la bibliothèque de Trost et alors que je marchais avec la pile de livres je fonça dans Jean. On se disputa quelques minutes jusqu'à ce que Mme Kirschtein arriva et m'invita a manger et elle ordonna a Jean de restais avec moi. On commença à parler et on trouva un point commun, on voulait tout les deux rentrés à l'armée, et c'est comme ça que j'ai rencontré cette tête de cheval.

Jean : Hé !

On passa le reste de la journée avec eux à raconter les anecdotes sur moi et Jean.

Livaï x Reader Où les histoires vivent. Découvrez maintenant